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 stop this stroller, please.

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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyJeu 16 Mai - 19:35


Stop This Stroller, Please feat Elizabeth Corday + Edwin Pignon



La peluche plut à la petite, j’en étais absolument sûr. Elle venait de la prendre dans ses bras et de la serrer. J’étais content que ma surprise lui plaise, même si en fin de compte c’étais assez logique, les enfants adorent les peluches. Je n’ai jamais vu aucuns enfants bouder une peluche, ils courent tous vers les peluches généralement. J’en ai dans mon bureau à l’hôpital, et elles plaisent à tout les enfants, et de tout les âges en plus. C’est donc un bon investissement de ma part. Enfin, bien que par moment, les peluches sont plus intéressantes que mes questions, et ça les enfants me le font bien sentir. Et il arrive que les enfants repartent avec, sans me demander la permission, donc je vais souvent en acheter des nouvelles.

On avait fait le trajet de retour à pieds, ça ne m’avait pas déranger, malgré le fait que je n’aime pas beaucoup marcher. J’étais en bonne compagnie, et les vingt minutes du trajet ne m’avaient absolument pas semblées longues. C’était une partie de la ville que je n’avais encore jamais vue, alors mon regard voyageait de gauche à droite et de droite à gauche. Je n’ai pas encore eu l’occasion de faire beaucoup de balades pour visiter la ville, alors j’en profite un petit peu. J’avoue que je ne sais pas à quoi m’attendre pour l’appartement d’Elizabeth, je me doute qu’il doit être remplit de jouets pour enfant, mais niveau décorations, et aménagement, je n’ai absolument aucunes idées de ce que pourrait être ses gouts. Lorsqu’on arriva, elle ouvrit la porte et mit la petite fille dans un parc, avant de me dire que j’étais décidément un grand enfant parceque je refusais de manger certains aliments. Elle parla aussi du Syndrome de Peter Pan, mais ça, je ne suis pas sûr que je l’aie. Puis, après m’avoir dit ça, elle se dirigea en cuisine. Pendant ce temps, je restais près d’Ella dans son parc à jouer avec elle. Elle revint finalement avec un paquet de bonbon, en me disant que je devais aimer ça.

>>Oh que oui j’aime ça, en lui prenant le paquet des mains et en mangeant un bonbon.

Par la suite, se fut le temps du bain pour la petite Ella. Elle me dit aussi que je pouvais prendre une douche et me donna des vêtements de rechange. Certainement ceux de son défunt mari. J’allais me diriger vers la salle de bain, mais je l’y vit entrer avec sa petite fille, je me stoppai donc et allai me poser quelques instants dans le canapé, attendant qu’elles en sortent. Je n’allais certainement pas entrer alors qu’elle donnait le bain à sa fille, ça ne se fait pas! Pendant ce temps, je détaillais l’appartement d’Elizabeth, je voyais les photos d’elle et son mari, de la petite famille qu’ils formaient par le passé. Ils avaient vraiment l’air heureux, j’espère qu’un jour je les verrais à nouveau sourire et être heureuses comme sur les photos. Et puis, j’espère qu’un jour, je ferais partis d’une famille comme celle la, se serait tellement magnifique ! Mais en ce moment, je doute que ça se produise.

Une fois la petite douchée, je me dirigeai à mon tour vers la salle de bain pour prendre une douche. Ca fait vraiment du bien de sentir l’eau couler le long de mon corps, et ainsi enlever toutes les courbatures qui auraient pu venir à cause du stresse auquel je suis exposé. Et puis, au bout de vingt quatre heures sans dormir, une bonne douche ça fait vraiment beaucoup de bien ! Je prenais un temps pour réfléchir et mettre mes idées au clair. En ce moment elles étaient toutes chamboulées, certainement à cause de ma rencontre avec Lizzie et Ella, et de ce que j’éprouvais pour elles deux. Finalement, je sortis de la douche, m’essuyai rapidement, et passa les vêtements qu’Elizabeth m’avait prêté. C’est étrange de porter des vêtements qui avaient appartenu à son mari, j’espère qu’elle ne s’est pas forcée à me les donner. Je passai rapidement une main dans mes cheveux et sortis de la salle de bain, les cheveux encore trempés.

>>Merci pour les vêtements, je te les laverais et te les rendrais ne t’en fait pas.

Elle doit y tenir à ses vêtements, alors il est logique que je les lui rendrais. Je comprends parfaitement qu’elle les garde, ma mère avait fait pareil lors de la mort de mon père.


(c) alysha

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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyJeu 16 Mai - 20:46


stop this stroller, please.
an unfortunate accident is a good meeting.

« Oh que oui j’aime ça ! » Il était facile de deviner qu'il aimait les bonbons. Il n'y a aucun enfant qui résisterait à appel des bonbons. Il en était de même pour les personnes atteintes du symptôme de peter pan. Il avait pris le paquet de ses mains, quand elle lui avait apporté. Il n'était pas allé par quatre chemin, et entamait le paquet à une allure impressionnante. Il se comportait tellement comme un enfant. Lizzie remarquait à ses mimiques, qu'il en n'avait pas pris « conscience ». Il est difficile de l'admettre, pour un enfant qui a grandi rapidement, sans même pouvoir vivre son « enfance » comme tous les autres. Il était cependant rester toujours à cet époque, ou il avait tout perdu. Elle se mit à sourire amusé par son comportement, avant de rejoindre la salle de bain avec son enfant, pour la doucher. […] Il pouvait à présent se doucher, les deux femmes avaient quitté la « salle de bain » depuis quelques minutes. « tu peux te doucher, maintenant ! » La jeune femme observa le bel homme partir occuper la salle de bain, se doutant qu'il prendrait sûrement du temps comme les enfants, ou même les hommes en général. Lizzie donna les purées au légumes, et à la viande à Ella qui semblait ne pas aimer depuis un moment celui au « haricot vert » mais elle voulait insister tout de même. Il ne fallait pas abandonner, mais ressayer pour voir si cela ne dépendait des moments. Ella réclamait ensuite sa compote, qu'elle se dépêcha de lui donner, pour ne pas qu'elle se mette à râler comme Edwin. La jeune mère déposa l'enfant dans le parc à jouet, après avoir l'essuyer proprement sa bouche. Il ne manquait plus qu'à tout préparer, avant le retour de son ami qui prenait un temps fou pour se doucher. Il fallait dire que son mari était pareil, même elle surtout avec sa coiffure qui prenait beaucoup de temps. Elle commença à regarder une ancienne recette de son grand-père. Il paraît que c'était vraiment « délicieux ». Elle prépara les ingrédients, avant de s'attaquer au plus dangereux. Lizzie redressa la tête, en entendant le bruit du bouquin musical de son enfant, qui s'amusait à taper dessus comme une malade, pour entendre le son, mais vu qu'elle faisait le concours de qui tape le plus rapidement, c'était pas prêt de s'arrêter. Elle mit tout ça au four le temps du réchauffement, avant de mettre les couverts. Et voilà, maintenant c'était vraiment prêt après sa douche, ils pourront commencer à manger.

Il était à présent sorti de douche, comme elle avait pu entendre dans les couloirs. Il alla les rejoindre dans le grand salon, en remerciant Lizzie des vêtements. « Merci pour les vêtements, je te les laverais et te les rendrais ne t’en fait pas. » « Ce n'est rien ! Il n'y a aucun de soucie ! » Il n'y avait aucun problème. Elle ne les avait pas encore rangé convenablement. Il faut dire qu'elle avait vraiment du mal. Il était dur de croire que son mari était parti rejoindre les « anges » comme elle disait souvent à son enfant. Elle racontait à son enfant, comment était son père, quel genre d'homme il était, etc.. pour qu'elle garde en mémoire cet homme formidable, qu'était son père, et que même d'en haut il veillerait sur « elle » et la protégera. Lizzie trouvait étrange, de le voir en dehors de sa tenue vestimentaire habituelle, surtout celle de son défunt « mari ». Elle quitta le grand salon pour à son tour se doucher, avant de manger ensemble. La jeune femme savait parfaitement, qu'elle n'avait pas besoin de lui demander de la surveiller. Il le fera normalement, sans demander, étant donner qu'il adorait les enfants. Elle ferma la porte à clée, avant de se doucher. Elle retira ses vêtements, avant d'allumer l'eau pour le bain chaud, avec de la mousse pour se croire dans un « jacuzzi ». […] La porte se mit soudainement à sonner, quelques minutes après le départ de Lizzie pour la salle de bain. Lorsqu'il vint ouvrir la porte, celle-ci fut surprise de voir sa petite-fille dans les grand d'un étranger, ou peut-être du petit-ami de son enfant. La vieille dame entra à l'intérieur, avant de dévisager un moment cet homme, et de lui poser cette fameuse question. Elle en mourrait d'envie depuis qu'elle avait aperçu. Il fallait dire que pour une femme de son âge, cela était facile de questionner sans même réfléchir surtout que son enfant était veuve depuis cinq mois maintenant. « Je suppose que vous êtes le petit-ami de ma fille ! Je suis sa mère, Isabelle Corday ! » Elle referma la porte derrière elle, avant de saluer son petit-enfant qui était dans les bras du soit disant « petit-ami » de sa fille. « bonjour ma chérie. » et dire, qu'elle n'avait jamais été dans un tel état pour Lizzie, c'était franchement décevant. La vieille dame reporta son attention sur cet homme, en examinant attentivement, pour voir quel genre de goût elle avait. Oh, pour le moment elle ne rajouta rien, mais elle était une fin observatrice, et la moindre erreur pourrait être « mal » pris pour la grand-mère. Elle mit son sac à côté du canapé, après s'être installer convenablement, en attendant le retour de son enfant. Elle voulait sûrement l'emmerder, ou même lui demander un énorme service comme d'habitude. Il n'y avait rien d'extraordinaire, Lizzie était habituée depuis un moment. « Que faites-vous dans la vie..  ? Quel est votre nom déjà ? » Isabelle voulait commencer son « questionnaire » pour savoir si elle n'avait pas fait un mauvais choix, et tomber sur un pauvre type comme son père. Les parents de Lizzie avaient divorcés, y a longtemps maintenant. Ils s'aimaient encore, mais passaient leurs temps à se disputer. Ils ne voulaient pas infliger ça à leur enfant, du moins pas maintenant, elle n'avait que quelques années, quand tout cela venait de commencer.
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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyJeu 16 Mai - 21:19


Stop This Stroller, Please feat Elizabeth Corday + Edwin Pignon



Cétait au tour d’Elizabeth de prendr sa douche. Alors, lorsqu’elle se dirigea à son tour vers la sale de bain, j’allais vers le salon et vis Ella dans son parc qui jouait tranquillement. Enfin, si on peut appeler ça tranquillement, elle était entrain de frapper littéralement un livre musicale. Future musicienne dans l’âme ? Je n’en sais rien, il est encore trop tôt pour le dire, et je n’ai pas envie de me lancer dans un examen psychologique sur un si jeune enfant, et encore moins sur elle. Elizabeth pourrait croire que je me sers d’elles et de leur passé pour faire une étude ou quelque chose dans ce genre, alors que ce n’est absolument pas le cas. Et enfin, cette enfant est en parfaite santé, et à l’air stable sur le plan psychologique, alors pourquoi est-ce que je ferais un test ? Je n’en vois pas l’utilité, si plus tard Elizabeth veut que j’examine Ella, qu’on parle ensemble pourquoi pas, mais pour le moment c’est trop tôt.

Assis dans le canapé, j’allais m’endormir lorsque soudain j’entendis un bruit qui m’était jusque là inconnu. Je me levai d’un bond, et vis Ella entrain de pleurer dans son parc. Je m’en approchai, la pris dans mes bras et commençai à la calmer.

>>Chut, c’est un gros chagrin, ça va passer ne t’en fait pas. Lui dis-je avant de lui déposé un bisou sur le front

Je me baladai alors dans l’appartement, la petite dans les bras en essayant de la calmer comme je pouvais. Je n’ai jamais fait ce genre de chose, alors je ne sais pas très bien comment m’y prendre. J’ai déjà vu des parents faires, ils ont leur enfant dans les bras, et le berce tout en lui disant des mots rassurant. Je devrais peut-être tenter, après tout ce n’est jamais perdu. C’est donc ce que je fis, je la berçai en lui racontant une histoire. Ca n’avait pas l’air de fonctionner, alors je retournai près du parc, et pris une des peluches présentent avant de la lui donner. Ah enfin quelque chose qui fonctionne, Ella prit la peluche dans ses petites mains et la serra. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je lui fis une nouvelle fois un bisou sur le front. Lorsque j’allais déposer à nouveau la petite au milieu de ses jouets, quelqu’un sonna à la porte. J’allai donc ouvrir et je tombai sur la mère d’Elizabeth qui pensait que j’étais quelqu’un de la famille et plus précisément son copain.

>>Je suis juste un ami d’Elizabeth, rien de plus. Edwin Pignon, psychologue pour enfants, lui dis-je en lui tendant la main.

Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que cette visite à l’improviste n’allait pas plaire à Elizabeth. Pourtant, je ne pouvais décemment pas mettre sa mère dehors, et encore moins entrer dans la salle de bain pour la prévenir qu’elle avait de la visite. Et je ne pouvais pas faire comme si j’étais chez moi, et prendre toutes les libertés que je veux. Ah quelle magnifique impasse que voila ! Je décidai donc de garder Ella dans mes bras, elle allait peut-être se remettre à pleurer si je la remettais dans son parc et d’aller toquer à la porte de la salle de bain pour prévenir Elizabeth.

>>Lizzie, tu as de la visite, ta mère est au salon

J’espère que cette visite ne va pas gâcher ce que nous avions prévu. Et puis, j’avoue que je ne suis pas très a l’aise avec les personnes que je ne connais pas, alors j’espère que Lizzie va se dépêcher pour me sortir de cette situation désagréable. Déjà que sa mère me prend pour son copain, et puis quoi après ? Je suis le père de la petite, et nous allons nous marier ? Quelle bonne blague, il faudrait vraiment qu’elle apprenne à connaître mieux sa fille cette mère. Enfin, elle en a une au moins, même si elle n’a pas fait attention à elle. Je regardais ensuite Ella qui venait de perdre la peluche :

>>Oh pleure pas, lui dis-je en français sa faire exprès. Il m’arrive de reparler en français par moment.


(c) alysha

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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyJeu 16 Mai - 22:16


stop this stroller, please.
an unfortunate accident is a good meeting.

Lizzie entendit des pleures d'enfant. Elle espérait qu'il sache comment s'y prendre. Il ne fallait pas grand chose, seulement lui donner une « peluche ». La jeune mère n'aimait pas entendre les pleures de son enfant, mais elle ne pouvait pas sortir déshabiller, maintenant. Il allait penser quoi d'elle, en la voyant comme ça. Il y avait soudainement aucun bruit. Il avait réussi à conquérir le cœur de l'enfant, en donnant une peluche. La sonnette retentit, et Lizzie se rendit compte que cela devait être sa mère qui venait à improviste, comme d'habitude. La jeune femme espérait qu'elle n'embêtera pas longtemps son ami. Il n'y avait aucun moyen de prendre une douche tranquille, dans cette maison. La petite écoutait la conversation, même si elle ne comprenait pas tout ce que disait les adultes. Elizabeth aurait dû se douter, qu'elle viendrait poser cette « question » ou du moins dire cette affirmation. Il était sûr qu'elle ne connaissait pas son enfant, pour pouvoir dire ça les yeux fermés, alors qu'elle n'a pas réussi à oublier, ou même à faire le deuil. « Je suis juste un ami d’Elizabeth, rien de plus. Edwin Pignon, psychologue pour enfants. » Il sera certainement difficile de lui faire gober ça. Elle avait aperçu son petit-enfant, dans les bras d'un mystérieux inconnu. Il était rare qu'en plus l'enfant s'habitue à la présence masculine d'un autre homme, aussi rapidement. Il n'y avait aucun doute, c'était bien son « petit ami » pour elle, mais elle était trop entêté pour voir qu'elle faisait fausse route, comme chaque fois qu'elle essayait de rabibocher son enfant avec un homme depuis la mort de son mari. Il alla frapper à la porte, pour prévenir de la présence de sa mère dans l'appartement. Lizzie pouvait sentir qu'il était déjà « mal à l'aise » en présence d'une autre personne, qu'il ne connaissait pas. Elle se dépêcha un peu plus rapidement, pour rassurer son ami, avec une folle furieuse comme sa « mère » qui allait sûrement continuer son interrogatoire. « Lizzie, tu as de la visite, ta mère est au salon » Elle se mit à soupirer, en se doutant que cela ne pouvait être simplement elle qui pouvait insister aussi longtemps. Il fallait dire qu'elle était un cas également. Isabelle pouvait revenir des dizaines de fois, en voyant son enfant absent seulement pour l'emmerder.

Elle était loin d'être stupide, et se doutait quelque chose ne tournait pas « rond ». Lizzie ne voulait pas qu'elle mette le nez dans ce qui ne lui concerne pas, car comme d'habitude sa mère essayera de savoir ce qui déstabilise, et va peut-être toucher un point sensible. Et vu que personne n'a encore vu Lizzie en colère, mise à part sa propre mère cela pourrait effrayé tout le monde, étant donné que dans ce cas, elle n'hésite pas à lever le ton, ou même à frapper pour faire comprendre son désaccord, ou mécontentement. « Vous me semblez un peu tendu ! Vous allez bien ? » Oh, qu'elle n'essaye même pas de jouer les mères des autres personnes, en faisant la psychologue également. Il n'était pas facile d'être confronter à cette femme « là », c'est un vrai démon, mais cela peu de personne le savent. Le bébé avait perdu sa « peluche » qui était tombé pendant le trajet du salon, à la porte d'entrée autant dire que c'était la faute de sa « mère » comme d'habitude. Il y avait toujours une raison pour qu'elle gâche la bonne humeur, ou qu'elle fait pleurer son enfant avec ses conneries. « Oh pleure pas. » L'enfant ne comprenait rien, en temps normal, mais en français ça n'allait pas arranger les choses. Il va s'en dire cependant qu'elle le regardait, sans bouger d'un cil, en se demandant s'il allait ramasser sa peluche, mais c'était la vieille dame qui s'en chargea voyant qu'il était occupé avec l'enfant. Elle se mit à sourire, en reprenant son jouet, tout en regardant sa grand-mère qui semblait ne pas ravir sa mère qui venait de sortir de la salle de bain finalement. Lizzie était en robe de chambre, en train de s'essuyer les cheveux. Le regard froncé par la présence de sa mère tardive qui ne l'enchantait pas. Et si c'était pour lui demander quelque chose, alors elle pouvait attendre demain, mais pas maintenant. Elle n'était pas disponible pour le moment, elle devait manger, et allaiter son enfant avant son couché, donc inutile de parler longtemps, elle refusa tout ce qu'elle pourra lui demander. « Je vois que tu as que ça à faire de m'ennuyer à cette heure du soir ! Je te prierai de ne plus poser de question à Edwin ! » Je ne vais pas me gêner de l'a renvoyer dehors celle-là. « Elizabeth, j'ai à te parler ! C'est important ! » Oh, elle s'en foutait que c'était important, ou non. Il n'était pas question de communiquer, maintenant. Il était très tard, et le repas va se refroidir, ainsi que la petite qui va s'impatienter. Ella est allaitée à des heures régulières, et c'est justement pour ça que peut-être elle s'est soudainement mise à pleurer. Elle se doutait que c'était bientôt l'heure de « l'allaitement ». « Je ne crois pas que c'est le bon moment de parler de ça ! J'ai d'autre chose à faire ! J'aimerai que tu m'avertis quand tu veux t'inviter à l'improviste ! Je n'aime pas tes sales manies de faire comme chez toi ! » « Je comprends ! Je te préviendrai, c'est promis ! Je dois te parler de ton père.. Il veut te voir Elizabeth ! » Je ne veux plus le voir. Il a quitté la maison y a longtemps, donc inutile de revenir sur « lui ». Le regard froncé, une moue légèrement contrariée, pour lui faire comprendre son mécontentement. Elle semblait être d'accord, de ne plus évoquer son nom, ou sa présence chez elle, ni même la sienne d'ailleurs. Il était sûr qu'elle n'allait pas lui pardonner, tout comme à elle, et ce n'était pas autre chose qui allait la convaincre de changer d'avis, c'était son problème, donc inutile d'insister sur son « père ». Il n'avait pas qu'à faire le con, et d'abandonner son enfant. « Je ne veux plus entendre parler de lui ! Je te demande de partir de la maison, maintenant.. Et nous en reparlerons plus tard ! » « Je suis désolé de vous avoir déranger ! A bientôt Elizabeth, Edwin ! » Lizzie ouvrit la porte pour la faire partir dehors, en l'observant de loin, pour ne pas qu'elle essaye de revenir, et lui dire deux trois mots de plus que d'habitude. Elle referma aussitôt la porte, en embrassant le front de son enfant, voyant qu'elle avait auparavant pleurer. Il s'était débrouillé à merveilles, vu qu'elle ne pleurait plus, et était plus calme qu'en début de soirée. Elle voulait également s'excuser du comportement abusée de sa famille, qui n'était pas exemplaire, et qui demandait à être modifier par excellence. « Je suis désolé du comportement de ma mère ! J'espère que cela ne va pas t'empêcher de revenir ! »
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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyVen 17 Mai - 18:41


Stop This Stroller, Please feat Elizabeth Corday + Edwin Pignon



Ce que le temps me paraissait bien long tout seul face à la mère d’Elizabeth. Elle me mettait mal à l’aise, et je pense que ça devait se voir énormément. Je n’ai jamais aimé me retrouver tout seul face à des gens que je ne connais pas. Et puis, elle m’avait déstabilisé avec son affirmation complètement fausse, d’où tirait-elle des conclusions si hâtives ? Ne connaissait-elle donc pas sa fille, pour savoir qu’elle avait du mal à se remettre du décès de son mari, et que ce n’est pas le moment pour elle de se remettre en couple ? Il faut croire que non. Ella avait perdu sa peluche, et je n’eu pas le temps de la récupérer, puisque sa chère grand-mère s’en chargea pour moi. Et finalement, je ne pris pas la peine de répondre à sa questions, je ne savais pas quoi lui dire, elle avait mit le doigt là où il fallait, je n’étais pas à mon aise face à elle.

Finalement, Elizabeth vint à mon secours. Elle demanda à sa mère de quitter l’appartement, et de la prévenir la prochaine fois qu’elle veut venir leur rendre visite. Elle ne se soucia même pas de ce que venait de lui dire sa mère, que son père voulait la voir. Je ne sais pas ce qu’il s’est produit entre eux deux, mais je trouve ça dommage de ne plus le voir. Après tout elle en a encore un elle, autant en profiter. Après s’il s’est passé quelque chose entre eux, il est logique qu’elle ne veuille plus le voir. J’aurais aimé avoir ce choix dans le passé. Mais bon, chacun à sa vie, et on ne doit pas revenir sur le passé, même si c’est difficile. Durant le moment où les deux femmes s’étaient parlés, je m’étais éclipsé avec Ella, il serait dommage qu’elle voit sa mère et sa grand-mère se disputent, ce n’est pas sain pour elle. J’étais donc partit découvrir l’appartement avec Ella dans les bras.

Puis, lorsque la mère était partie, je revins dans le salon, déposa Ella dans son parc, et me retournai vers Elizabeth qui avait peur que je ne vienne plus leur dire bonjour à cause de ce que j’ai vu. Oh, ce n’est certainement pas à cause de ça que je viendrais plus les voir, se serait une stupidité de ne plus les voir à cause de ça, surtout que je ne pourrais pas ne plus les voir. Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais j’éprouve une sympathie pour elles deux, et je ne peux décidément pas me résigner à leur dire au revoir à cause d’une bêtise pareille.

>>Oh non ne t’en fait pas, ça ne m’empêchera pas de revenir vous voir toutes les deux. Lui répondis-je avec un sourire.

Puis après, une bonne odeur m’envahi les narines, elle cuisine bien Lizzie, ou alors c’est moi qui suis un mauvais cuisinier. J’avoue que la plupart du temps, j’ouvre une boite de conserve et la passe au micro-onde. Oui, je ne fais pas honneur à mon beau pays en me cuisinant des frites fraiches, ou encore un poulet avec de la compote de pommes accompagné de frites. N’allez pas croire qu’on ne mange que ça en Belgique, mais lorsqu’on fait un poulet, et bien on fait des frites c’est logique ! Et on ne boit pas non plus tout le temps de la bière, et on ne se drogue pas au chocolat, dommage. Enfin, ensuite nous passons à table pour manger les pancakes cuisinés par Elizabeth. Je me saisis de mes couverts et lançais en français :

>>Bon Appétit!

Puis, je commençais à manger, elle cuisine vraiment bien ! Ses pancakes sont vraiment délicieux !


(c) alysha

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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyVen 17 Mai - 19:31


stop this stroller, please.
an unfortunate accident is a good meeting.

« Oh non ne t’en fait pas, ça ne m’empêchera pas de revenir vous voir toutes les deux. » Lizzie était heureuse d'apprendre, qu'elle n'allait pas perdre un « ami ». Il serait dommage de gâcher leur début d'amitié, à cause de sa mère qui s'était mal comportée. Il y a par moment des baffes qui mériteraient de tomber. Il était certain, que si elle avait interrompu leur « amitié » cela allait mettre de mauvais humeurs, la belle blonde. Il en fallait peu pour la fâchée, du moins quand ça concerne uniquement ses parents biologiques. « heureusement.. » elle était soulagée de l'apprendre, car cela aurait chagriné de perdre un bon ami. Il y a également, qu'elle se sentait « proche » de lui, sans pouvoir se l'expliquer. Lizzie se sentait « confuse », après tout ce qu'elle avait vécu, aujourd'hui en compagnie du bel homme. Il avait réussi à lui redonner espoir, et même le sourire en une après-midi seulement. Il était rare qu'elle soit aussi bien, pour une après-midi miraculée. Oh, elle se demandait si elle n'allait pas regretter son départ. Il avait une présence « rassurante » qui lui permettait de ne plus sentir abandonnée, comme d'habitude. […] La jeune femme accompagnait du bel homme, prennent place pour manger ensemble des « pancakes » maisons, au légumes qu'elle avait préparé avant de se doucher, en les préservant au « chaud ». Il était vrai que l'odeur était très appréciable, même pour un fin gourmet. Il n'y a pas plus typique les pancakes, même s'il y avait sûrement meilleur tradition, ou nourriture anglaise. Le regard baissa légèrement, en repensant à son mari qu'elle revoyait dans son ami qui portait ses vêtements. Il n'y avait rien de mauvais, mais c'était seulement des souvenirs qui remontaient soudainement. Il était dur d'oublier son « passé » quand on a tous ses souvenirs dans cette maison. Il était présent encore dans cette maison, elle sentait son odeur, et sa présence à travers les « murs ». Il lui arrivait même de pleurer, en revoyant des moments ensembles, ou elle croyait de nouveau entendre. Lizzie reporta son attention, en l'entendant parler. « Bonne appétit ! » « merci, toi aussi ! » elle commença à manger, un sourire léger, mais le regard toujours voyageur, en repensant à plein de souvenirs qui la hantaient souvent pendant son sommeil. Ella commençait à s'impatienter, en tapant partout pour attirer l'attention de sa maman, tout en pleurant pour comprendre qu'elle voulait son biberon du « soir ». La jeune femme se redressa pour se diriger vers son enfant, qu'elle prit doucement afin de l'emmener dans la grand salon pour commencer à l'allaiter. Il fallait dire que le « lait » maternel était meilleur, et qu'elle voulait le préserver le plus longtemps, pour que son enfant n'attrape pas d'infection, ou de maladie, mais surtout parce qu'il a meilleur goût, et qu'il nourrit plus que n'importe quel « lait ».

Elle s'installa convenablement, en repensant au conseil de son mari, par rapport à comment bien allaiter un enfant, même si elle savait parfaitement manier. Ella se mit à sourire, tout en gigotant pour montrer qu'elle avait hâte de boire du « lait ». Il n'y avait que « les enfants », qui aimaient autant manger, quand on vieillit on perd vite le temps de manger correctement, ou de manger beaucoup. Il va s'en dire surtout pour Lizzie qui n'a plus aucune minute à elle, et qui perd la notion de nourriture, de plus en raison de la mort de son mari. Elle se déboutonna, pour donner le « sein » à son enfant qui l'attrapa sans aucune hésitation. Elle était attendri, à chaque moment de « allaitement », car c'était un moment privilégié. Il y avait seulement des « dosages » particulier, pour qu'elle n'est pas un poids élevée que la moyenne. Le bébé essaya d'attraper le sein, pour faire comme le biberon, et pouvoir contrôler son besoin de « soif » même si à son âge c'était normal de réclamer son biberon à différentes heures. Il y avait trois repas dans la journée, bien réparti donc l'allaitement qui n'en faisait pas parti également. Elle remarqua les pas de son ami, qui se demandait sûrement pourquoi elle mettait autant de temps à venir manger. Elle ne se doutait cependant pas qu'il comptait la prendre en photographie, pour sa collection « personnel ». « si tu tiens vraiment à le faire, ne met pas le flash sur l'appareil photo, cela pourrait déranger Ella ! » il en fallait vraiment peu pour perturber le repas d'un enfant, comme une bruit, des mots, ou même une lumière étrangère qui pourrait aveuglée et ainsi la faire pleurer par ailleurs. La jeune mère reporta son attention sur son enfant, avec toujours le même regard, en regardant du coin cependant Edwin qui tentait de faire « le paparazzi » maintenant, en pleine allaitement. Oh, elle ne savait même pas qu'il était photographe, mais vu qu'il comptait prendre des photos, à présent elle le « savait ». Elle voulait le questionner également, sur la photographie. Elle était « curieuse » de nature, et aimait se renseigner ou se documenter sur à peu près tout, même si cela finira sûrement par lui porter « malchance ». « depuis quand tu fais de la photo, Edwin ? »
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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyVen 17 Mai - 20:35


Stop This Stroller, Please feat Elizabeth Corday + Edwin Pignon



Après une longue journée de travail c’est plaisant de manger quelque chose de bon. Ce n’est pas comme si j’étais rentré chez moi, je m’étais dirigé vers mes armoires et avais sortit la première conserve que je trouvais sous la main avant de faire chauffer son contenu au micro-onde et que je l’avais mangé devant la télévision. C’était mon rituel du soir, c’était la même chose chaque jours, à force ça devient lassant, pourtant, je n’ai pas encore trouvé le moyen de casser cette routine qui s’était installée dans ma vie. Ou alors il m’arrive de sauter le souper et d’aller au lit directement tellement je suis fatigué. Autant dire que j’ai une vie bien ennuyante, je le sais, pas besoin de me le dire.

Ella commença à se faire entendre, elle commençait à pleurer, ça devait certainement signifier quelque chose aux yeux d’Elizabeth parcequ’elle quitta la table un long moment. De mon côté, je finis d’abord mon pancake, j’avais tellement faim et puis il serait honteux de le laisser à moitié entamé tant il est bon. Ensuite, je me levai et me dirigeai vers le salon pour voir ce qu’elle faisait. Elle était entrain d’allaiter sa fille en fait. Un moment d’intimité entre elles deux en toute logique, et je ne voulais donc pas les déranger. Pourtant, un objet attira mon attention, un appareil photo. Je ne pouvais pas résister à l’appel que ce simple objet me lançait. Je m’en saisis donc et allai doucement vers le salon, pour tenter de prendre en photo ce moment magique qu’une mère partage avec son enfant.

Bon, j’avoue ne pas être totalement à l’aise, pour deux raisons. Une complètement stupide, et l’autre un peu moins. La plus stupide c’est que je n’ai jamais travaillé avec un appareil photo numérique, j’utilise encore les anciens modèles, les argentiques, je trouve le rendu final beaucoup plus esthétique c’est pour ça. La deuxième, c’est qu’Elizabeth venait de se dévêtir légèrement pour pouvoir donner le sein à sa fille, et comme je suis un grand timide, et bien j’avoue que je suis légèrement déstabilisé. Enfin, j’essaye de passer au dessus, pour trouver le meilleur angle pour faire une photo. C’est la première fois que je fais ce style de photo alors je ne sais pas très bien comment m’y prendre. L’idée du rendu final est dans ma tête, pourtant je ne sais pas si j’arriverais à faire ce que je veux. Un truc simple, tout en douceur, sans pour autant qu’on voit de la peau nue. J’aimerais un truc assez émotionnel, ou on ressent l’amour que dégage ce simple geste. En gros, un truc bien technique, qui peut se révéler assez dur à immortaliser.

>>Non ne t’en fait pas, pas de flash c’est logique. Je ne compte pas lui faire peur.

Je tentais ensuite de prendre la photo idéale, du moins, celle que je pensais être idéale. Je me fixe assez souvent des rendus qui sont trop élevés par rapport à ce que je suis capable de faire, et ensuite je suis déprimé, je ne touche plus mon appareil pendant quelques jours puis je recommence. Je suis un éternel insatisfait enfait. On aura beau me dire que mes clichés sont beaux, et esthétique, je trouverais toujours quelque chose qui cloche et qui me dérange. J’ai envie de repousser mes limites plus loin, mais je n’ai jamais l’impression d’y arriver, et que je ne sais jamais me dépasser. Je sais, il faut que j’apprenne à me faire confiance, mais je n’y arrive pas, malheureusement.

>>Oh depuis longtemps, je ne sais pas exactement dire combien d’années ça fait. Mais en tout cas, c’est une des premières fois où je me sers d’un appareil photo numérique, généralement j’utilise les anciens, ceux où il faut encore développer les photos. Ca prend plus de temps, mais je trouve ça plus jolie au rendu. Lui expliquais-je pendant que je prenais une dernière photo.

Je ne sais pas pourquoi je suis devenu psychologue, j’aurais pu me tourner vers la photographie, et voyager énormément, montrer le monde au gens tel que je le vois. Pourtant, j’ai préféré me lancer dans des longues études, et venir en aide aux gens. Ce n’est absolument pas la même voie, mais pourtant je m’y plais bien. Je me rends utile de cette manière là.

>>J’espère qu’il y aura une photo que tu apprécieras, lui dis-je en lui rendant l’appareil photo.

Je n’ai pas encore vu que je venais de faire, mais comme je ne sais pas me servir de ce genre d’appareil, je la laisse faire.


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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptySam 18 Mai - 10:44


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« Non ne t’en fait pas, pas de flash c’est logique. Je ne compte pas lui faire peur. » il ne faut surtout pas déranger un bébé. Il pourrait très bien se mettre à pleurer, ou même à être perturber par cet appareil photo. Il fallait voir comme un étranger, pouvait perturber « le repas » d'un enfant, étant tellement intrigué. Lizzie se mit à sourire, en voyant qu'il comprenait parfaitement la « situation ». La jeune mère surveilla de nouveau allaitement, pour voir si elle ne s’étouffait pas, ou qu'elle ne buvait plus que d'habitude. Le poids d'un enfant est « important », certain ont justement des problèmes de santés à cause de leurs poids trop élevée. Il y a des bébés qui naissent « prématuré », comme ceux qui naissent trop tard, et qui ont un poids important à « surveiller ». Le médecin se rappelait bien un moment ou elle avait eu ce genre de problème, avec un patient dont l'accouchement était « trop tôt » qu'elle devait profiter de ces moments, avant de le voir « mourir ». Il n'est jamais facile d'annoncer, ou d'apprendre la mort d'un proche. « Oh depuis longtemps, je ne sais pas exactement dire combien d’années ça fait. Mais en tout cas, c’est une des premières fois où je me sers d’un appareil photo numérique, généralement j’utilise les anciens, ceux où il faut encore développer les photos. Ca prend plus de temps, mais je trouve ça plus jolie au rendu. » Il ne comptait pas les années, pourtant même si ce n'était qu'une « passion » cela pouvait être important pour une recherche d'emploi. Il y avait une question existentiel, pourquoi avait-il choisi alors psychologue, alors qu'il aurait sûrement aimé être « photographe ». La jeune femme savait que c'était quand même un métier « lourd » de prendre autant de malheur, pour s'encombrer les épaules, et protégez les autres.. elle avait vu une amie pleurer un moment, ne supportant pas tous les malheurs de ces personnes. Elle aimait son « métier », mais elle n'aimait pas voir autant de personne malheureuses. Lizzie était dans la même situation, voir toutes ses personnes en danger, et devoir tout faire pour les sauver, même si certains meurent sur la « table d'opération », c'était toujours douloureux. Ils leurs promettaient de sauver « leurs enfants » ou même leur époux, ou qu'importe, mais y a toujours des décès plus ou moins importants. Il fallait vivre avec ça depuis toujours, pour continuer ce « métier » important. « pourquoi n'as-tu pas choisi ce métier alors ? » elle se disait qu'en étant un éternel enfant, ayant le « symptôme de peter pan » cela ne devait pas être agréable de voir autant d'enfant souffrir. Il devait avoir besoin de « parler » ou pleurer ne supportant pas tout ça, sachant qu'un enfant ayant souffert par « son père » pourrait venir un moment, et lui demander des conseils. « je ne dois rien t'apprendre, mais psychologue c'est un métier très dur à porter.. c'est comme si un enfant portait tous les malheurs des « autres » sans exception, que feras-tu si un enfant comme toi arrive ? » elle s'inquiétait pour tout simplement, même si c'était rare, dés qu'elle rencontre quelqu'un. Il avait réussi à percer le cœur de la belle femme, pour arriver à avoir son « amitié » même si elle n'aimait pas voir « souffrir » ses camarades.

Ella avait terminé, elle se retira doucement de la poitrine de sa « maman », pour pouvoir tourner la tête sur le côté, en s'apercevant qu'il y avait son ami à côté. Elle se mit à gigoter de nouveau, tout en donnant du mal à sa mère de nettoyer sa bouche. Elle se remet correctement sa robe de chambre, avant de reprendre son enfant. « J’espère qu’il y aura une photo que tu apprécieras. » Lizzie reprit son appareil photo, qu'elle déposa à son endroit habituel, avant de remettre son enfant, dans les bras du bel homme, pour qu'elle puisse ranger les « affaires ». Il était hors de question que l'invité se donne autant de mal, ou qu'il rentre à cette heure là. Il se faisait très tard, et il y avait deux chambres d'invités. « il doit bien y avoir une, ne t'inquiète pas ! Tu veux bien me la garder, pendant que je m'occupe du lave-vaisselle.. » elle savait déjà la réponse, mais par preuve d'amabilité, elle se devait de lui demander. Ella regardait d'ailleurs son nouvel ami, en tirant son t-shirt qu'elle savait que c'était celui de son « papa ». Elle s'amusait à « choper » tout ce qu'elle voyait d'intéressant, et depuis toujours elle adorait les « sapin de noël », elle adore attraper les boules de décoration. Lizzie repartit dans la cuisine, pour débarrasser la  « table » et tout mettre au « lave-vaisselle ». Elle alla donc s'occuper de tout ranger. […] Lizzie sortit quelques minutes plus tard, en remarquant que c'était étrangement calme. Il n'y avait aucun bruit. « j'ai terminé, on peut.. » La jeune femme retrouva son enfant, dormant paisiblement, auprès de son nouvel ami. Elle déposa la serviette, à côté du lavabo, avant de marcher vers la chambre pour chercher de quoi les couvrir. Il en faisait pas très chaud, même en début de printemps. Le médecin revint avec une couverture, qu'elle déposa sur tous les deux, avant de murmure attendri. « mes pauvres chéris, vous étiez exténués ! » elle déposa un baiser sur leur front à chacun, en rajoutant quelque chose « dormez-bien, mes petits anges.. » ils étaient adorables, tous les deux dormant ensemble. Lizzie se doutait que le biberon marchait son enfant. Elle n'aurait pas imaginé, qu'il était autant « fatigué », et qu'il s'écroulerait en même temps que son enfant. Il avait du ne pas dormir pendant deux nuits, pour être à ce point assommer le soir. Elle s'apprêtait à rejoindre sa chambre, pour bouquiner pendant un moment, avant de dormir auprès d'eux, quand il se mit soudainement à se réveiller, sûrement à cause du baiser sur le front, pour leur souhaiter bonne nuit.
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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptySam 18 Mai - 22:45


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La séance porta ses fruit, je devais certainement avoir des belles photos. J’allais certainement les voir une fois qu’Elizabeth se serait occupée de faire ce qu’il lui restait à faire. J’espère qu’elles seront réussies, parceque je ne sais pas si je me suis servis correctement de son appareil photo. Se serait tellement dommage que j’en loupe certaine, ou toutes à cause d’un bête souci de réglage, je m’en voudrais tellement. Et puis, je serais déçu de moi, moi qui veux tout le temps que tout soit parfait. Enfin, tant que je n’ai pas vu le résultat, je ne peux que faire des suppositions, et ce n’est pas bon. C’est stresser pour peut-être pas grand-chose au final.

>>Parceque je voulais faire quelque chose d’utile, aider des gens qui en ont besoin comme j’en ai eu besoin. C’est un lourd métier, parceque je rencontre des gens qui ont des gros problèmes je sais. Pourtant j’aime mon métier, et si jamais je tombe sur un enfant qui vit la même chose que moi, et bien je ferais mon possible pour le défendre, et faire en sorte qu’il vive une belle vie.

Je sais que ce n’est pas le métier le plus simple, que je vois beaucoup de personnes avec des soucis, et que je ne devrais pas m’en mettre plus sur le dos parceque j’ai moi aussi des souvenirs et des soucis lourd. Pourtant, j’aime ce métier, parceque je me sens utile, j’aide les gens, j’essaie de faire en sorte qu’ils aient une meilleure vie. J’ai l’impression de faire le bien autour de moi, j’ai besoin de cette sensation. J’ai l’impression de m’aider moi-même au final, c’est étrange je sais, mais je vois qu’il y a des gens qui vont de mieux en mieux, alors je me dis que moi aussi je pourrais aller mieux, et que je ne dois surtout pas me laisser abattre par des choses qui sont passées.

Par la suite, elle me déposa Ella dans les bras pour aller terminer la vaisselle. Je pouvais l’aider si elle veut, elle n’allait quand même pas faire ça toute seule ? Je suis l’invité, ok, mais je peux quand même aider. Je n’aime pas rester sans rien faire, même si c’est moi l’invité, il faut toujours que je bouge et que j’aide. Bon je m’occupe de la petite, mais elle va bientôt s’endormir alors je ne servirais plus à rien, et je me sentirais mal de ne pas l’avoir aidée à débarrasser la table et à ne pas avoir fait la vaisselle avec elle. Enfin, pendant ce temps, je jouais avec la petite, pour tenter de la faire s’endormir.

Finalement, nous étions tout les deux fatigués, parceque nous nous sommes endormis en même temps. J’avais la petite dans mes bras, et je lui racontais je ne sais plus trop quoi, et je me suis sentis partir. Je me souviens avoir tenté de me mettre dans une position pour ne pas que la petite tombe ou que je lui fasse mal en dormant, puis j’ai fermé les yeux, et je suis partit dans un pays de rêves. J’ai aussi souvenance d’avoir souhaité éviter les cauchemars cette nuit, en me disant que je venais de passer une super journée et que ce ne serait pas eux qui allaient me pourrir ma nuit. Du moins, j’espère qu’ils ne seront pas présent cette nuit, se serait dommage pour moi qu’ils viennent me gâcher ma nuit. Je me dis ça chaque nuit, pourtant, je n’ai pas encore trouvé le moyen de les faire disparaitre. Malheureusement.

Je me souviens aussi avoir entendu une voix, et sentit quelque chose me recouvrir. Comme je n’ai pas l’habitude qu’il y ai quelqu’un avec moi, j’ouvris péniblement un œil avant de me rappeler que je ne me trouvais pas chez moi, mais bien chez Elizabeth et que j’avais sa fille dans mes bras. Je m’étirais de tout mon long, me disant que je ne pouvais pas dormir chez elle cette nuit, elle vient de perdre son mari, elle ne va pas m’accepter aussi facilement. Et puis, je travaille demain, je me lève tôt, je ne voudrais pas la dérangée au matin, non décidément, je dois rentrer chez moi pour dormir ne serais-ce que deux heures.

>>Je vais vous laisser toute les deux, lui expliquais-je en baillant.


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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptySam 18 Mai - 23:29


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an unfortunate accident is a good meeting.

Il n'avait pas du dormir la nuit. Il était autant épuisé, qu'il s'était endormi automatiquement, sans même avoir besoin d'attendre. Le médecin se dirigea vers sa chambre, pour chercher un bouquin, et une paire de lunette pour commencer à bouquiner. Lizzie l'aperçut, en train se se réveiller lentement, tout en s'étirant de tout son long, en baillant pendant quelques minutes. Elle se doutait à ce moment là qu'il voudra repartir, mais c'était impossible, il était complètement exténué, et le temps s'était couvert depuis longtemps. Il n'allait pas tenté de repartir chez lui, maintenant c'était trop dangereux, il pourrait avoir n'importe qui, ou même il pourrait lui arriver un accident de voiture, sous le coup de la fatigue. Il était hors de question, qu'il essaye de « franchir » cette porte, Lizzie lui empêcherait de partir. La jeune femme avait déjà perdu un « homme » donc hors de question d'en perdre un deuxième, même si cela pouvait paraître ridicule, elle se sentirait responsable s'il lui arrivait quelque chose, étant donné qu'il était sous sa responsabilité, vu que c'est chez elle qu'il était allé mangé, et dormir quelques secondes. « Je vais vous laisser toutes les deux ! » elle fronça les sourcils, en revenant tout en déposant son bouquin pour venir s'approcher du bel homme. Lizzie déposa ses mains sur chaque des épaules, pour empêcher de partir maintenant. Il était comme ça bien assis sur le canapé, toujours en tenant son enfant convenablement. Le regard vers son enfant, qui dormait toujours paisiblement, ayant pas remarqué qu'il avait bougé. Le médecin supposait tout de même qu'elle avait gigoté au moins parce qu'elle sentait de l'animation, et qu'il s'était du coup réveillé. « non, reste je t'en prie.. c'est trop dangereux que tu sortes maintenant, tu es à moitié endormi, et il est très tard.. il pourrait t'arriver n'importe quoi, et je m'en voudrai s'il t'arrivait quelque chose.. » elle repartit chercher son bouquin pour pouvoir s'installer auprès de lui, une façon à elle de montrer qu'elle aime beaucoup, et de l'empêcher de partir maintenant. Le corps était extrêmement proche de celui du bel homme, cela ne la dérangeait pas. Il fallait dire qu'elle était plongé dans son bouquin sur une romance compliquée, mais très belle de son point de vue. Elle jeta de temps en temps un coup d’œil pour voir s'il se rendormait, ou qu'il était décidé à partir malgré tout ce qui la décevrait beaucoup, et qui aura sûrement plus tard beaucoup de mal à lui accorder sa confiance, ou même autre chose. Lizzie lissait beaucoup, cela lui permettait de se cultiver, mais également de pouvoir s'endormir. Il n'y a rien de mieux que la « lecture » pour pouvoir se reposer, ou oublier le temps pendant un moment.

Lizzie s'endormit au bout d'un moment, se mettant à rêver du bouquin, mais également de son mari et de son enfant. Elle avait habitude d'avoir le sommeil agité, mais quelque chose lui disait que ça ne serait pas elle qui se réveillera cette nuit. Il était possible que ça soit son enfant, parce qu'elle faisait un cauchemar, ou même Ed par rapport à son passé, dans ce cas là, elle devra le rassurer comme un enfant. Il n'y avait aucun problème, elle y était habituée, et savait comment gérer la situation. Il était aussi doué son mari pour aider son enfant, et lui avait appris des solutions pour la calmer ou la rassurer qui marchait très bien. Oh, elle ne s'en rendait pas compte, mais elle s'était reculée légèrement, pour sentir plus la chaleur du corps de son ami, qui aurait sûrement plus besoin d'être rassuré. Il était rassurant de dormir avec quelqu'un, un ami, ou un mari, ou même un enfant, cela permettait d'affronter les cauchemars ensemble, et de pouvoir être rassurée qu'on n'est pas tout seul ou abandonné. Lizzie sentit un moment, que quelqu'un la serrait contre lui doucement, et vu que cela ne pouvait pas être « son enfant » elle soupçonna que c'était Ed qui faisait sûrement des cauchemars, par rapport à son passé, encore une fois. Le médecin était toujours endormi, mais avait tout de même attraper sa main, pour la serrer, et ainsi le rassurer qu'il n'était pas tout « seul » qu'elles étaient là pour lui. Elle se réveilla quelques secondes, pour venir embrasser sur le front, avant de murmurer à l'oreille « tu n'es plus tout seul ! » et se remit à la même position que tout à l'heure, en gardant toujours sa main, au moment ou elle se rendort de nouveau. Elle espérait que ça l'avait aidé à « lutter » contre ses cauchemars, et qu'il pourra bénéficier d'une nuit paisible pour « une fois » même si elle doutait que cela soit envisageable. Il lui avait dit clairement que cela le pourchassait encore aujourd'hui. Et mine de rien, cela l'inquiétait de le voir autant mal à cause de son passé, qui empêchait de vivre normalement, sans avoir des cauchemars, ou que sais-je encore.. elle aimerait faire quelque chose, car au fond d'elle, elle voulait croire qu'il y avait un moyen d'arrêter ce carnage, car il méritait de dormir paisiblement et de recommencer une nouvelle vie, c'était impossible qu'il mérite l'enfer, il ne l'avait pas « mérité » du point de vue de la belle femme. Il y avait peut-être un début de sentiment, mais cela elle ne le savait pas, vu que pour elle c'était normal de vouloir le meilleur pour quelqu'un, ou de s'inquiéter autant.
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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 12:31


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Lizzie, n’avait pas voulu que je m’en aille en pleine nuit, elle avait peur qu’il m’arrive quelque chose, et elle me dit qu’elle s’en voudrait même. Je décidais donc de rester et de passer la nuit chez elle, si ça la rassure je reste. Et au fond, j’avoue que je ne sais pas si j’aurais été capable de faire le trajet de retour, il est tard, je suis fatigué et il se passe souvent des trucs la nuit. Alors je ne garantis pas que je sois arrivé chez moi en un seul morceau. Je la remerciai alors dans un bâillement avant de retomber endormis dans son canapé en compagnie de sa petite fille. En espérant faire de beaux rêves.

Malheureusement ce ne fut pas le cas. Ma nuit fut mouvementée, et je commençais à rêver de choses passées, et des souffrances que mon père m’avait infligées. J’avais l’impression de ressentir au plus profond de ma chair la douleur que ça faisait, de sentir ma peau s’enflammée sous la douleur, et de sentir le sang couler le long de mes membres, dans ma bouche, et devant mes yeux. Tant de douleur que j’aurais pu éviter si j’avais su comment faire, comment m’y prendre. Ses souvenirs tellement douloureux me crispèrent, et commencèrent à me faire bouger sans le vouloir. J’avais conscience qu’Ella se trouvait sur moi et que je ne pouvais pas faire de gestes brusques, mais je ne pus me retenir. Je me levai d’un coup, et regardais autour de moi.J’étais couché dans le canapé, Ella sur mon torse qui dormait tranquillement, sans se douter de ce qu’il se passait et Lizzie à mes côtés entrain de lire. Elle me murmurait quelque chose de réconfortant à l’oreille avant de se remettre dans sa position initiale.

>>Je sais, mais je revis ces horreurs dans mes nuits, toutes mes nuits. Ca me réveille à chaque fois, m’empêche de fermes les yeux, et de me reposer correctement. Je n’ai jamais trouvé le moyen de me débarrasser de ces cauchemars, lui dis-je en m’étirant.

A présent que j’étais réveillé, je ne sais pas si je saurais me rendormir. J’ai peur de revoir les mêmes horreurs, alors je ne fermerais pas les yeux de la nuit, je trouverais une occupation et ne dormirai plus. J’ai l’habitude de faire des choses pareilles, je fais ça presque toutes les nuits. Bien sûr, il m’arrive de me rendormir, et de ne plus revivre les horreurs, mais je n’ai jamais le courage d’essayer. Lorsque ça arrive, c’est généralement parceque je suis tombé de fatigue à cause de mes longues insomnies. Je ne sais donc pas si c’est à cause de ses insomnies que je ne rêve pas de mon père. Après tout, c’est peut-être parceque quand je tombe de sommeil je n’y songe pas que je ne rêve pas de lui. J’ai tellement peur d’en rêver lorsque je me mets au lit que j’en rêve finalement. Il faudrait que je tente une fois de penser à autre chose avant d’aller au lit.

Je déposai ensuite Ella dans les bras de sa mère, me levais du canapé, m’étirai longuement avant de me diriger vers la cuisine pour prendre un verre d’eau, j’avais terriblement besoin de boire, ma gorge était sèche et un grand verre d’eau fraiche me ferait du bien. Mais ensuite ? Je ne savais pas si j’allais être capable de me rendormir. Je l’espérais fortement parceque je savais que ma journée du lendemain allait être particulièrement longue et que donc j’aurais besoin de dormir. Je retournai quand même près des deux femmes, et me remis dans le canapé aux côtés d’Elizabeth. Elle avait certainement besoin de dormir elle aussi, élever toute seule un enfant doit être épuisant, elle ne doit pas avoir fait une longue nuit depuis un petit moment.

>>Dort, tu as certainement besoin de dormir, lui dis-je en passant un de mes bras autour d’elle.


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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 20:37


stop this stroller, please.
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« Je sais, mais je revis ces horreurs dans mes nuits, toutes mes nuits. Ça me réveille à chaque fois, m’empêche de fermes les yeux, et de me reposer correctement. Je n’ai jamais trouvé le moyen de me débarrasser de ces cauchemars. » Il lui arrivait également de revivre ces moments de bonheur, ou celui ou elle le découvre mort dans leur chambre à hawaï. Il n'y avait rien d pire que revoir tout ça en boucle, comme si chaque nuit était un « enfer » dont tu ne pouvais même pas te réveiller. Il fallait penser à autre chose, à revivre un moment agréable, avec des compagnons, ou quelqu'un « d'important ». Lizzie comprenait ce qu'il ressentait, de ne pas pouvoir dormir à cause d'un passé tourmenté. Il n'avait qu'à penser à « aujourd'hui » n'avait-il pas passé une « belle journée » en leurs compagnies. Il en était de même pour les deux femmes, dont une qui dormait dans un sommeil profond. Le médecin serra fort ses mains, en montrant qu'elle était là pour « lui » et que si elle pouvait, c'est avec grand plaisir qu'elle aiderait. Elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait faire pour arranger son problème, et cela la chagrinait énormément. Elle n'aimait pas le voir autant dans la détresse, cela lui rongeait le cœur. « Il faut penser à autre chose, pourquoi pas à cette après-midi ? La journée ne t'a t-elle pas plus ? » il n'y avait pas d'autre recours, que de s'imaginer sur le bord de mer, en train d'être avec quelqu'un qu'on aime énormément. La jeune femme ne pouvait pas savoir après tout, si cette après-midi lui avait « plus » autant qu'elle, même si cette rencontre a été un accident. Il aurait très bien pu trouver ça « inintéressante », étant donné qu'elle n'a pas pu empêcher ces cauchemars. Il redonna l'enfant à sa propriétaire, après qu'elle est arrêtée de bouquiner, pour le déposer sur la table de salon. La petite se mit à gigoter, et se mit à pleurer pour faire comprendre qu'elle était mécontente de changer de bras, pendant son sommeil réparateur. Lizzie se redressa pour bercer tendrement son enfant, qui commençait à se réveiller brutalement. Elle se mit à marcher vers la chaine « hifi » pour mettre CD des chansons pour les « tout petit » donc on y retrouve actuellement : « au clair de la lune » qui était la chanson par excellence pour endormir, un enfant. La jeune femme se remit sur le canapé, en attendant le retour de son nouvel ami qui était en train de boire de l'eau. Il devait sûrement avoir la bouche sèche après ce qu'il venait de revivre dans ses songes.

« Dort, tu as certainement besoin de dormir ! » oh, elle n'avait pas dormi depuis longtemps, elle faisait que des courtes « siestes ». Le médecin était accaparée par « les cauchemars », mais également son travail pour des « urgences » ou même son enfant qui fait des cauchemars, par rapport à des monstres. Il était donc impossible, de pouvoir dormir longtemps, du moins elle arrivait à fermer l’œil, mais que quelques minutes, cela ne durait pas plus. Il avait également besoin de dormir, ça se voyait à son teint, qu'il n'avait pas dormi pendant un moment, et qu'il avait besoin justement de penser à quelque chose « apaisant ». Lizzie y réfléchissait. La jeune femme ne savait pas comment faire. « oh je ne fais que de courtes siestes, un peu comme toi.. mais pour plusieurs raisons, et dont une qui te rejoins ! » elle lui répondit, avant de reprendre son bouquin pour terminer son chapitre. Lizzie n'aimait pas s'arrêter au milieu d'un chapitre, elle devait le terminer, avant de pouvoir dormir, sinon cela la perturbait. Elle garda son enfant, tout en s'arrêtant de bouquiner, pour se préoccuper de son ami. Elle aimerait avoir les « mots » pour pouvoir le « rassurer », et comme ça lui permettre une bonne nuit de sommeil. Elle ne savait pas quoi lui dire exactement, seulement. Elle se mordit la lèvre doucement, avant de s'approcher pour embrasser sur la joue, quand soudain l'enfant se mit à gigoter, se sentant un peu à l'étroit, et vint dériver « son baiser » sur les lèvres du garçon. Le médecin se sentit rougir soudainement, et fut comme bloquer par son acte, quand elle voulait se retirer. Il fallait dire que ça ne lui déplaisait pas, et que cela datait de longtemps depuis qu'elle avait embrassé un homme. Il était sûr que comme ça, ils n'auront pas de « problème » de dormir paisiblement, ce baiser va les perturber toute la nuit, et cela pourrait faire éventuellement réfléchir à leurs sentiments, l'un envers l'autre, cela dit ! Le bébé se mit à gigoter, en se sentant toujours autant à « l'étroit », c'est à ce moment là qu'elle reprit rapidement l'esprit, pour ne pas faire mal à son enfant qui voulait simplement « dormir ». Elle se décala légèrement, reprenant son ancienne place, au creux de ses bras, ce qui pour une fois faisait battre son « coeur » à n'y rien comprendre, alors qu'elle ne ressentait que de « l'amitié ». Le rouge était ancré sur ses « joues » et n'était pas décidé de partir de sitôt, maintenant. Il fallait tout de même lui répondre quelque chose, donc elle le regarda dans les yeux, en baissant le regard, avant de lui répondre. « ainsi, tu ne penseras plus à ton père, mais à moi.. »
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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 21:23


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Je sais que je devrais penser à autre chose avant d’aller au lit, ça pourrait certainement m’aider, mais je n’ai jamais essayer. De peur que ça ne fonctionne pas je pense, de peur de faire quand même face à ces mauvais souvenirs. Un jour peut-être je testerais, et si ça fonctionne, et bien je ferais ça régulièrement. Je sais que ça ne m’empêchera pas de faire des cauchemars, mais si ça peut les réduire et bien ça me plairait déjà énormément. Peut-être que la solution de mon problème est toute bête, mais je passe mon temps à chercher des solutions pour les autres, alors une fois ma journée finie, je ne veux pas en chercher pour moi-même. Je souris à ce que me dis Elizabeth, ça rejoins finalement ce que je pensais.

>>Pour tout dire, je n’ai jamais essayé. Je crois que je me couche avec la peur de revivre tout ça que finalement je ne pense plus à autre chose. Et puis, comme je fais des courtes nuits, et bien ça ne me dérange pas tant que ça.

Par la suite, une fois qu’elle eu récupéré Ella et qu’elle avait mis de la musique pour l’endormir, car la petite s’était réveillée. A cause de moi ? Je n’en sais rien, mais je n’ai pas envie que se soit à cause de moi, je ne peux pas avoir gâché la nuit d’une petite fille ! Elle dormait si profondément et si bien que je m’en voudrais de l’avoir réveillée. Elle est la personne qui a le plus besoin de dormir entre nous trois, pour bien grandir et pour être une petite fille en pleine forme ! Je lui déposai un bisou sur le front avant de voir qu’Elizabeth se rapprochait de moi. Je me demandais bien ce qu’elle voulait faire, mais je n’osais pas lui poser la question. Elle se dirigeait vers ma joue, sans doute pour me faire un bisou, mais au dernier moment Ella la poussa se qui changea la direction d’Elizabeth. Ses lèvres finirent sur les miennes. Instantanément je virai au rouge tomate. Je voulais me retirer, mais je me trouvais coincé entre le dossier et un accoudoir du canapé, je ne pouvais dont pas bouger. Pourtant je voulais bouger, j’étais vraiment mal à l’aise, vis-à-vis d’elle en premier, elle qui est veuve depuis pas longtemps, et qui doit certainement encore pleurer son mari tout les soirs.

Finalement, ce fut elle qui bougea, et se remit dans sa position initiale, dans le creux de mes bras. Je ne savais pas comment réagir, c’est la première fois que ça m’arrive, je ne sais pas quoi faire, ni ce que je ressens, tout est un peu confus au fond de moi. Je suis totalement perdu, il n’est pas facile de comprendre tout les sentiments et tout ce qu’ils font à l’intérieur d’une personne. C’est comme si on n’était plus soi-même, comme si on ne savait plus vraiment réfléchir correctement. C’est fascinant, et en même temps complètement effrayant. Et je continu de penser que même si certaines personnes pensent tout connaître des sentiments et bien en fait ils sont ignorant, tant leur chimie est complexe.

>>Je n’ai pas besoin de ça pour penser à toi, lui répondis-je en prenant une de ses mains dans la mienne.

Le simple fait de penser à cette journée et à tout ce que nous avons fait me suffi. Je ne comprends pas comment je pourrais ne pas penser à eux. Elles sont toutes les deux formidables, sont toutes les eux entrées si rapidement dans ma vie que je ne veux pas me permettre de ne pas penser à elles. Elles ont toutes les deux une place importante dans mon cœur, et ne sont pas prête de la quitter. Mon autre main se posa par la suite près d’Ella, et je caressai doucement sa joue avec mon pouce. Elle est vraiment adorable cette petite, et on dirait qu’elle comprend la peine de sa maman. Qu’elle essaye de faire tout pour qu’elle aille mieux, mais qu’en même temps elle veut la garder pour elle toute seule. Ah les enfants.




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MessageSujet: Re: stop this stroller, please.   stop this stroller, please. - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 22:24


stop this stroller, please.
an unfortunate accident is a good meeting.

« Pour tout dire, je n’ai jamais essayé. Je crois que je me couche avec la peur de revivre tout ça que finalement je ne pense plus à autre chose. Et puis, comme je fais des courtes nuits, et bien ça ne me dérange pas tant que ça. » Il fallait pourtant, cela aurait peut-être ralentir ses « cauchemars », et lui permettre un meilleur sommeil. Il était normal, qu'ensuite il revoyait ça inlassablement, vu que qu'inconsciemment, c'était lui même qui « s'infligeait » les mêmes horreurs, sans même s'en rendre compte. Il fallait dormir plus de « sept heures » par jours, surtout quand on a des nuits pareilles, et un travail complet qui nous surcharge à temps plein. Lizzie essayait de dormir, sans devoir penser à son défunt mari, pour éviter des « douleurs » en plus que d'habitude. Il suffisait simplement de voir son enfant, ou même sa meilleure amie, pour qu'elle puisse dormir paisiblement, et être heureuse pendant quelques minutes. La jeune femme caressa doucement sa main, tout en l'écoutant attentivement, pour lui être d'une meilleure « aide » que d'habitude. « essaye alors, pense à quelque chose d'agréable.. ou à cette après-midi, cela pourrait te permettre de te reposer.. il faut dormir sept heures maximum, surtout quand on n'a pas dormi pendant deux jours exactement.. » ne te néglige pas, s'il te plaît. Il ne fallait pas se négligé autant, cela pourrait l'emmener à une semaine à l'hôpital, pour lui donner des somnifères, car on l'a trouvé complètement endormi sur le volant, en train de bloquer « la route » ou simplement dû à un accident de voiture. La jeune femme comptait emmener demain, s'il comptait vraiment rester « éveiller » pour ne pas revoir ses horreurs. Il était aussi maître de son « cauchemar » et pouvait très bien faire en sorte d'en ressortir « vainqueur » malgré tout. […] Lors du baiser, l'improbable se produit, l'enfant poussa Lizzie contre Edwin, qui fit dériver le « baiser » aux lèvres du psychologue, qui se retrouvait complètement perdu, et incapable de se sortir de cette impasse, auquel il se retrouva malencontreusement, à cause d'une enfant « endormie ». Le médecin stoppa le « baiser » donné par accident, pour se reprendre son ancienne place. Il lui était impossible de rajouter quelque chose, c'était trop embarrassant, même si cela lui semblait « étrange » après tout ce temps. Au bout d'un moment, elle lui répondit, quelque chose d' « inattendu » qui comme à son tour provoqua la « surprise » de son nouvel ami. « Je n’ai pas besoin de ça pour penser à toi. » cela signifiait beaucoup pour la belle femme, qui avait impression de compter pour un « homme ». Il y avait longtemps, qu'on ne s'était plus « intéressée » à elle, ou du moins qu'on lui parle de cette manière. Il faut dire depuis quelques mois, mais cela la mettait aussi rouge comme une tomate, tout en gardant précieusement la main de cet homme, comme pour lui faire comprendre de ne pas « abandonner » à son tour, et de rester auprès d'elle le temps « d'une nuit ». Il était sûr qu'elle pourrait dormir comme ça. Lizzie déposa son « visage » sur l'épaule de son ami, pour prendre appuis, et dormir dessus comme ça, il sentirait sa « présence » et pourrait moins cauchemarder. La jeune femme ferma les yeux lentement, en murmurant à peine audible un « merci.. » un remerciement pour cet après-midi, d'être rester aujourd'hui auprès « d'elle », de redonner le sourire à son enfant, et d'être son « ami » même si cela pouvait paraître « anodin » cela comptait énormément pour elle. Il n'aurait pas été « présent » elle se serait sûrement mis à pleurer, ou à travailler pour oublier. Il avait fallu d'une seule présence, uniquement pour chambouler toute sa vie immédiatement, et pouvoir lui redonner « espoir » même si ce n'était qu'un début, pour une après-midi incroyable. Le royaume des « songes » accueillit, pour une nuit paisible, sans interruption, comme son enfant qui dormait, avec la « tétine » [...]
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