Se retrouver à l’hôpital. Ne comprenant rien. Se demandant pour quel raison, ici-même. Avec ce bandage au bras. Une douleur au ventre. Aucun souvenir de la veille. Pourtant, tu avais quelque brigue qui revenait de temps en temps. Comme par exemple, un jeune pompier que tu ne connaissais guère. Mais son attitude te faisait penser à ton fiancé décédé. Etrange, n’est-ce pas ? Et enfin, un médecin était venu. Et t’avait expliqué que tu avais eu un accident de voiture. Tu avais surtout perdue connaissance et il avait préféré de te garder en observation le temps qu’il comprenne le pourquoi du comment, j’avais agis de la sorte. N’aimant pas réellement les hôpitaux. Ce n’était pas ton jour de chance. N’ayant pas le droit de te lever pour cause médicale. Trop faible t’avait-on dit. Tu t’avouais vaincu. La seule solution qu’il te restait dormir, dormir et seulement dormir. Fermant les yeux. Tu te mis à penser de ta vie d’avant. De ton fiancé. De ta famille qui devait s’inquiétait. En fait, tu comprenais que tout pouvait basculer en un instant. Sans qu’on contrôle quoi que ce soit. Le temps passait à tellement lentement. Que tu espérais avoir une visite. N’importe qui. Au fond de toi, t’espérais. Mais qui oserait venir ? Surtout qu’en cette période beaucoup de monde était en vacance ou au boulot pour cumuler des heures. Tu étais vraiment, mais vraiment maudite. Mais tout à coup, quelqu’un frappa à la porte. N’osant pas dire entrer. Toute façon, la personne en question, le ferait bien non ? Et un jeune homme ouvrit la porte. Ce qui te frappa en premier, c’était sa carrure. Tout à fait ton style de garçon. Avec une boite de chocolat. Surprise, tu l’étais. Bonjour.. Tu comprenais que c’était le pompier d’hier. Vu les flashes que tu avais. Il lui ressemblait fortement. A par l’interdiction de me lever. Ca va bien si on peut dire. Affichant un petit sourire gênée avant d’ajouter Merci pour hier. La moindre des choses étaient de remercier la personne qui t’avait sauvé la vie, non ? Puis, il semblait être venu pour quelque chose en particulier. Alors tu attendais qu’il ajoute quelque chose ou qu’il prenne la parole. Dans ce genre de situation, tu n’étais pas très doué.

Assez surprise de voir ce fameux pompier. Le pire dans tout cela, c’était que tu craquais souvent pour eux. Il avait ces airs mystérieux, tellement attirant. Pourtant face à lui. Tu te trouvais vraiment déboussolé. Il agissait de la même sorte que ton fiancé. C’est petit mimique te faisait craquer. Cependant, tu ne comprenais pas pour quel raison, il était venu te voir. Le voyant se tenir le cœur. Tu pris quelque peu sans raison apparente. Tu ne pus t’empêcher de lui dire Vous allez bien ? Assez bizarre en soit. Mais t’aimerait peut-être en apprendre plus. Le choc devait t’avoir fait perdre la tête. Rien de plus simple. Fermant les yeux quelque instants. Tu ne supportais pas les hôpitaux. Et le pire, c’était que tu ne compris pas réellement ce qui avait causé ton accident. Tu ne t’en rappelais strictement plus. La seule chose que tu pouvais être sûr. C’était que tu avais pensé à Jonah avant de l’avoir. Horriblement mal. Tu ne voulais pas le rejoindre. Non. Ce n’était pas toi. Jamais de la vie, t’aurais fait un truc pareil. Si ? Et enfin. En ouvrant les yeux. Son regard posé sur moi. Lorsqu’il prononça : Ivy. Tu fis une tête déconcerté. Ce n’était pas le bon moyen de draguer. Surtout pas en ce moment. Pour une fois, tu ne savais pas quoi répondre. T’ouvrait la bouche pour dire quelque chose, mais tu te ravisais quelque seconde après. Mes chocolats préférés. Merci, je ne connais même pas votre prénom. disais-tu en faisant un petit sourire avant d’ajouter Puis, vous pouvez me tutoyer. On doit avoir sans doute le même âge. Avant de regarder autour. Te trouvant bête d’avoir agis de la sorte. Il était juste pompier. Rien d’autre Iva. Et sans vraiment comprendre ce qu’il se passa. Il était en train de refaire ton pansement. Il était complètement dingue. Son boulot lui montait trop à la tête. Ce n’est pas possible ça. Pour tout avouer. Je ne sais pas. Je me rappelle juste d’avoir penser à baissant quelque instant la tête avant de répondre à mon fiancé décédé. Et je pense que la fatigue y a pour beaucoup. Prochaine fois, je ne prendrais plus le volant sans avoir fait une bonne nuit de sommeil. Puis enfin en relevant la tête. Ton regard plongea dans le sien sans vraiment t’en rendre compte. Vous êtes vraiment attaché à votre travail. Et non, je vous trouve pas fou. Juste peut-être maladroit dans vos propos. Au moins, tu avais été sincère et c’était tout ce qu’il fallait n’est-ce pas ?

Tu ne pouvais pas t’empêcher de lui trouver des airs ressemblant à ton fiancé. Peut-être te faisais-tu des idées ? Qui sait avec le choc que tu avais eu hier. Tu n’avais plus toute ta tête. Et tu t’imaginais plein de choses complètement inappropriées. Fallait arrêter de penser. Soit. Préférant penser à autre chose. N’aimant pas rester seule dans ta chambre. Tu étais bien contente qu’on te rendre visite. Même si c’était une personne inconnue, tu étais soulagé. Puis, il t’avait sauvé la vie hier. Et ce n’était pas tous les jours qu’un pompier vient dans une chambre pour voir celle qui l’a sauvé. Le trouvant bizarre. Tu lui avais demandé s’il allait bien. Sa réponse te surpris deux fois plus. Il avait eu un nouveau cœur assez récemment. Sans te rendre compte, tu trouvais une coïncidence assez surprenante. Ton fiancé avait eu son accident pendant cette période. Secouant ta tête pour oublier certaine pensé en disant L’an passé ? disais-tu sans te rendre compte. Même période. Et on t’avait même appris qu’il était d’honneur d’organe qu’à la fin. Chose que tu ne savais même pas. Peut-être avait-il reçu celui de ton fiancé. Même si c’est assez absurde. Parce que peu de personne pourrait retrouver la personne qui à hériter d’un organe. Mon fiancé était d’honneur d’organe. Et à ce que je sais. Quelqu’un à hériter de son cœur. Mais j’en sais pas plus. Je dois vous embêter avec ça. Au temps pour moi. disais-tu assez gênée. Ce n’était pas ton genre de parler de ça. Surtout à une personne qui n’avait certainement rien à faire de ta vie. Tu n’aimais pas être le centre de l’attention. Cependant, t’aimerait à apprendre à le connaitre. Une sensation étrange te parcourait. Une sensation de bien-être. Vous aviez un joli prénom. Vous ne me dérangiez pas. Je n’ai presque pas de visite. Mes parents sont certains à l’autre bout du monde. Alors, je pense n’avoir que quelque visite et encore. Disais-tu sincèrement. Si c’était pour ne pas te retrouver toute seule. Ne supportant pas les hôpitaux. C’était encore plus en ce moment même. Tu venais de le faire fuir par ta franchise. Attendez. Je sais que ça va paraitre mal placé, mais je ne supporte pas les hôpitaux en temps normal. Alors si vous pourriez resté un peu avec moi. encore plus gênée que tout à l’heure. Tu regrettais presque tes paroles. Mais tu voulais qu’il reste. Tu le voulais vraiment.

T’aimait faire de nouvelle connaissance, malgré que tu étais assez solitaire en soit. Tu n’aimais pas compter sur les autres. Etre dépendante affectivement ou autre. Ce n’était pas toi. Au contraire. Très libre, tu faisais souvent ce que tu voulais. A par quand tu es en couple. Tu es une personne complètement différente. Malheureusement cette personne n’existe plus. Du moins, jusqu’à que tu tombes amoureuse. Chose qui n’arrivait certainement pas de sitôt. Tourner la page. C’était encore trop juste pour toi. Peut-être qu’au fond, tu n’étais toujours pas prête. Lorsqu’on te draguait, tu jouais la carte de l’indifférence. Dingue n’est-ce pas ? Arrêter de penser. Pour se concentrer sur ces paroles. Tu l’écoutais attentivement. Toute façon, tu n’avais rien d’autre mieux qu’à faire. Puis cela t’intéressait réellement. Je vois. Mais faut vous dire que votre chance à tourner. Peut-être pas pour la personne dont le cœur appartient, mais tout le monde a droit à une seconde chance. Mourir jeune, c’est triste. Puis, vous m’aurez pas sauvé la vie, si vous n’auriez pas eu un nouveau cœur. disais-tu d’un sourire sincère. Pour lui faire comprendre qu’il ne se serait jamais rencontrer si ce n’était pas le cas. Cette situation tournait à présent comme-ci que vous vous faisiez confiance sans vous connaitre vraiment. Puis, tu étais une fille. Alors t’aimait énormément parler. Sujet délicat. C’est vrai lorsqu’on parlait de Jonah. Tu étais complètement différente. Peut-être parce qu’un deuil ne se faisait pas aussi facilement qu’on pourrait le croire. Je ne préfère pas savoir. Pour tout avouer. La personne qui a eu l’heureuse chance d’être sauver me suffit pour me dire qu’en fait, elle le méritait.  Puis qui sait le destin pourrait me mettre sur la route de la personne qui à hériter de son cœur. avec un sourire. En fait, tu te rendais compte de parler de ce sujet, te faisait aller beaucoup mieux. Même s’il n’était pas douer pour parler. Il était très doué pour écouter. Chose fort bien. Peut-être qu’en d’autre circonstance, il t’aurait plus. Mais être dans un lit d’hôpital change complètement. Je vous remercie. Je ne me voyais pas encore rester seule. Je ne fais que dormir depuis hier soir.  Puis avec cette interdiction de me lever. C’est chiant. Vous êtes vraiment passionnée par votre boulot. Ah oui, si ce n’est pas une technique de drague, c’est quoi ? disais-tu assez amusée par la tournure des événements.

25 ans aviez-vous dit ? Le même âge que mon fiancé. On avait un an d’écart. Pourtant, cela ne l’avait jamais vraiment déranger. Peut-être aviez-vous reçu son cœur ? Même si tu ne pouvais pas y croire. Parce que cela voulait dire que la personne qui était en face de toi avait le cœur de la personne que t’aimait. Et cela te semblait si bizarre. Mais en même temps, tu te dis qu’il a eu la chance de vivre. Et c’était tout ce qui compte. N’est-ce pas ? Mais ta réaction face à cette nouvelle. N’aurait peut-être pas été  de tout repos. Tu ne savais pas comment allais-tu réagir face à cette nouvelle si cela s’avérait être vraie. Première réaction : le choc. Deuxième réaction : fondre en larme ou agir de façon bizarre. Seule le destin pouvait savoir ta réaction. Même toi en ce moment même, tu étais perdue. Complètement dans les vapes. Due certainement au choc d’hier. On m’a toujours apprise à être forte. Enfin surtout que j’ai plus l’habitude de compter sur moi que sur les autres. Pour tout dire, je pense que la première réaction serait le choc, mais après je ne sais pas comment je pourrais réagir. Qui sait la personne une question ne comprenait même pas pourquoi j’agirais de cette façon. Ce n’était pas une réponse. Mais ce n’était pas simple d’imaginer une réaction. Parce que ne t’imaginait même pas qu’une seconde qu’il était en face de toi.  Et tu ne voulais pas le savoir. Pas maintenant. Sa présence t’apaisait, te rassurait. Alors que tu le connaissais depuis quelque heure et encore. Même si tu n’accordais pas facilement ta confiance. Jayden avait ce quelque chose qui te rendait bizarre. Je ne sais pas trop quoi dire. Cela devrait être dur de savoir que vous pourriez mourir à tout moment sans connaitre la vie, la vraie. Maintenant vous aviez cette chance. Faut en profiter. disais-tu en souriant. En fait, tu ne pensais pas qu’il te draguait. Connaissant quelque technique de drague. Si c’était le cas. Il n’était vraiment pas douer. Puis tu ne penses pas l’intéresse. Au contraire. Rare sont les fois où tu te fais des illusions. Essayer toujours. Vous saviez, vous pouviez tout me dire.

Toutes ces révélations en si peu de temps. Croire ou ne pas croire. Telle est la question. Premièrement parce que même si c’était vrai. Tu ne savais pas quoi penser. Perdue dans l’envie de le foutre à la porte, mais l’envie d’en apprendre plus. Peut-être parce qu’au fond, c’était ton destin de rencontrer la personne qui portait son cœur. Te faire une raison. Mais les confidences te laissaient complètement déboussoler. Au fond de toi, tu ne croyais pas qu’il mentait. Cela se voyait dans son regard. Mais aucun mot ne pouvait sortir de ta bouche. Même si t’essayait. Il n’allait rien comprendre. Et si seulement, il y avait une explication scientifique. Te rappelant de certaine recherche de Jonah. Secouant la tête. Première étape : comprendre. Deuxième étape : réaliser. Troisième étape : se rendre compte que c’est la vérité. Pour l’instant, tu n’étais dans aucune de ces étapes, trop choquer. Ou peut-être le fait qu’il te dit que son cœur battait à une vitesse anormalement en ta présence. Qu’il avait des souvenirs de toi. Qu’il connaissait tes chocolats préférés. Mais enfin le plus troublant. Le seul surnom que Jonah te donnait : Ivy. Surnom qui te provoquait un milliard de frisson. Et tu ne comprenais pas réellement ce qui t’arrivait. Des yeux se remplissaient de larme. Avant de sentir sa main prendre la tienne. En d’autre circonstance, tu l’aurais repoussé. Mais tu n’avais pas cette force. Au bout de quelque seconde, tu réalisais c’est dire. Et de lui répondre Pour je ne sais quel raison, je vous crois. Peut-être ai-je tort ? Peut-être que je suis complètement cinglé de croire de tel parole sortie d’une personne que je connais que depuis quelque heure et encore. Mais la seule qui me surnommait : Ivy. C’était Jonah. disais-tu en laissant couler une seule larme. Peut-être parce qu’au fond ce genre de chose existe. Je ne voulais pas y croire. Mais vous êtes la preuve vivante que tout peut exister. Même les choses inattendues, irréelle. avant d’essuyer l’une de tes larmes. Tu tenais fermement sa main. Parce qu’à présent, tu devrais accepter qu’il ait reçu le cœur de ton défunt fiancé. Mais qu’en a-t-il en ce moment même ? Apprendre à plus le connaitre ? Ou au contraire fuir tout contact. Tu ne savais pas, tu ne sais plus.

Au fond de toi, tu ne savais pas quoi penser. Ces révélations t’avaient fait un choc. En même temps, tu pensais qu’il avait raison. Beaucoup t’avait raconté ce genre d’histoire. Sans que jamais tu l’es crois. Pour toi, c’était impensable. Mais comme on dit, rien n’est impossible, n’est-ce pas ? Et c’était à ce sujet que t’aimerais bien écrire un livre, vu ta passion pour la littérature. L’entendre dire que Jonah t’aimait réellement. Te donnait encore plus envie de pleurer. Cependant, tu n’avais jamais douté de ces sentiments envers toi. Oh que oui, tu savais qu’il t’aimait. Et toi, tu l’aimais aussi. Vous ne méritiez pas d’être séparé de la sorte. Par moment la vie est une vraie garce. A cette pensée, tu réalisais que c’était un miracle de trouver en face de toi la personne qui avait hérité de son cœur. Irréaliste, certainement. Mais en même temps, tu croyais au miracle. Peut-être est-ce un signe ? Tu n’en savais trop rien. Pour simple réponse, tu lui disais. Je n’ai jamais douté une seconde qu’il ne m’aimait pas. J’étais autant sincère que lui. Il va me manquer, mais je vais me rappeler de tous ces moments. Le jour qu’on s’est rencontré. Sa déclaration qui m’avait tant émue. Puis, lui tout simplement. Je te remercierais jamais assez Jayden d’avoir eu le cran de me le dire. Tu étais touché par ce que le pompier faisait pour toi. Beaucoup aurait pu le prendre pour un fou, mais cela te rassurait de savoir que le cœur qu’il avait hérité, il le méritait. Même si c’était en dépends de ton fiancé. Et, je suis contente que tu l’aies hérité. Tu vas trouver cela bizarre, mais tu as ce quelque chose qui me dit que tu le méritais amplement. Plus sincère que toi, tu meurs. Enfin, le moment était assez bizarre. Tu commençais à fatiguer, mais tu ne voulais pas rester seul. Peut-être est-ce un signe, comme quoi tu avais besoin  de quelqu’un. Peut-être pas plus qu’un simple amis, mais c’est déjà ça non ? J’espère avoir l’occasion de vous revoir ! disais-tu en souriant quelque peu. Ne sachant pas trop quoi ajouter à ça.

Une fatigue qui t’envahissait à mesure qu’il te parlait. Le choc de cette révélation devrait y être pour beaucoup. Tu étais contente, malgré tout de connaitre la personne qui avait hérité de son cœur. Au fond, tu étais rassuré que c’était quelqu’un de bien. Tu avais peur que la personne ne l’aurait pas mérité. Mais avec c’est dire. Sa façon de te rassurer, de t’avouer que Jonah t’aimait réellement. Qu’il tenait à te remercier. C’était une preuve qu’il le méritait amplement. Mais il était vraiment beaucoup plus bavard que toi. Cela te faisait penser à Jonah. Il avait le don te tenir la conversation. Alors que tu répondais des réponses simple et clair. Cela te manquait sa présence. Mais tu te sentais incapable de d’aimer pour l’instant. Faire le deuil de sa perte n’était pas une chose facile, mais Jayden avait contribué en partie. Au fur et à mesure, tu remonterais la pente. Toute façon, tu n’allais jamais pas te morfondre. Tu étais vivante, en bonne santé. La vie avait peut-être décidé de te donner une seconde chance qui sait. Vous avez l’habitude d’autant parler ? disais-tu en riant avant de lui répondre sincèrement Au moins, je suis rassuré que vous n’êtes pas un fou sortie de l’asile pour tout avouer. Et grâce à vous, j’arriverais plus facilement à faire mon deuil de sa mort. Vous semblez vraiment quelqu’un de bien. Alors oui, vous méritez ce cœur. Comme n’importe qui. Mais pour avouer, je suis assez contente que je suis tombé sur vous. Comme quoi le destin fait bien les choses. Je suis persuadé qu’on se retrouvera dans d’ordre circonstance. Encore merci pour tout. Tu n’avais réellement répondu à tout, mais la fatigue se faisait vraiment sentir qu’en fait. Lorsqu’il sortirait, tu étais persuadé que tu allais dormir comme quelqu’un qui avait un poids en moi. Et tout cela, c’était grâce à lui.