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 i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie}

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MessageSujet: i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie}   i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie} EmptyMar 14 Mai - 23:45



Matinée de merde, journée de merde en vue, de toute façon la donne ne change pas du jour au lendemain, va falloir que je bosse plus dur pour que ce soit différent et ça me plait pas. Je sors mon joint, me l’allume et regarde mon plafond. Mes yeux vont être rouges dans à peu près cinq minutes, ce qui fait toute la beauté de l’invention des gouttes pour les yeux. Je taffe sur ma marijuana et profite du temps qu’il me reste avant que mon réveil sonne et que j’doive me préparer pour aller bourriquer jusqu’à pas d’heures pour des gens qui me font chier. M’enfin, sans ça, j’ai pas de tune, et sans tune, je peux pas faire ce que j’veux, donc j’me consacre à le faire parce que j’sais que y’aura une récompense au bout du tunnel. Il fait beau dehors, étonnement ça me plait, d’habitude j’en ai rien à foutre, probablement parce que la journée sera… j’sais pas, j’arrive pas à mettre le doigt dessus. Après une quinzaine de minutes, j’émerge enfin de mon lit et me prépare. Je laisse Juliana dormir à côté, j’ai pas envie qu’elle se réveille et se mette à râler. Une fois ma douche achevée, j’broute quelques morceaux de ce qui a dans le frigo et me casse pour commencer ma journée. J’oublie pas de mettre mes gouttes, qu’on me pose pas de questions au bureau et me dirige vers la deuxième femme de ma vie, ma voiture. Une fois devant l’édifice, je salue personne et me rends direct à mon bureau, ils y sont habitués, je vois pas pourquoi je ferais preuve de courtoisie aujourd’hui. Je m’assieds à mon bureau et commence l’ouverture des dossiers. Serena, ma réceptionniste, me fait savoir que j’ai un rendez-vous avec je sais pas qui, j’écoute pas le nom, je fais que marmonner que j’ai compris et continue, le nez dans mes dossiers. L’heure du lunch arrive rapidement, je mange pas grand-chose, je fume un autre joint et retourne à mon bureau. J’assiste à une réunion merdique quelques minutes après mon retour et me fait assommer de propositions que je devrais faire aux clients pour qu’ils soient plus tentés de rester avec nous et d’investir de plus grands montants. Je me rappelle d’un coup que de toute façon, je les tiens tous par les couilles parce que je leur délivre leur dose de cocaïne hebdomadaire et que sans moi, ils ne seraient rien du tout. J’suis un des plus doués dans la ville et je donne de la bonne qualité par-dessus le marché. La tune faite, je la fais blanchir ailleurs, pas qu’on connecte les sources à moi et je m’arrange pour que le tout reste bien enterré. Ouais, des gens sont au courant de mon business, mais ça change rien, jamais personne parlera parce qu’ils savent ce qui risquent de leur arriver si c’est le cas. Bref, je crois que l’heure du rendez-vous arrive et j’entends les bruits de pas dans le couloir. Je relève pas la tête jusqu’à temps que j’entende mon interlocutrice dire mon nom à haute voix, avec un ton… bizarre et quoi, amer, et aussi surpris. « Tiens, Stryder, ça fait un sacré bail. T’es encore en vie à ce que je vois, c’est bien, j’imagine. » Dis-je, sur un ton neutre, avec un faux sourire. Je lui signale la chaise devant mon bureau. « Assieds-toi, j’vais pas te manger. Apparemment, t’as des investissements que tu voudrais modifier, c’est ça ? »
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Jodie Spivet
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MessageSujet: Re: i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie}   i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie} EmptyVen 24 Mai - 21:53

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❝ I'd be lying if i said it was a pleasure to see you again!❞


Foutu banque! Même pas fichu de régler un problème bancaire au téléphone. Billie n'était pas douée pour les finances. Dans le passé c'était Charlie qui s'en occupait et même si elle sait que Mike s'en sort pas mal elle se voyait mal lui demander des conseils par post-it, leur seul moyen de communication pour le moment. De même pour son mari qu'elle voyait trop rarement, elle se voyait mal pour une première discussion évoquait les problèmes d'argent. Elle avait donc retardé l'échéance (au moins pendant un mois) avant de prendre un rendez-vous officiel avec sa banque. La secrétaire qu'elle avait eu au téléphone la semaine dernière lui avait signalé qu'elle avait rendez-vous avec un certain Gabriel quelque chose. C'était tout elle ça. Se rappeler du prénom mais pas du nom, connaître la moitié de l'information. Bon au pire elle se disait que ce n'était pas très grave. Il ne devait pas avoir cinq Gabriel dans la même banque, encore moins qui ont rendez-vous avec une certaine Billie Stryder. Puis du moment qu'elle ne tombait pas sur un vieux grincheux tout lui allait.

Après avoir passé sa matinée à retrouver tous les papiers dont elle avait besoin pour l'entretien, à les classer puis à les ranger dans des pochettes elle se rendit compte qu'elle était assez fière d'elle. Au moins quand elle allait arriver au rendez-vous elle paraîtra organisée alors qu'au fond Billie sait qu'elle est l'exact opposé, mais ça bien sûr, son conseiller l'ignorait en tout cas c'était ce qu'elle pensait. Effectivement Billie ne s'attendait pas du tout à ce qu'elle allait vivre dans les prochaines heures. Pensant qu'elle se préparait pour un simple rendez-vous elle s'habilla de façon à ce qu'elle ne paraisse pas trop décontractée. Pour cela elle décida de vêtir un chemiser blanc, un pantalon noir et des bottines noires. Après s'être durement préparé, elle monta en voiture où il ne lui fallut que quelques minutes pour arriver sur le parking de la banque, se garer puis de faire son entrée dans l'entrée principale. Arrivée devant l'hôtesse d'accueil, Billie se sent obligée de se racler la gorge pour capter l'attention de l'hôtesse. "Bonjour, je suis Billie Stryder, j'ai rendez-vous avec un certain Gabriel..." Elle n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'on lui réponds: "Gabriel Kostas! Porte au fond du couloir à droite!" Vu son temps Billie n'arrivait pas à distinguer s'il était apprécié ou au contraire détesté. Ne préférant pas se faire des idées, elle la remercie avant de se diriger vers le bureau de son cher conseiller. A force de se rapprocher du bureau de Monsieur Kostas elle réalise peu à peu que ce nom lui est familier. Mais c'est lorsqu'elle l'entre-perçoit par l'entrebâillement de la porte de son bureau qu'elle réalise que son conseiller n'est autre que Gaby.

Un ancien ami à Charlie, un rebelle, bad boy, dealer. Elle qui pensait passer un moment certes peu jouissif mais bénéfique pour son compte en banque elle n'avait qu'une envie à ce moment-même, fuir, faire marche-arrière. Car oui cela faisait une éternité qu'elle ne l'avait pas vu et non elle n'avait pas envie de l'affronter. Malheureusement elle savait qu'il fallait résoudre ses problèmes d'argents et pour cela il fallait qu'elle parle à un banquier. Elle n'avait plus quinze ans, il fallait qu'elle se confronte à Gabe. Elle prit donc son courage à deux mains, se dirige vers le bureau de son "vieil ami". Toque à la porte, l'ouvre et dit dans un ton froid: "Gabriel Kostas... j'avoue que je ne m'attendais pas à ça! Quel surprise!" dit-elle ironiquement. C'est vrai que connaissant bien son passé, étant donné qu'elle en faisait en quelque sorte partie, elle ne l'aurait jamais imaginé dans cette branche là. Vu la remarque de Gabriel, lui-même était surpris de la voir. Par contre, il n'avait pas changé! Ayant toujours son humour déplacé et médiocre. Il lui montre une chaise, elle se demande dans son fort intérieur si elle n'a pas la possibilité de s'enfuir, mais après mûre réflexion s'installe dans la chaise désignée et ne peut que le regarder. Il lui demande si elle a des investissements à faire. Billie n'étant pas d'humeur joviale lui réponds du tac au tac: "C'est généralement pour ça qu'on va voir un conseiller financier ou un banquier!" Elle termine par un si joli et faux sourire qu'elle se demande si Gabe va vraiment l'aider suite à sa réponse ou l'enfoncer. C'est peut être parce qu'elle redoute la deuxième hypothèse qu'elle se reprend et lui dit: "J'aimerais bien ouvrir un autre compte et mettre de l'argent dessus!" continue-t-elle alors espérant qu'il puisse vite accéder à sa demande en espérant qu'il n'y ai pas trop de casse, entre.
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MessageSujet: Re: i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie}   i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie} EmptyMer 5 Juin - 17:38

Billie Stryder, la sœur de Charlie Stryder... Un fidèle associé que j’avais quand on était adolescents et qui m’avait laissé pendant un certain temps m’approcher de Billie, avant de me dire que ce serait mieux pour moi si je gardais mes distances et que j’arrêtais de lui tourner autour. En même temps, j’peux comprendre, il a pas voulu que je vienne près d’elle parce que j’allais pas nécessairement la traiter comme une princesse non plus. J’avais aucunes intentions de me poser, ni de faire quoi que ce soit de sérieux avec qui que ce soit… Malheureusement, Charlie a perdu la vie, quand j’en ai entendu parler, ça m’a quand même choqué, c’était un pote et notre business fonctionnait bien autrefois. Évidemment, c’était fait sous la table et toute la tune qu’on se faisait servait à se payer la traite. On vivait comme des rois, on était au-dessus de tout le monde et on se foutait de tout. C’était le bon temps, le temps où si on se faisait choper – ce qu’on faisait justement pas – bah on se faisait pas foutre en prison, non. C’était les parents qui écopaient des conséquences du quartier, parce que la police s’en tapait. On était que des cancres qui se balançaient du système. Rien de mieux que de se trouver un endroit en ville où on se cachait pour fumer, boire et mater les dernières minettes qui venaient de débarquer en ville… Bref, c’est pas le temps de penser à tout ça. J’dois focaliser mon attention sur Billie, assise à moins d’un mètre de moi. Je me penche sur ma chaise et entrecroise mes doigts, haussant les épaules et soupirant. « Bah alors t’es tombée au bon endroit. J’peux faire tous tes problèmes de compte disparaître en presqu’un claquement de doigts. » Je m’approche de mon bureau et compose une extension. Après une sonnerie, la voix de Julia résonne dans mon bureau. « Tu peux m’emmener le dossier de Billie Stryder s’te-plait. » Julia débarque dans mon bureau quelques secondes plus tard avec un dossier presqu’aussi épais qu’un dictionnaire… Je siffle, démonstration claire de ma surprise. « Dis-donc, ça t’arrive de t’occuper de tes finances régulièrement ou t’es trop occupée pour voir à ce que ton dossier soit à jour ? » Dis-je, d’une gestion de la main pointant vers la pile fraîchement déposée sur mon bureau. « Avec tout ça, c’est normal que t’aies du mal à tout gérer. » Julia a déjà disparu, je peux donc pas la déranger de nouveau pour rien, enfin ouais, mais j’en ai pas envie.

Je sais pas pourquoi ça me surprend autant, mais revoir Billie ramène de vieilles mémoires des temps qu’on passait et j’dois dire que parmi le peu de trucs qui me font du bien sur cette terre, c’est presque plaisant. J’veux dire, c’est pas tous les jours que j’revois des gens qui faisaient partie de mon passé. Celui d’avant Pete et Jake, celui d’avant que j’devienne qui je suis maintenant. Bref, j’examine de près le dossier de Billie et voit tous les changements effectués, ainsi que les dépôts et retraits d’argent et finalement le fait que presque tout soit relié à elle et son mari, ce qui fait que ses transactions sont limitées à moins que son mari l’autorise aussi et signe les papiers. « Ce que je vois en ce moment, c’est que presque tout est relié à ton mari, donc si t’ouvres un autre compte, tu veux que ce soit ton compte à toi ou un autre compte conjoint ? » J’connais pas ses affaires et j’veux pas non plus conseiller quelque chose qui fera pas son affaire. J’ai beau être un dealer et tremper dans des affaires louches, si y’a une chose que j’sais faire correctement, c’est mon job. « J’te conseille aussi de t’assurer que toutes les transactions que tu comptes faire soient enregistrées, pour pas que t’aies des problèmes après. »
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Jodie Spivet
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MessageSujet: Re: i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie}   i'd be lying if i said it was a pleasure to see you again {billie} EmptyLun 17 Juin - 19:31

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Bizarrement elle savait qu'elle n'allait pas passer un bon moment. Comment elle le savait? Une simple impression. Le fait de rencontrer des personnes du passé ne lui plaisait pas surtout dans cette période où ces mêmes personnes avaient eu la fâcheuse idée de revenir en nombres par là elle sous-entendait bien sûr sa mère. Pourquoi ne pouvait-elle pas retrouver des gens qu'elle appréciait plutôt qu'une mère qui ne l'a jamais vraiment été ou encore un dealer qui traînait il fut une période avec son frère. Elle s'était d'ailleurs toujours demandé pourquoi Charlie était son ami. Ils n'avaient rien en commun. Lorsqu'elle lui posait la question, son frère jumeau lui donnait toujours la même réponse: "Il m'amuse Billie! C'est tout!" Le croyait-elle? Elle ne s'était jamais vraiment posé la question avant aujourd'hui. Gabriel la sort de ses pensées en lui proposant de jeter un coup d'oeil à son dossier. Le fait qu'il puisse regarder l'état de ses finances la panique étrangement. C'était quand même un ancien dealer... Elle n'arrivait pas à s'enlever cette image de lui. N'ayant pas le choix elle prend sur elle, bien qu'elle soit décontenancée et acquiesce attendant que la secrétaire arrive avec le dossier qui se trouve être bien en désordre lorsqu'elle le rapporte. Au vu de la réaction de Gabriel elle comprend que tout le travail qu'elle avait pu effectuer dans la matinée n'avait servi à rien. Il était déjà en train de la juger. D'un côté de quoi devait-elle s'attendre avec lui ? Il n'allait pas être gentil, ce n'était pas son genre. Même lorsqu'ils étaient adolescents Gabriel n'était pas un ado des plus tendres et affectueux ! Pourtant à cette période la jeune fille n'en avait que cure et était attiré par ce côté bad boy. Elle avait même eu envie un moment de sortir avec lui, mais ce désir avait été de courte durée étant donné qu'il s'était comporté comme un salaud ! Charlie n'arrêtait pas de lui dire que c'était mieux pour tout le monde ! Elle, elle était triste sur le moment, mais elle était jeune et n'arrêtait pas de se répéter ce vieux dicton : « un de perdu et dix de retrouvés. » Pourquoi se remémorait-elle ses vieux souvenirs ? Elle n'arrivait même pas à répondre à cette question, elle était chamboulée ça oui ! Sa phrase lui restait dans la tête : « avec tout ça, c'est normal que t'aies du mal à tout gérer . » il évoquait assurément ce foutu dossier de banque, pourtant elle n'arrivait pas à faire la part des choses et se remémora directement sa vie actuelle qui n'était pas des plus simples. Elle n'avait jamais été du genre à se plaindre sur son sort et surtout pas devant une personne qu'elle ne connaît pas ou encore qu'elle ne porte pas dans son coeur. Elle décida une nouvelle fois de se contenir, préféra garder ses pensées pour elle plutôt que de les balancer à la figure de Gabriel et l'écouta attentivement.
Pensant que la chose allait être facile, qu'elle fut sa surprise lorsqu'il lui annonça que la majorité des documents les reliait Dean et elle. En y repensant, elle n'était pas surprise... avant son départ ils avaient tout programmés pour un au cas où... elle se rappelait encore la colère qu'elle avait piquée suite à cette discussion. Par chance il était revenu... enfin revenu ceci était un bien grand mot ! Mais là n'était pas la question ! Nerveuse elle se trifouillait les mains. « Le mien ! Vive l'indépendance et le féminisme ! » dit-elle, elle-même étonnée par ce qu'elle venait de dire ! « Non... je... bon je ne vais pas essayer de me justifier surtout envers toi! Je pense juste qu'un petit compte pour soi c'est quand même rassurant! Il faudrait aussi, tant que j'y pense, que je ferme le compte de Charlie ! » dit-elle avec empressement, elle n'aimait pas évoquer Charlie et encore moins avec l'un de ses anciens amis qui l'avaient sans doute mis dans plusieurs pétrins lorsqu'ils étaient adolescents. Charlie, Charlie... Elle ne savait plus comment faire sans lui... heureusement il y avait Jeremiah qui était là et son petit-frère Mike. Elle se demandait bien si Gabriel se rappelait de lui, certes il ne l'avait pas vu ou alors une fois mais elle se rappelait encore les soirées ou Charlie, n'arrêtait pas de raconter des petites anecdotes sur Mike et lui... c'était le bon vieux temps. Maintenant tout cela était parti en fumée, même Mike était distant... Ce que cela pouvait être ironique comme situation au fond. La voilà en train de galérer, à rejoindre les deux bouts, à garder sa vie intacte et lui, Gabriel Kostas se pavane avec un costard dans une banque alors que c'était un vrai connard, comme quoi le karma est incompréhensible. Elle n'aimait pas juger les gens mais aujourd'hui n'était clairement pas son jour et elle voulait porter la faute sur quelqu'un et ce quelqu'un allait être Gabriel Kostas.
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