Charly Sawyer

❝ "Ne pariez jamais contre un parieur" ❞

CRÉDITS : inconnu(e) ~ AVATAR © Jennifer Lawrence
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nom : Sawyer, j'aime l'Amérique mes fesses oui ! prénom : Charly, oui je suis une fille (mais tu continueras à te poser la question quand je t'aurais giflé avec force pour avoir demandé) âge : 24 ans lieu de naissance : Los Angeles nationalité : américaine origines : ma grand-mère a épousé un italien, n'a pas eu d'enfants avec lui mais avec un ténébreux californien ça oui, est-ce que ça compte ?  Parce que ça aurait fait classe, italienne statut civil : rechercher par la police ? Non, je rigole. Enfin je crois. Célibataire j'en suis sûre en revanche occupation(s) : journaliste intermittente, parce que je suis indispensable pour ce qui est d'attirer l'attention des lecteurs tout autant que des témoins mais aussi parce que je suis "trop franche" (comme si ça pouvait exister), "ton article est génial mais... la nuance ça te parle Charly ?". Alors je m'indigne et j'hurle (disons ça gentiment) et on me renvoie. Puis on a besoin de moi malgré tout. Et on me renvoie à nouveau. Enfin vous voyez le scénario. Journaliste par intermittence quoi. Mais j'm'en fou, ça me donne le temps de jouer. De parier sur le temps qu'ils vont mettre à me rappeler aussi.  traits de caractère : imprévisible - folle - lunatique - mystérieuse - sans aucun tact - impulsive - honnête - versatile - catégorique - n'admet jamais ses torts - se fait toujours remarquer - imaginative - grossière - décalée - déterminée - joueuse - a besoin des autres mais déteste être sociable - farouche - drôle - compétitive - indépendante - originale troubles/symptômes connus : On m'accuse souvent d'être lunatique et versatile, d'être instable. Mais tout le monde l'est plus ou moins non ? Au moins ça prouve que je suis entière, que je ne suis pas l'une de ces substituts de sourires figés. Ceux-là, ils me donnent la nausée. J'aime attiré l'attention, quitte à déstabiliser. En fait, j'aime être vivante voilà tout. Et qui a t-il de plus excitant encore que des regards braqués sur vous ? Le jeu. Sentir que tout dépend de cette carte qui se retournera ou non, qu'un seul jeton peut vous ruiner ou vous glorifier à jamais. J'ai ça dans le sang, on parie ? citation d'appartenance : 02.

 - the world is an imperfect place -

Je suis le genre de personne que l'on remarque. Parce que je n'ai pas peur d'hurler si besoin est, d'éclater franchement de rire en pleine conférence si je trouve les propos ridicules, d'envoyer au diable quiconque m'emmerde même s'il s'agit de mon patron ou d'une mamie respectable. Ou alors c'est parce que si vous ne me remarquez pas, je ferais en sorte de réparer cette horrible tragédie. ~ J'aime tout essayer, tester mes limites et faire des choses improbables (on va donc du "commandons des céréales avec un supplément de sirop d'érable au restaurant" au "puisqu'il faut que j'écrive ce papier sur ce pseudo-tueur de Chino, allons le provoquer et voir ce qu'il a vraiment dans le ventre", ne me demandez pas lequel est le plus stupide, peut m'importe tant que ça me fait sentir en vie) ~  Je joue, beaucoup, des que possible presque. Parce que ça me fait frissonner. Le black-jack est mon péché mignon. Mais je suis friande de tout ce qui comporte des cartes et un cerveau. Les paris aussi. Mais pas sur ce qui coure (ou se meut plus globalement) avec ou sans motivant (du style un ballon, youhouuu), avec deux ou quatre pattes, bref pas sur le sport quoi. ~ J'aime pas les malades, leur lente agonie, leur capacité à être là sans pouvoir vivre, ça me fait peur ~
J'admire la musique, j'aimerais tellement savoir en jouer. Mais à chaque essai, l'instrument finit en miettes... C'est fou cette patience chez les musiciens. ... Et puis j'en ai rien à faire finalement, qu'ils restent entre eux ces foutus virtuoses et qu'ils crèvent seuls sur leur guitare, voilà ! ~ Je ne suis pas douée pour les relations humaines mais elles me fascinent et m'attirent inexorablement - Je n'ai pas vraiment l'impression d'avoir un problème, enfin je veux dire, merde quoi : je suis entière dans une société de faux-semblants et d'apparence et c'est moi qui ai un soucis ?? Mais voilà, au siège, ils en ont marre de me recevoir toutes les 2 semaines pour me renvoyer et m'embaucher à nouveau 5 jours après. Alors ils ont décidé que le centre serait ma rédemption. Blague !! S'il n'y avait que moi, je n'irais pas, je ne serais jamais ré-employée ce qui me donnerait donc plus de temps pour jouer donc plus de temps pour gagner donc plus d'argent. Bingo ! Sauf qu'il y a papa, le pauvre papa déjà si triste. Fais chier ! ~ Je ne suis pas des plus aisée mais je ne suis pas pauvre non plus, je suis juste moi, moi qui joint les deux bouts sans facilité mais sans trop de difficultés ~ J'envie les familles nombreuses et unies tout autant que je les méprise pour ces amis faciles, ces personnes sur qui on peut compter juste par liens du sang. Moi je suis fille unique d'un père aimant mais un peu dépassé ~



Suite à la pagaille qu'Héra à laisser derrière elle au cours de ces six mois, comment se porte votre personnage ? Non mais vous y croyez-vous ?! On vient s'installer gentiment, parce qu'on a besoin d'air, parce qu'à Los Angeles c'est la pagaille, parce qu'on vous propose un emploi cool ici. Alors naïvement vous trouvez un appartement à Chino : c'est pas le paradis ce coin il paraît mais une folle parmi les fous ça devrait passer inaperçue. C'était le plan. Le plan c'était retourner à Los Angeles s'assurer que papounet survit de temps à autre, profiter d'un nouveau terrain de jeu et respirer. Voilà, c'était quand même pas trop compliqué comme plan. Et ça se passait bien : tous mes cartons étaient vidés, deux semaines après mon arrivée au journal j'étais même invitée à la grande soirée de la ville, chez monsieur Reid. "Venez donc Charly, vous rencontrerez les personnes influentes de cette ville et ce sera même l'occasion de vous lier d'amitié. Venez donc, ne vous laissez pas prier, je veux présenter ma nouvelle et talentueuse journaliste ". Et j'y suis allée, pour paraître. Et le plan semblait bon. Et j'avais presque rangé mes griffes pour l'occasion. Et j'ai rencontré des gens, presque sympathiques. Et j'ai cru que ma vie ne serait plus un gros bordel qui me faisait exploser au moindre contact. Et il y a eu cette... cette... cette ! Argh ! Puis plus d'appartement, plus de cartons, plus de plan parfait, plus rien. A part, l'air, ça je l'avais par contre, sans toit ni murs, je le respirais à plein poumon c'est sûr. Non mais c'était quoi ce foutu acharnement ?! Un complot de l'univers ?! Il voulait me rendre folle, c'était ça son fichu plan à lui ? J'étais vivante, c'était quoi son problème ? Okay, il voulait parier ? Il allait donc avoir la joie de voir renaître la folie incarnée en Charly Sawyer, j'allais lui en faire voir de toutes les couleurs à lui et au monde entier, j'allais être pleinement moi. Ce qui nous amène à l’intermittence du travail, donc à ce centre depuis un mois et à moi, juste moi qui suis moi.

 - wherever i go, trouble seems to follow -

Moi c'est Charly. Mes parents rêvaient d'un garçon et ils m'ont eu moi, une fille souvent aussi brute de décoffrage qu'un garçon. Mais on s'est bien entendu tous les trois, une vraie petite tribu de Los Angeles. Puis après 6 années de gazouillis intensifs et d'éclats de rire, la nouvelle est tombée : maman ne pourrait plus avoir d'enfants. Enfin on ne me l'a pas vraiment dis comme ça mais j'ai la mémoire qui flanche et ça fait bien paroles d'adulte qui parle à un enfant qu'est censé rien comprendre et rien savoir de la vie. N'empêche que j'ai bien senti que ça avait tout changé. Il était même pas né ce frère, il ne le serait jamais, mais ô combien il a pourri mon existence ! Ce freluquet me manquait alors que je ne l'avais jamais rencontré. Pire encore, cet infâme têtard volait l'amour de mes parents. Oh il était fort le petit, n'allez pas croire. Il était pernicieux à souhait : les messes basses à propos de lui, les "va jouer ailleurs Charly, on parle avec ta maman", les sorties qu'on ne faisait plus pour le surveiller (mais laisser le donc pleurer jusqu'à ce qu'il meure de faim !), bref adieu ma tribu adoré. Qu'on ne s'étonne pas que je sois passée maître dans l'art d'attirer l'attention avec une crapule pareille toujours collée à mes baskets. Ça a duré un an et demi de mensonges illusoires avant qu'on m'annonce doucement : "chérie, ta maman va aller à l'hôpital, d'accord ? Mais ne t'inquiètes pas, tout va bien se passer, ce n'est qu'un examen de routine tu vois ?" . Oh ça pour voir, j'ai bien vu. La décadence de cette femme que j’idolâtrais, ses efforts pour paraître vivante, son amour débordant pour moi. Ainsi non seulement je n'aurais pas de petit frère mais il n'y en avait jamais eu l'ombre non plus. Non, son petit surnom c'était cancer. Ça a été dur... Et puis un jour, il n'y a plus eu que le vide. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, papa et moi, vides. Et puis il y a eu Alex. Cet effronté, ce petit arrogant qui débarque dans le voisinage et qui se moque de moi quand tout le monde me chouchoute. Et ça m'a fait tilt. J'étais encore en vie. Assez pour lui botter les fesses à lui et au monde entier. Je n'avais pas besoin d'être dorloter, je n'allais pas mourir. Alexander. Ce gamin désinvolte qui m'a donné envie de me battre, au sens propre comme au figuré. Nos chamailleries, nos batailles incessantes. Bien que je déteste l'avouer, je lui dois d'avoir compris à aimer ma vie.

Et puis nous voilà, un an auparavant. Papa n'avait pas eu ma chance, il ne savait pas que la mélancolie s'écrase devant la vie quand elle est vécue. On s'en est pas si mal sortit tous les deux malgré tout. J'ai fait mes études de journalisme, je suis fraîchement sortie de l'école et j'ai besoin d'un dernier changement dans ma vie : fuir ce stupide, cet idiot de première d'Alex. Monsieur je-sais-tout, prétentieux et qui fait tout mieux que tout le monde, qu'il aille crever en enfer ! Petit 1 : dans un casino, on ne va pas gentiment dire "excusez-moi mais je crois que la demoiselle à la table 3 triche depuis une bonne demie-heure" quand cette demoiselle gagne sa vie et qu'on la connait ! Mais quelle idée de génie mon coco ! Non seulement tu me fous dans la merde mais je joue où moi maintenant ?! Petit 2 : c'est débile de se venger sous prétexte que je t'ai mis une baffe pour m'avoir embrassée. On sait tous les deux qu'on ne se supporte pas alors ton petit jeu du "ooh mais finalement je t'aime bien" tu te le mets où je pense ! Bref, tout ça à cause d'un ego sur-dimensionné brisé, j'ai accepté ce poste de journaliste à Orange. Ben quoi, il me fallait bien un nouveau casino pas loin !

 

prénom/pseudo : Léa  age : 20 ans  pays : France  fréquence de connexion : très variable, je vais dire 2 fois par semaine dans le doute  comment as-tu atterri sur lost along the way ? De partenariats en partenariats, je suis tombée dessus pendant sa rénovation, j'avais même vu un scénario sympa ^^ Donc hop, dans les favoris en attendant. Puis j'ai oublié et j'ai cliqué sur ce lien dans la semaine en me demandant ce que c'était. Et je suis retombée sous le charme et finalement, je me suis inscrite ! (et vous regrettez d'avoir demandé ça   )  un commentaire ? J'aime beaucoup !