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 Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMar 28 Mai - 19:49






Life Is Fulll Of Surprises
edwin pignon and elizabeth corday

« Que vous ayez quelque chose contre moi, je l’accepte, même si je ne comprends pas pourquoi. Mais que vous ne vouliez pas que la petite voit sa mère, juste parce que ce n’est pas un service de baby sitter, là vous descendez encore plus dans mon estime. Bien que vous n’ayez jamais une place énorme dans mon estime. Veuillez cependant comprendre, ou alors essayer, que la petite avait besoin de sa mère et que je la lui ai amenée pour qu’elle la calme, il n’y a pas d’autres raisons. » Il acceptait bêtement. Il se donnait au loup, sans même se débattre convenablement. Il n'avait donc pas d'honneur. Il ne fallait toute façon pas comprendre. Il aimait emmerder son monde, pour quelque chose d'important, ou bien par quelque chose « d'anodin ». Il en montrait parfaitement l'exemple. Ils étaient dans un hôpital, donc ce n'était pas le moment à adoucir les médecins, et en oublier leur « devoir ». Ils étaient tout le temps surchargés, donc les enfants ça sera pour plus tard. Il s'en foutait de son « estime ». Il ne l'aimait pas, et personne ne l'appréciait, mais il ne s'en plaignait pas. Il était aimable uniquement par moment avec Lizzie. Il essayait d'être diplomate, ce qui trouvait ridicule sachant qu'il n'était qu'un enfant dans un corps adulte, qui essayait de se la « jouer » grand. Elle prolongea son baiser tendrement, en souriant au coin, avant de voir la réaction de son supérieur, qui désapprouver. Il savait parfaitement, qu'il faisait ça pour le provoquer, donc ça l'énervait davantage. Il ne fallait pas s'amuser à le provoquer, sinon la dispute promettait de durer longtemps. « On essaye de jouer le « diplomate » maintenant ! Je crois que tu es encore trop jeune pour ça ! Je m'en moque bien, y a des personnes plus qualifiés pour s'occuper des enfants ! Je ne vois vraiment pourquoi vous vous occupez de l'enfant de Lizzie d'ailleurs ! » encore et toujours des rabaissements, pour se sentir supérieur, en ne supportant pas que cet homme puisse posséder quelque chose. Il n'en avait seulement pas terminer, et comptait bien montrer son autorité. « Je vous rappelle ce n'est pas votre enfant, et que la moindre erreur vous sera fatale.. Il va de soit que tout le monde sait que vous allez devenir comme votre père.. même Lizzie le sait ! » elle en resta bouche bée, trouvant cela absurde, alors qu'elle lui répétait sans arrêt le contraire. Il n'allait pas croire bêtement à cet homme, non ? La jeune femme espérait qu'il saurait différencier le mensonge, de la « vérité ». Oh, elle aimerait bien intervenir, mais elle savait qu'aucun des deux n'allaient apprécier. […]

Les deux policières emmènent un « clown » pour enfant à l'intérieur. Il s'était gravement entaillé la main avec un outil tranchant. Il n'était pas censé avoir des outils tranchants, quand on s'occupe d'enfants, mais à croire qu'ils sont tous « tarés » même les plus innocents. « on a un clown pour enfant qui s'est entaillé le poignet avec un objet tranchant ! » Il avançait doucement, en commençant à hurler, comme pas possible. La mère emmena son enfant dans une pièce à côté, pour ne pas qu'elle voit ses horreurs. Le clown marcha, tout en gesticulant, en ne voulant pas qu'on touche à son poignet. « AAH MON POIGNET !! J'AI MAL !! » certains patients, étaient encore des enfants, qui se cachaient, en ayant peur du « clown » et de sa main remplit de sang. Il était dégouttant, mais surtout effrayant. Lizzie surveilla son enfant, mais également les deux hommes, pour voir que ça ne dégénéré pas. « Emmenez le, moi ! » Le Dr. Carter allait s'occuper de ce patient. Il aura bien du mal à le faire céder. Il se trouvait qu'en plus cet homme, était un bougre qui était vraiment un homme abjecte, comme Robert, mais moins tout de même. Il emmenait le clown pour voir le médecin, quand il aperçut que beaucoup de monde « observer » ce qui le mettait vraiment de mauvaise humeur. Il décida même de s'en prendre aux « médecins » et aux patients. « QU'EST-CE QUE VOUS AVEZ A ME REGARDER???!! » La jeune femme se mit à soupirer, tandis que John et Abby essayaient de le « raisonner » et de l'empêcher de bouger. Il était vraiment taré cet homme. Elle put remarqué le changement de comportement de son amant. Elle se pencha un peu plus auprès de lui, quand il disparut dans une autre « pièce » pour ne pas effrayer tout le monde, même si on pouvait toujours le voir à moitié, et elle lui prit sa main doucement, qu'elle serra pour le rassurer. « C'est bon tout est sous contrôle ! » Il avait finalement réussi à endormir le patient, pour pouvoir le calmer, et soigner son poignet. Il s'était bien amocher qu'il y avait du sang partout, même s'il y avait du papier hygiénique, qui protégeait le poignet.

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMar 28 Mai - 20:36


Life Is Full Of Surprisesfeat Elizabeth Corday + Edwin Pignon



Pourquoi faut-il qu’il s’en prenne à moi? Je n’en ai vraiment aucunes idées. Même si je me défendais, il allait trouver autre chose à m’accabler, s’étant renseigné à mon sujet, il allait certainement trouver quelque chose à répliquer. Au bout d’un moment, se sera moi qui serai à court d’arguments, et il aura gagné la partie. C’est assez puéril comme jeu, j’en suis conscient, mais il ne faut pas me chercher sur ses points la, ils sont sensible, et je tenterais toujours de les protéger. Cependant, je sais que face à lui, je suis sûr que je n’arriverais pas à les protéger éternellement. Il toucha une autre corde sensible lorsqu’il me fit clairement comprendre qu’Ella n’était pas ma fille et qu’il ne fallait pas qu’il lui arrive quelque chose sinon j’allais signer mon arrêt de mort. Qu’il me dise ça, passe encore, je sais qu’Ella n’est pas ma fille, même si je l’aime autant.

>>C’est une chose d’avoir un service pédiatrique, mais lorsque l’enfant à besoin de sa mère, c’est une autre chose. C’est mon métier de détecter ses moments, voila pourquoi elle est ici. Mais tout ça vous importe peu, Ella n’est qu’un prétexte, vous vous servez d’elle pour m’atteindre moi. Et je ne vois pas en quoi mon âge joue quelque chose dans cette discussion, vous vous pensez supérieur à moi parceque vous êtes plus âgé ? Ou alors vous faites mention de cette différence parceque vous faites un complexe ?

Mais, lorsqu’il parla que j’allais devenir comme mon père, qu’au fond je ne suis qu’une copie de mon paternel, mon sang se glaça dans mes veines. Moi qui fais tout pour ne pas finir comme lui, ce Romano me fit douter. Il venait de trouver mon point sensible, la chose qui me fait le plus mal. Il s’était donc bien renseigné à mon sujet, pour m’atteindre du mieux qu’il pouvait. C’est abjecte de faire quelque chose comme ça, malheureusement c’est Romano et on ne le changera pas. Et même si on se plain à la direction, cet homme est bien vu, et il ne lui arrivera rien. Nous sommes donc tous condamnés à vivre avec cet homme odieux dans l’hôpital.

J’allais lui répondre, mais un clown apparu dans les couloirs. Ah ce que je déteste les clowns, un traumatisme lorsque j’étais enfant. Je n’ai jamais pu en approcher, je les ai toujours évités. Alors, quand il se mit à hurler d’un coup, je sursautai et regardai autour de moi, avant de me rendre compte que ce n’étais que ce clown de malheur. Enfin, finalement il fut emmené dans une pièce à part, ce qui me soulagea. Elizabeth tenta de me rassuré en me disant que tout était sous contrôle. Mais ce n’est pas cet incident qui me mettait dans des états pareils, c’était les phrases dites par Romano. Il m’avait grandement blessé, et je pense qu’il en était parfaitement conscient et qu’il se réjouissait de m’avoir atteint de cette manière. Je n’eu pas le courage de me défendre, je n’en avais plus la force. Je me suis battus corps et âmes pour ne pas être comme lui, et finalement tout ça n’avait servit à rien ! Je suis fatigué de faire mon possible pour ne pas finir comme mon paternel.

Déposant un baiser sur les lèvres de Lizzie et un sur le front de la petite Ella, je les laissais tout les trois dans les couloirs. Je marchais d’un pas lent, mes yeux étaient vides, mais mon cerveau était en ébullition. Je ressassais tout mon passé, je revivais les situations difficiles, les moments où je m’étais dit que mon heure était venue. Comment avait-il put se dire que d’attaquer quelqu’un sur son passé, surtout un aussi sombre que le mien, était la meilleure chose à faire ? N’avait-il donc aucuns sentiments ? Aucunes compassions ? Il faut croire que non.

Mes pas me conduisirent dans une salle, je ne sais pas vraiment laquelle c’était, à vrai dire, je n’en avais rien à faire. J’étais seul et c’est tout ce que je voulais. Je me mis assis sur le lit, en tailleur, pris ma tête entre mes mains, et laissais quelques larmes couler le long de mes joues. Toute cette rage, toute cette perte inutile de force, venaient de me faire craquer. Ca ne m’arrive pas souvent, mais lorsque je craque, se sont des larmes qui sortent et rien d’autre. Je ne vais pas me bourrer, je ne casse pas tout ce qui se trouve autour de moi, je pleure tout simplement.


(c) alysha

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMar 28 Mai - 22:22






Life Is Fulll Of Surprises
edwin pignon and elizabeth corday

« C’est une chose d’avoir un service pédiatrique, mais lorsque l’enfant à besoin de sa mère, c’est une autre chose. C’est mon métier de détecter ses moments, voila pourquoi elle est ici. Mais tout ça vous importe peu, Ella n’est qu’un prétexte, vous vous servez d’elle pour m’atteindre moi. Et je ne vois pas en quoi mon âge joue quelque chose dans cette discussion, vous vous pensez supérieur à moi parce que vous êtes plus âgé ? Ou alors vous faites mention de cette différence parce que vous faites un complexe ? » Il ne voulait rien savoir. Il ne devait pas entrer avec un enfant. Il n'était pas son enfant, et le voyait mal devenir père sachant parfaitement comment il allait devenir. Il marquait un point, mais ce n'était pas essentiellement que pour ça. Il ne dira jamais toutes les raisons, qui le poussait à devenir aussi désagréable. Il avait trop de fierté pour avouer. Il ne se croyait pas supérieur, mais simplement il savait qu'il avait le symptôme de peter pan, malgré qu'il faisait un « déni » parce qu'il en n'était pas encore conscient. « Oh vous savez quand un enfant à besoin de sa mère, depuis quand ? Je croyais que vos parents ne vous désirez pas.. Je suis vraiment désolé ! » elle était outrée de ce qu'il venait de dire. Elle le frappa au visage, pour lui montrer que ce qu'il disait et vraiment désagréable. Il devait comprendre par une autre méthode, que cela ne pouvait vraiment plus durée. Il se frotta la joue, en fronçant les sourcils. Il ne pouvait pas lui reprocher, elle n'était plus son employé maintenant. « Je ne sais pas ce qui me retient de te laisser crever par moment ! Je commence sérieusement avoir marre de ton comportement ! Je te jure que si ça ne tenait qu'à moi, ton chien serait déjà mort depuis longtemps ! » comme ça tout était dit, elle ne savait pas pourquoi elle avait aidé. Il avait menacé de la renvoyer, si elle ne comptait pas « l'opérer ». Il fallait vraiment pas la mettre de mauvaise humeur. Il ne pouvait pas répliquer, tout simplement quelqu'un le demandait pour une opération urgente. Il soupira longuement, avant de partir pour opérer cette personne qui avait besoin de son aide. Il allait sûrement l'engueuler de son comportement, mais elle était hors de son « service » donc il n'avait pas à la renvoyer. Le clown fit sursauter son amant, qui avait une frayeur de ses hommes maquillés. Il était vrai qu'il n'était vraiment pas aimable, surtout les clowns avait une main amputée. Il avait fait peur à presque tout le monde. Il disparaît, et son homme se mit à embrasser, avant de faire un bisou sur le front de son enfant. Il lâcha sa main, et décida de partir pour rester tout seul. Elle ne pouvait pas régler son compte. Il était déjà partie pour reprendre du service, donc elle devait retrouver son homme. Elle lâcha doucement son enfant, qui était mieux pour savoir retrouver son nouveau papa malheureux.

La petite parcourut toute seule, comme une grande les couloirs, sous l’œil attentif de sa maman, qui voulait pas la perdre, ou que quelqu'un la percute en plein chemin. Elle se mit à chercher partout son beau-père, en ayant une moue attristée, ne sachant pas comment le retrouver, ou même ce qu'il avait pour être parti derrière, en les abandonnant. Ella s'écriait en marchant comme une grande. « papa ! » Elle le connaissait depuis longtemps. Elle avait simplement du mal à son âge à différencier son père de son beau père, mais elle aurait très bien pu dire « beau papa » mais elle ne savait pas dire le mots qui le précédé. La petite avait besoin de lui, et elle savait que c'était des mensonges ce que disait le patron à sa maman. Il était méchant, et cela se voyait à sa tête, vu qu'elle le trouvait pas beau. Elle ne voulait pas qu'il soit tout seul, sans sa maman, et sans elle pour l'aider. Elle appela encore une fois pour voir s'il ne répondait pas. « papa.. » tout le monde trouvait ça adorable de voir comment elle acceptait son beau-père aussi facilement, et qu'elle voulait le trouver pour avoir un câlin. Au bout d'un moment, elle aperçut quelqu'un dans une chambre, elle reconnut son beau-père. Elle poussa la porte de ses mains, et courut le rejoindre, avant de tourner la tête pour voir ce qu'il n'allait pas. Elle tira sur son pantalon, avant de dire quelque chose de nouveau, qu'elle n'avait pas dit, mais qu'elle voulait dire à son beau-papa. « pa.. moi.. aime.. » elle voulait dire par « pas moi » qu'elle ne le croyait pas qu'il allait devenir comme son paternel. Elle savait de son petit cœur, qu'il ne ferait du mal à personne. Et le petit « aime » de la fin, voulez bien dire « Je t'aime ». Lizzie observait cette scène « adorable », et les premiers mots de son enfant, qu'elle disait encore, uniquement en cas d'urgence, comme maintenant. Elle serra doucement la jambe de l'amant de sa maman, en lui adressant un sourire. Elle tendit doucement les bras, avant de répéter ce qu'elle venait de dire auparavant. « papa..ed ! » elle entra doucement dans la pièce, pour le prendre derrière doucement, et de le serrer contre elle. « Je sais très bien que tu ne deviendras pas comme ton père, mon amour.. Je ne sais pas comment le dire.. mais tu nous as redonné espoir, et tu nous rend heureuse.. Je ne vois pas comment tu pourrais devenir un homme mauvais, alors que tu es la bonté incarnée, mon petit cœur ! » La petite se mit à hocher la tête, en comprenant ce que sa mère disait, et en étant du même avis. La jeune femme essuya les larmes de son amant, avant de venir embrasser amoureusement, en prenant son visage entre ses mains, pour lui montrer combien elle aimait, et qu'elle ne croyait pas en traître mots de cet idiot de Robert. Elle avait même défendu.

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMer 29 Mai - 17:09


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Je ne sais pas ce qu’Elizabeth à bien pu dire à son supérieur une fois que je suis partit. Je n’en ai rien à faire, je veux juste me retrouver seul, et évacuer tout cette rage que je venais d’accumuler. Je m’étais dirigé vers une salle d’auscultation vide, je m’étais assis sur la table, et j’avais laissé les larmes couler le long de mes joues. Une infirmière avait tenté d’entrer, mais en me voyant elle referma la porte pour me laisser un peu seul. Je n’étais pas très connu aux urgences, mais depuis que je fréquente Elizabeth en amie, et bien je suis de plus en plus présent dans ce service et tout le monde sait qui je suis, c’est certainement pour ça que l’infirmière m’a laissé seul. Je l’en remercie en tout cas, j’ai grandement besoin d’intimité en ce moment.

A un moment, j’entendis la vois d’une petite fille qui cherchait après son papa. Ca devait certainement être Ella. Un mince sourire se dessina sur mes lèvres. Je n’ai pas la force de lui dire en ce moment qu’elle ne doit pas m’appeler comme ça, je ne veux pas usurper le nom que son père aurait dut porter. Elle ne fait pas encore la différence entre tous les mots qu’elle entend, je ne vais donc pas lui en vouloir. Je tâcherais quand même de lui expliquer qu’elle devra me trouver un autre surnom affectif. Je vis par la suite la porte s’ouvrir et la petite fille entrer dans la salle. Je la pris dans mes bras, passa une main autour de sa toute petite taille, et lui déposa un baiser sur le front.

>>Moi aussi je t’aime ma chipie. Lui dis-je doucement.

Je la serrais doucement dans mes bras, avant d’enfouir ma tête dans son petit cou. J’avais besoin de sentir ce contacte, de me dire que je n’allais pas finir comme mon père, et sentir cette petite fille dans mes bras, et contre moi me force à me surpasser pour être un homme meilleur. C’est dingue ce que je veux me surpasser pour cette petite famille détruite, j’ai envie de montrer le meilleur de moi, et d’être le meilleur pour eux. Ensuite, se fut Elizabeth qui entra dans la pièce. Je lui lançais un simple regard et la laissait se mettre derrière moi sur le lit. Je me laissais aller contre elle, et écoutais ce qu’elle me disait.

Je savais bien que je n’allais pas finir comme mon père. Mais je me suis tellement battu, j’ai tellement fait mon possible pour être un homme meilleur. Je m’étais finalement dit que j’y étais parvenu, que je ne tomberais jamais aussi bas. Ce Romano m’avait détruit d’un coup, il m’avait touché à l’endroit le plus sensible, et il avait gagné. Il m’avait détruit avec ces simples mots, et m’avais à nouveau fait douter de moi. Je n’ai jamais eu beaucoup de confiance en moi, et le peu que j’avais réussis à avoir, et bien je venais de la perdre. C’est uniquement pour cette raison que je voulais me retrouver seul, je voulais me retrouver avec moi-même, pour faire le point et pour me dire qu’il avait totalement tord et que je ne deviendrais jamais comme mon paternel. Et je sais aussi que Lizzie ne croit pas à ce qu’il vient de dire, elle me répète souvent que je suis meilleur que lui. Mais j’étais devenu vulnérable, et cette simple phrase m’avait atteint plus fort que ce je le pensais.

>>Je sais Lizzie, tu me le répète tout les jours. C’est juste que…je venais à peine de me dire que j’étais meilleur, et il vient de me faire douter de moi. J’ai toujours eu peur de finir comme mon père, j’ai toujours pensé que j’arriverais à me surpasser, mais il vient de me faire douter. Promet moi, que si jamais, je deviens comme mon père, tu fais tout ton possible pour me remettre sur le droit chemin. Je ne veux pas vous faire du mal.

C’est étrange comme demande, mais je veux être sûr de ne pas leur faire de mal inutilement. Il y a très peu de chance pour que je devienne comme mon père, je le sais, mais je préfère prendre mes précautions.


(c) alysha

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMer 29 Mai - 18:16






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edwin pignon and elizabeth corday

« Moi aussi je t’aime ma chipie ! » Il avait pris dans ces bras, en mettant sa tête dans son cou, avant de la serrer contre lui doucement. La petite resta immobile, en gardant son « sourire » éternel sur le visage, avant de caresser son meilleur ami d'une main. Elle lui rendait comme appareil, il avait sauvé de la mort, elle le sauvait de ses doutes, et lui redonnait « l'espoir ». Il était normal pour l'enfant de vouloir aider son beau père, et elle pourrait recommencer, pour le garder toujours avec sa maman. Il ne fallait pas écouter ce que disait les « grands » certain sont méchant, et prennent un malin plaisir à « blesser » volontairement. Ils étaient habitués à subir « l'ironie » désagréable du chef des urgences, qui était toujours en train de chercher un « martyr ». Lizzie alla les rejoindre, en enlaçant par derrière son amant, qui avait besoin de réconfort. Elle ne cessait de répéter souvent qu'il n'était pas son paternel, mais c'est en répétant que ça commence à rentrer dans la « tête ». Il s'agissait simplement de lui faire comprendre, quel homme exceptionnel il était. Il se laissa tomber en arrière, dans les bras de sa femme, avant qu'elle se mette à sourire, en venant déposer un baiser dans son cou. « Je sais Lizzie, tu me le répète tout les jours. C’est juste que…je venais à peine de me dire que j’étais meilleur, et il vient de me faire douter de moi. J’ai toujours eu peur de finir comme mon père, j’ai toujours pensé que j’arriverais à me surpasser, mais il vient de me faire douter. Promet moi, que si jamais, je deviens comme mon père, tu fais tout ton possible pour me remettre sur le droit chemin. Je ne veux pas vous faire du mal. » Il ne fallait pas écouter ce que Robert racontait. Il pourrait se réjouir, d'avoir anéanti une autre personne, uniquement avec des mots. Elle le savait parfaitement, et c'était d'ailleurs la « principale » raison qui la poussait à lui répéter. Il devait comprendre, qu'il ne deviendra jamais comme son paternel. Et il se surpassait pour toutes les deux, et ça se voyait même Ella avait vu les « efforts » de son beau-père, donc il n'avait aucun soucie. Elle le trouva adorable, de vouloir « prévoir » au cas ou si cela devait arriver, et qu'il deviendrait comme son paternel. Il n'y avait aucun risque, elle n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et pourrait très bien le frapper, sans aucune hésitation uniquement pour se protéger avec son enfant. Elle le caressa doucement, avant de déposer un tendre baiser pour venir le rassurer. « C'est en répétant, qu'on finit par comprendre ! Il ne faut pas écouter Robert, il est comme ça avec tout le monde ! Je te garanti que tu es un homme bien, et que tu te « surpasses » tout le temps.. Ella te voit comme un « super héros » et cela se voit uniquement à la manière dont elle te regarde.. » elle était toujours avec les yeux brillants. La petite voulait même devenir comme ses « parents » y compris son beau-père. Elle voyait comment il se combattait, pour ne pas devenir comme son paternel. Et cela lui donnait vraiment envie de se surpasser également, pour parler, et grandir rapidement. « Je te le promets, mon amour.. » elle embrassa amoureusement, en tenant son visage. « Cela n'arrivera pas, ne t'inquiète pas ! » elle venait de murmurer ces quelques mots, pour le rassurer davantage, en voyant la confiance qu'elles portaient à cet homme merveilleux qu'il était. […]

Il était peut-être trop tôt. Elle ne voulait pas être éloigner de son amant. Et encore moins qu'il ressasse de nouveau son « passé » tout seul. Il allait sûrement peur, et même pendant ses absences, la douleur pourrait resurgir soudainement. Lizzie se mit en face, en lui prenant les mains, en optant pour un regard neutre. Elle comptait réellement lui demander. Elle serait comme ça, qu'il ne souffrira pas, et qu'il sera en « sécurité » de tout ce qui pouvait le faire repenser à son vécu horrible. Elle se mordit doucement la lèvre, avant d'essayer d'entamer le sujet, avec une enfant qui était à l'écoute des moindres mots. « Edwin.. Euh.. » elle se sentait rougir soudainement, même si ce n'était peut-être pas grand chose, mais auparavant c'était son défunt mari qui lui avait proposé de « cohabiter » ensemble. Elle était gêner de lui demander, mais au fond ça lui ferait terriblement plaisir, comme ça elle pourrait être toujours avec son amant, et cela la rassurait beaucoup. « Je ne sais pas comment te le dire.. » Oh, cela se voyait parfaitement, elle avait du mal à prononcer ces quelques mots, et se montrait hésitante, malgré qu'elle mourrait d'envie de lui « demander » maintenant. « Je ne veux plus qu'on soit séparer l'un de l'autre.. » elle commençait à chauffer, mais ce n'était pas vraiment ça. Elle baissa légèrement le regard, avant que son enfant comprenne d'où elle voulait en venir, et qu'elle se mette à gigoter. Elle se mit à sourire, en la voyant, avant de prendre son courage pour lui demander. « et je me demandais, si.. tu accepterais de venir habiter.. avec nous.. » elle sentait qu'elle devait se rattraper, qu'il dirait sûrement que c'était beaucoup trop tôt, et qu'il venait de se mettre ensemble. Il se connaissait depuis sept mois, c'était déjà beaucoup non ? « Je sais que notre histoire date que depuis hier.. mais.. » allez lance-toi, ne fait pas ta timide, tu peux y arriver. « Je ne veux pas que tu sois seul.. ça me fait du mal à l'idée que tu puisses repenser à ton passé.. et ta.. présence nous rassure énormément.. J'ai besoin de toi Edwin ! » Il ne manquait plus que sa réponse. Elle craignait qu'il « refuse » son invitation à habiter ensemble. Il pourrait ne pas vouloir, en voulant rester « seul » ou parce que c'était beaucoup trop tôt justement. Elle espérait être convaincante, et qu'il accepte son « offre » même si elle savait que c'était trop demander peut-être.

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMer 29 Mai - 19:26


Life Is Full Of Surprisesfeat Elizabeth Corday + Edwin Pignon



Gardant la petite dans mes bras, le lui fis un câlin et me laissais aller contre Elizabeth. C’est réconfortant de faire un câlin, surtout lorsqu’on se trouve dans une situation comme la mienne. J’ai toujours aimé les câlins, je n’ai pas pu en avoir autant que je voulais durant mon enfance. Je me rattrape donc maintenant, j’en fais dès que j’ai le temps, je prend tout le monde dans mes bras, et les enlace par pur plaisir. Faire un câlin, j’adore ça. J’aime aussi quand on m’en fait, me sentir en sécurité, et hors d’atteinte de tous les malheurs qui se trouvent autour de nous. Et puis, c’est énorme tout le bien qu’un simple peu faire, ça m’étonnera toujours.

Ensuite, elle me promit que je n’allais pas devenir comme mon père. Venant de sa bouche je le croyais encore plus. C’est étonnant comme elle fit s’envoler tous mes doutes, et qu’elle me rassura. Si j’avais essayé de me remonter le moral tout seul, ça aurait pris beaucoup de temps, et je ne suis pas sûr que j’aurai réussis à récupérer toute ma confiance en moi. Mais, lorsque c’est Elizabeth qui me dit ça, et bien, j’étais à peu près sûr que je récupérais ma confiance en moi. Elle me force à me surpasser, à montrer le meilleur de moi-même, et de faire en sorte de toujours m’en sortir. J’espère que pour elle c’est pareil de son côté, que je suis celui qui la pousse à toujours montrer le meilleur d’elle-même.

Par la suite, elle se mit à me poser une question, mais elle mit sa phrase en suspend, comme si elle cherchait ses mots, elle se demandait certainement comme elle allait bien pouvoir me dire la phrase qu’elle voulait me dire. A cet instant je me mis à imaginer tout les scénarios possible, elle voulait rompre, elle voulait me dire qu’elle en avait assez de mon comportement enfantin. Elle voulait certainement me dire quelque chose d’important mais quoi ? Bon sang, ce que je n’aime pas le temps qui s’écoule pendant qu’aucuns de nous ne parle. Lorsqu’elle reprit la parole, ce n’était pas pour finir sa phrase, elle la rallongea, en me disant qu’elle ne voulait pas qu’on se sépare. Bon point, elle ne voulait pas me quitter. Mais que voulait-elle alors ? Finalement, le moment de ma délivrance vint, lorsque je vis la petite Ella gesticuler dans tous les sens, elle avait certainement compris ce que voulait sa mère, mais moi pas. J’attendis donc le moment où les mots sortirent de la bouche d’Elizabeth. Un sourire se dessina sur mes lèvres, et je me penchais doucement vers elle, passa une main sur sa joue, la caressai doucement avant de l’embrasser amoureusement.

La porte s’ouvrit alors violement, et j’entendis un grand « hourra » et des applaudissements bruyants. Je regardai autour de moi, et vis que tout le service des urgences se trouvait sur le pas de la porte, un sourire aux lèvres. Il y avait même des collègues à moi. Pourquoi tout le monde se trouvait la ? Je me demandais vraiment pourquoi ils avaient tous l’air si content… Je reconnu le docteur Benton, et ceux qui s’étaient occupés du clown fou. Benton expliqua qu’une infirmière était entrée plus tôt dans l’après-midi et qu’elle m’avait vu et que je n’avais pas l’air bien, alors elle avait ouvert les paris pour voir combien de temps Lizzie allait mettre avant de venir me réconforter et m’embrasser. Donc, ils avaient ouvert les paris, et certains s’étaient trompés, en pensant qu’elle engueulerait violement Romano avant de venir.

>>Quelle belle petite famille, lâcha un interne aux cheveux bruns.

C’est dingue, mais…Cette phrase ne me fit pas nécessairement du bien. N’était-il pas au courant qu’Ella n’était pas ma fille ? Que son père était mort ? Ou alors, il était simplement stupide… Quoi qu’il en soit, je vis quelqu’un lui foutre une claque sur le sommet du crâne avant de le remettre à sa place. De mon côté, j’embrassai Ella et Elizabeth avant d’avoir une collègue qui vint me dire qu’elle était sûre que j’allais finir avec la chirurgienne.

>>Ah bon…C’était si prévisible ?

Franchement, je ne pensais pas que c’était si visible, et prévisible. A croire que par moment certaines personnes ont un don pour voir les futurs couples se former.


(c) alysha

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyMer 29 Mai - 21:29






Life Is Fulll Of Surprises
edwin pignon and elizabeth corday

Il avait accepté. Il ne l'avait pas dit clairement, mais le baiser répondait à la « demande » de cohabitation. Lizzie prolongea le baiser, étant heureuse de pouvoir maintenant être auprès de son amant, pour toujours. La petite se mit à frapper des mains, étant heureuse de pouvoir cohabiter avec son beau-père. Ils formaient dorénavant un « couple » et une « famille » et ça maintenant c'était officiel. Ils entendirent des hurlements. Le médecin se rendait compte, sans besoin de son ami, qu'il avait parié encore une fois. Il attendait de savoir quand elle allait embrassée, pour montrer qu'il sortait réellement ensemble. Et vu ce qui se trimbalait, ils avaient bien entendu préparer un goûter à leur honneur. Il y avait même un gâteau au chocolat, donc tout le monde savait qu'il était un fanatique du chocolat. Il allait être content, en voyant ce gâteau, mais faudra pas qu'il en tombe bêtement malade à cause du « crise de fois » même en étant dans les « urgences ». « Quelle belle petite famille ! » C'était du Malucci ! Il ne pouvait pas s'en empêcher, c'était plus fort que lui de faire ses remarques. Il se fait frapper par un chirurgien, pour qu'il arrête de se comporter comme un « imbécile » c'est à dire tout le temps. Elle prolongea le baiser, quand elle aperçut une collègue s'approchait de son amant. Le Dr. Lewis, ex-petite amie de son défunt mari, et également une amie, vint lui dire quelque mots, en tapotant doucement son épaule. « Tu mérites d'être heureuse, Lizzie ! Mark aurait voulu également, que tu retrouve le bonheur ! » cela ne lui faisait rien de parler de son défunt mari, ou de l'entendre, elle en était plus ou moins remise maintenant. Et ce qui comptait le plus se trouvait auprès d'elle, et rien ne lui ferait plus plaisir que son homme à la maison. Elle se mit à sourire, en entendant ce que son amie avait dire pour lui montrer qu'elle approuvait son union avec cet homme, avant de repartir auprès des autres, en nous invitant à manger et à boire quelque chose. La petite se défait de son emprise, quand elle sentit l'odeur du chocolat. Et il fallait dire qu'elle avait entièrement raison, car une odeur aussi bonne méritait le détour. « On peut dire qu'on est officiellement ensemble, maintenant ! » tout le monde était au courant de leur romance, et donc c'était officiel. Et au diable les rumeurs à leurs sujets, elle saurait faire abstraction, comme d'habitude, même si cela allait devenir l'amusement de son supérieur, pendant un moment. Elle embrassa amoureusement son homme, avant de se redresser pour accompagner son enfant. Elle prit sa main pour qu'il vienne la rejoindre, et ne pas rester seul dans une pièce aussi sombre, surtout maintenant que tout le monde voulait les féliciter, en dehors de leur intimité.

« Non mais c'est quoi ce bordel ! Remettez-vous directement au travail ! Il ne manquait plus que ça, maintenant ! Le prochain que je vois se reposer sur ses lauriers, il est « viré » ! Bande d'incapable ! » le revoilà de nouveau, pour empêcher tout le monde de s'amusait. Ils pouvaient bien se distraire, pour un moment. Ils en avaient tous besoin, après leur longue journée de « travail » en supportant leur supérieur. Il avança, en remarquant que le « fauteur » de trouble, était encore et toujours le même homme. Il se mit à froncer des sourcils, avant de se pointer devant lui, et de le blâmer comme il aimait tant. « Je m'en doutais que c'était toi le « responsable ».. en plus d'être un enfant débile, tu as besoin également de distraire mon équipe.. le monde ne tourne pas autour de toi, ça ne sert rien de jeter ton dévolu sur les autres.. on n'est pas tes parents, ou ta famille, tu sais ! » elle commençait sérieusement en avoir marre, qu'il vienne interrompre leur moment d'intimité, et de venir faire du mal à son amant. Il était peut-être « jaloux », mais il ne fallait pas dépasser les bornes tout de même. « Non, mais vous en avez pas marre de vous acharner sur Edwin ! Je me demande qu'est-ce que vous avez à la place du cerveau, pour vous comporter comme un parfait abruti ! Il est peut-être un « enfant » comme vous dite, mais cependant LUI il a un « coeur » contrairement à certain ! Et pour votre gourverne, il a une famille... NOUS ! » les membres des urgences parlèrent tous, en disant qu'elle avait raison. Ils continurent de manger et de boire, tout en ne se préoccupant pas du Dr. Romano. Il pouvait mourir tout seul avec ses patients, après tout, eux avait autre chose de plus intéressant. Elle marcha en bousculant son supérieur avec son amant, pour manger du gâteau au chocolat. Elle prit un morceau qu'elle mit dans sa bouche, avant de l'embrasser doucement. « Je te ferai un gâteau, si tu es sage ! » elle faisait un peu d'humour pour détendre cette amosphère qu'il avait mis, en faisant sa soudaine apparition. Il n'avait pas répliqué, parce qu'il était énervé, et ne voulait pas provoquer une bagarre avec Lizzie, et son enfant maintenant. Il se mit devant la salle, avant de lancer haut et fort une menace à la chirurgienne, qui n'entendait rien du tout, malgré qu'il demandait de la voir demain matin dans son bureau. Et c'était impossible, vu que c'étati son jour de repos, donc elle se fera un plaisir de ne pas le rejoindre, surtout pour un règlement de compte. Elle regarda son enfant, qui avait tout écouté, et qui malgré tout était fier que sa maman a défendu son papa contre le vilain bonhomme pas beau. Elle avait une toute petite part dans ses mains, ainsi que plein de chocolat sur le visage, quand elle fit un sourire angélique à sa mère, comme dans la publicité du poisson rouge, pour montrer qu'elle n'avait pas manger du chocolat que c'était quelqu'un d'autre. Elle se mit à rigoler, en voyant sa fille faire l'innocente, malgré qu'elle en avait partout, pour aujourd'hui elle avait droit de manger un part, et quelques bonbons moues.

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyJeu 30 Mai - 19:00


Life Is Full Of Suprises feat Elizabeth Corday+ Edwin Pignon



Vvoila, on pouvait aisément dire qu’on était ensemble officiellement. Je venais d’accepter qu’on vive ensemble, et tous nos collègues viennent de nous surprendre entrain de nous embrasser. Et puis, ils ont tous vu comment Ella m’acceptait, et venait naturellement vers moi. Dans un sens, ça me fait bizarre de me dire que je suis en couple, que j’ai réussis à trouver la personne avec laquelle je passerais le reste de ma vie, qui arriverait à me supporter, quelque soit mes humeurs, et mes doutes. Du moins, j’espère qu’elle arrivera à me supporter, j’ai moi-même du mal à me supporter et à vivre avec moi, alors elle ? J’espère franchement que ça ne lui fera rien et qu’elle ne m’engueulera pas pour ça…

Ensuite, on eu droit à une surprise de tous nos collègues. Elizabeth me prit une main et me tira pour aller voir ce qu’ils avaient prévus. A ma grande surprise, ils avaient organisé une petite fête. Mon regard se posa sur un gâteau au chocolat…Mon grand pêché mignon. Je ne résistai donc pas à l’envie d’aller m’en couper une part et la manger. Ok c’était plus de la gourmandise qu’autre chose je l’avoue. Mais comment résister à un gâteau au chocolat ? Je ne suis qu’un homme après tout, et je ne sais pas résister face à mon plus gros pêché mignon. Tout en mangeant, je parlai avec des collègues à moi, qui me félicitait et me disait que je méritais ce qu’il venait de m’arriver.

Enfin, ce bon moment était gâché par l’arrivée d’un antipathique, le Docteur Romano. Pourquoi faut-il toujours qu’il vienne gâcher les bons moments ? Ca l’amuse d’ennuyer son monde, de détruire tout ceux qui l’entourent. Il faut croire que oui. Bien entendu, tout ce qui était entrain de se passer était de ma faute, et il me le fit comprendre clairement. Je voulais lui répondre, pour me défendre, lui expliquer que si c’était pour avoir une famille où tout le monde est comme lui, je préfère ne pas en avoir. Et surtout que je ne comprends pas pourquoi il s’obstine à me dire que je suis un enfant… Je ne parviens pas à comprendre ça. Cependant, alors que j’allais répliquer, Elizabeth me devança, expliquant que ce n’était pas de ma faute, et qu’il ne fallait pas qu’ils ‘acharne sur moi, et que par-dessus tout, j’avais une famille, eux ! C’est cette dernière phrase qui me fit chaud au cœur, et je me retournai vers elle pour l’embrasser tendrement.

Puis, j’aperçu Ella qui tentait d’avoir encore un bout de gâteau. Je me dirigeai vers elle, la prit dans mes bras, et lui coupai une part de gâteau. Elle croqua dans sa part à pleine dent, et se mit du chocolat partout. Je ris en voyant son visage couvert de chocolat, c’était plus fort que moi. Ensuite, pour ne pas la laisser dans cet état la, je me saisis d’une serviette et commençai à lui essuyer la bouche.

>>Si tu te mets du chocolat partout sur toi, je vais te manger. En plus, tu as l’air appétissante couverte de chocolat ma p’tite chipie. Lui dis-je en souriant.

Puis, comme pour joindre mon geste à ce que je venais de lui dire, je l’embrassai sur ses joues et fis semblant de la manger, avant de la prendre dans mes bras et de finir de la « manger » en allant dans son cou. A cause de ce geste, je vis tout le monde se retourner vers moi, et être attendrit par ce que je venais de faire à Ella. Quoi ? C’est tellement étonnant de me voir agir comme ça avec elle? Comme si je ne pouvais pas arriver à aimer une fille qui n’est pas la mienne, ou m’en occuper correctement. Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas aimer cet enfant parceque je ne suis pas son père biologique, c’est totalement affreux. J’aime énormément Ella, et je serais prêt à tout pour lui venir en aide, il ne faut pas remettre ça en question.

Ella se mit à rire aux larmes. Qu’elle était chou, je ne pensais pas qu’elle en arriverait à ça lorsque j’ai commencé. J’éclatais alors de rire, je n’ai pas pu me retenir tout simplement. Le rire des enfants à toujours eu pour effet de me faire rire. Non pas pour me moquer d’eux, mais justement parcequ’il est communicatif.


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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyJeu 30 Mai - 21:28






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edwin pignon and elizabeth corday

Il ne pouvait pas dire ''non'' c'était quasiment impossible. Il lui donna malgré tout, une part de gâteau au ''chocolat''. Et maintenant, elle comprenait que pour obtenir quelque chose, elle irait toujours demander à l'amant de sa maman. Il allait être mal barrer, pour comprendre à l'enfant, de ne pas manger du chocolat. Il était lui même un grand gourmand, incapable de manger proprement. Il en avait autour de la bouche. Il essuya proprement, avant que Lizzie vienne embrasser amoureusement, pour enlever son chocolat. Il y avait toujours une solution pour ''profiter'' de son homme, sans paraître ''louche''. « si tu te mets du chocolat partout sur toi, je vais te manger. En plus, tu as l’air appétissante couverte de chocolat ma petite chipie. » elle se mit à sourire, en entendant son beau-père. Il allait la manger tout ''cru'' comme le « grand méchant loup » dans les contes de fées. Il faut dire que personne ne résisterait à manger un enfant recouvert de ''chocolat'' que adorait les adolescents. Il la souleva pour la manger, tout en amusant le bébé qui se mettait à rigoler. Il formait vraiment une famille ''formidable'' et tout le monde était ''attendri'' par cette « scène » magnifique, surtout ''la maman''. Et vu que le rire des enfants étaient ''contagieux'', Edwin se mit à faire autant. […] Il profitait ensemble, de cet après-midi, en parlant de leur rencontre, et leur romance, ce que trouvait ''adorable'' tout le monde. La petite se mettait à parler, même si personne ne la comprenait, ou seulement très peu. Oh, d'ailleurs elle avait complètement ''oublié'' leur ancienne dispute. Il fallait dire que cette journée était ''mémorable'' car c'était un nouveau départ ensemble. Ella se tourna de nouveau vers Edwin, pour demander une autre part de ''gâteau'' sachant qu'il ne lui refuserait pas. La jeune mère fronça des sourcils, en lui faisant comprendre, qu'elle n'avait droit qu'à une seule part, ayant déjà manger du chocolat la veille, et que c'était mauvais pour sa santé, surtout maintenant. Robert était toujours énervé et ne supportait pas que tout le monde s'amusent, alors qu'il y avait des malades. Il n'y avait que lui et Kerry qui ne trouvaient pas ça amusant. Il faut dire que c'était les deux ''méchant'' des urgences, et que personne ne les portait dans son cœur.

Il se faisait tard. Il devait sûrement être onze heures. Ils s'amusaient toujours autant. Et pourtant cela ne durera que le temps nécessaire. Il y avait une présence qui allait gâcher ce moment magnifique. Il fallait toujours qu'il y est quelqu'un, qui empêchait les deux ''amoureux'' transis de pouvoir s'aimer. Ils n'allaient cependant pas s'entendre à quelque chose d'aussi ''énorme'' et violent que les retrouvailles non désiré d'un ''père'' et son enfant. Ils étaient très peu à être au courant du comportement de son paternel, et ce qu'il avait fait auparavant. Il allait sûrement réveiller d'ancienne blessure, et traumatiser son enfant. Il ne l'avait pas encore fait apparemment, vu qu'il était toujours. Il ne pouvait pas tirer un trait tout simplement. Il faut dire que c'était trop demandé. La petite vit une ombre imposante, mais également effrayante. Elle se cacha derrière sa maman, n'aimant pas du tout l'atmosphère que dégager cette ''personne''. « … chant.. » oui, il y avait bien un « méchant » qui allait faire sa soudaine apparition. Elle se mit à trembler doucement, et comme ''les papa'' sont protecteurs, elle alla entre sa maman, et son beau-père. Il fallait dire que c'était plus Edwin qui avait besoin de se cacher, que n'importe qui. « chut, ma chérie n'est pas peur.. il ne t'arrivera rien ! » la personne entra dans des pas lent et déterminé. Il ne fallut pas longtemps, avant de comprendre que c'était en ''lien'' avec son homme. Il avait les mêmes traits, et son visage c'était hallucinant. Elle avala sa salive, craignant que sa soit son ''paternel'' qui revenait pour ''maltraiter'' son amant. Il avait les poings serrés, et le regard sombre, c'était pour ça qu'il avait effrayé ''Ella'' qui n'avait même pas eu la chance de le voir de près. Il se dirigea rapidement vers Edwin. Il n'y avait aucun doute, c'était son père, elle prit sa main pour le soutenir. Il aurait du mal à l'affronter, ou même de pouvoir y ''lutter'' contre sa peur. Cette voix. Elle était presque comme.. celle de ''Edwin'' c'était effrayant, même trop ressemblant. Ils étaient cependant différents, et elle ne tolérerait pas, que celui-ci s'en prenne à son amant. « EDWIN !! C'EST QUOI CE DELIRE, TU REVIENS A LA MAISON DE SUITE !! » Lizzie fronça les sourcils, quand son paternel s'arrêta soudainement sur les ''mains'' liées ensemble. Il n'aimait pas ça du tout. Il ne voulait pas que son enfant soit heureux. Il allait tout faire pour empêcher de la revoir. Il le prit violemment par son poignet, qu'il emmena dehors, elle ne le lâcha pas et le suivit en dehors. Elle demanda de garder son enfant, ne voulant pas qu'elle entende ou voit cette « scène » entre adulte qui risquait d'être ''violente''. La petite se mit à pleurer, car elle était inquiètes pour ses parents, et qu'elle ne voulait pas les perdre. Elle se débattait pour ne pas qu'elle puisse revenir auprès de sa maman, et de son « papounet ». « TU PEUX M'EXPLIQUER POURQUOI TU ES AVEC CETTE FEMME?!! » Il n'allait pas le battre, uniquement parce qu'il sortait avec Lizzie. Il était complètement malade. Et elle ne tolérerait pas, qu'on manque de « respect » à son amant, ou qu'on le maltraite, encore une ''fois'' et même si elle devait se prendre des coups, elle souffrirait avec lui. Elle fronça les sourcils, en voulant prendre la parole, étant donner qu'il devait être effrayer du retour de son père si miraculé. « Je suis sa femme, cela vous pose-t-il un problème ? » Il se mit à rigoler violemment, comme si cela était « impossible ». Il trouvait peut-être qu'il était incapable de rester en « couple » ou d'être avec une femme, et pourtant. « NON SANS BLAGUE, TU SORS AVEC CE MINABLE !! LAISSE-MOI RIRE !! IL NE SORT AVEC PERSONNE !! »

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyVen 31 Mai - 17:40


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Tout se passait bien, tout le monde s’amusait, et mangeait du gâteaux. Je n’avais pas vu le temps passer, tellement j’étais bien en compagnie de tout le monde et je n’avais aucunement envie de partir. Il est rare de me voir rester aussi longtemps sérieux avec des gens qui ne comprennent pas comment je peux m’amuser avec des choses enfantines. Ella avait voulu encore avoir une nouvelle part de gâteau, mais Elizabeth m’avait fait un signe de tête pour m’empêcher de lui en redonner un. Néanmoins, Ella avait un regard auquel je ne pouvais pas résister, alors, une fois que sa maman ne regardait plus dans notre direction, je lui redonnais un petit bout de gâteau. C’était la fête, elle pouvait en profiter un petit peu quand même !

Mais cette bonne humeur ne dura pas longtemps. Alors que tout le monde s’amusait, une ombre planait sur tout le monde, une ombre allait bientôt venir. J’avais sentis que quelque chose n’allait pas, mais je ne pensais pas que ça allait être LUI qui allait apparaitre. Lorsqu’il franchit le pas de la porte, je sentis Ella aller se réfugier entre sa mère et moi. Puis ensuite, il me saisit par le poignet et me tira à l’extérieur. A ce moment, j’avais les jambes flageolantes et mon souffle court. Qu’allait-il m’arriver? J’avais bien une petite idée, mais je ne voulais pas y penser. Il m’engueulait, voulait absolument que je rentre à la maison, mais je ne voulais pas ! Mais comment le lui dire ? Quoi que je dise des coups allaient tomber, ça c’était certain.

>>Bien, je vois que tu n’as pas changé, que tu effraye toujours les enfants. Lui dis-je, en sachant très bien ce que je risquais.

Personne n’était au courant que je me suis fait battre pendant mes jeunes années, et je n’avais pas envie que ça se sache. Maintenant, c’était foutu. Tout le monde allait le savoir, et allait vouloir être gentil avoir moi, faire son possible pour se montrer aimable. C’est justement ce que je voulais éviter comme comportement. Je n’ai jamais aimé qu’on me prenne en pitié, que les gens s’apitoient sur mon sort. Ils ne peuvent pas comprendre ce que j’ai vécu, alors pourquoi voudraient-ils essayer de me remonter le moral ? Enfin, ce n’est pas le moment de me demander comment mes collègues vont réagir la prochaine fois que je les verrais, j’ai d’autres soucis en ce moment.

Mon père se demandait ensuite, ce que je faisais avec Elizabeth. C’est vrai qu’il m’a toujours connu célibataire, ne m’intéressant pas aux femmes, mais le temps est passé depuis la dernière fois qu’on s’est vu. Je ne voulais pas qu’Elizabeth se mêle de cette histoire, elle ne devait pas interférer entre moi et mon père, seulement, je savais bien qu’elle n’allait pas rester sans rien faire. Elle s’interposa déjà une fois ; en lui expliquant qui elle était. Ce ne fut pas au gout de mon père, qui l’engueula à son tour. Je ne pouvais pas le laisser faire ça ! J’en étais conscient, mais la peur me laissait sur place, je ne parvenais pas à bouger. J’étais impuissant ! Que je n’aime pas cette sensation, je voulais mettre Lizzie sur le côté, pour la protéger, mais je n’y parvenais pas !

Je fis un simple signe à Lizzie pour qu’elle aille à l’intérieur, je ne voulais pas qu’elle assiste à ce qui allait se passer. Elle ne devait pas voir de quoi mon père était capable, elle devait rester à l’intérieur et tenir compagnie à Ella. La petite devait être terrorisée, se demander ce qui était entrain de se passer, sa mère devait être à ses côtés, sachant que moi je ne pourrais pas. Je suis bloqué avec mon père, et pour un long moment à mon avis. Si je pouvais raccourcir ce temps, faire en sorte que mon père s’en aille, je le ferais, mais malheureusement je n’ai pas de pouvoir, à mon grand regret. Je n’ai jamais été assez fort que pour le faire s’en aller.

Pendant ce temps, dans la salle où la fête avait lieu, un de mes collègues appela les policiers, devinant que la situation n’était pas normale.


(c) alysha

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyVen 31 Mai - 18:47






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« Bien, je vois que tu n’as pas changé, que tu effraye toujours les enfants. » Il s'en foutait d'effrayer un enfant. Il était venu pour le récupérer. Il devait savoir une chose ''essentielle''. Elle l'empêchera. Le cauchemar devait se ''terminer'' maintenant. Elle ne voulait pas perdre son amant. Il embarqua dehors. Il comptait sûrement reprendre. Il était hors de question. Elle empêcherait ce ''massacre''. Il ne lui ferait pas de mal. Pas cette fois-y ! Il aura beau l'empêcher de le protéger. Lizzie restera de marbre, et s'obstinera à bloquer ses ''actions''. Il ne fallait pas la sous-estimer. Elle était capable de tout par ''amour''. Il engueula, en trouvant cela absurde, ne voulant pas admettre les ''faits''. Il voulait une ''preuve''. La voilà, alors elle comptait le battre à son propre ''jeu''. Elle s'approcha de son homme, avant de l'embrasser fougueusement, en glissant une main dans ses cheveux. Elle se remit à son ancienne place, en se mordant la lèvre, appréciant ce baiser enflammé. « J'ai réussi à vous convaincre, maintenant ! » Lizzie, la provocante, la téméraire. Il n'y avait pas mieux pour un règlement de compte. Et il n'était pas au bout de ses surprises. Il ne comprenait pas. Il était aveugle pour voir que c'était le véritable amour. Ils avaient les mains liées, et elle accompagnait même maintenant. « TU TE FOUS VRAIMENT DE MOI, SALE GARCE !! » un peu, mais je n'irai pas à dire que je suis une ''garce''. Il avait vraiment de la merde dans les yeux. Il ne voyait pas ce qui pourtant était l'entière vérité, la preuve étant que tout le monde avait ''remarqué''. Edwin lui demanda de rentrer à l'intérieur. Il voulait la protéger. Elle avait loin d'être ''effrayé''. Il était hors de question, qu'elle abandonne à son triste ''sort''. Elle n'allait pas le laisser souffrir inutilement. Elle avait des principes, et cela en faisait partie également. « ne jamais abandonner quelqu'un, qui a besoin d'aide. » La petite s'échappa des griffes d'une infirmière, un court moment, pour les rejoindre. Il faut dire qu'elle n'avait pas peur. Elle poussa la porte doucement, avant de courir rapidement auprès d'Edwin, tout en tirant son pantalon, afin de lui demander de rentrer à l'intérieur. « ed..ed.. tre.. » elle voulait qu'il rentre. Elle ne voulait pas revenir sans « Edwin ». Elle avait deviné que cet homme avait une dent contre son ''beau-père''. Il suffit d'un geste de la part de son paternel pour effrayer, et la faire rentrer rapidement à l'intérieur. La mère prend les devants, et vu qu'elle n'aimait pas qu'on s'amuse à terroriser son enfant. Elle leva la main pour frapper son paternel. Il bloqua son poignet, en se mettant à rigoler. « Je refuse de t'abandonner ! » je ne veux pas le perdre. Elle n'avait peut-être pas vu ses ''horreurs''. Il croyait vraiment, qu'elle allait accepter de l'abandonner. On affronte tous les ''obstacles'' ensemble. Il y avait ce principe en ''amour'' qu'elle approuvait. Elle avait affronté « le cancer » de son mari. Elle affronterai le « paternel » de son amant. Il n'y aucune raison, pour que cela change, maintenant.

Il avait appelé la police. Il manquait plus que le distraire. Il ne pourrait rien faire, pendant qu'elle serait là. Il serait capable de le frapper. Elle le savait, mais tant qu'elle s'en mêlerait. Il n'aura pas le dernier mots. Il fronça les sourcils, pour ignorer tout ça, car il n'avait pas le temps de se préoccuper de cet enfant, ou même de sa femme. Il la balança à l'aide de son poignet qu'il tenait fermement. Elle reculait donc de quelques mètres, en se recevant un coup un peu violent, mais qui la réveillait totalement. Elle se releva, en grognant d'avoir mal aux fessiers, maintenant. Il commença à défaire la ''ceinture'' pour continuer sa ''violence gratuite''. Elle se mit à courir, avant de se mettre devant son homme, pour le protéger comme elle aurait fait avec quiconque. « Tu veux vraiment le protéger, hein ? Alors pourquoi ne souffrirais-tu pas pour lui ? » Il pouvait essayer. Souffrir ? Oh, cela ne la dérangeait pas. Protéger ? Oui. C'était ce qui la maintenait debout. Elle ferait n'importe quoi pour ''cet homme''. Il ne l'avait peut-être pas ''compris''. Il essaya d'abord de la bouger de place. Elle avait les poings serrés, et ne comptait pas bouger. Elle se retenait pour le dernier moment. Il y avait bien un moment. Il serait sûrement fatigué, et elle pourra taper là ou ça fait mal. Et ayant déjà essayé, cela faisait terriblement mal. Il aurait sûrement le temps de partir. Il leva le bras, pour la frapper, ainsi s'occuper de son enfant, sans qu'une personne vienne l'en empêcher. Elle se protège par le ''bras''. Elle se décala avec le coup, que son père lui avait donné. Il en profitait pour s'attarder longuement, sur Edwin. Il leva de nouveau la ceinture pour se mettre à frapper. Il s'acharnait comme si c'était un amusement. Le temps qu'elle s'en rende compte, elle se mit à hurler, voulant l'empêcher. « NON !! » Elle se revoyait lui tenir cette ''promesse''. Celle qui lui donna la force de combattre la douleur et de s'acharner contre son paternel. Il ne s'arrêta tout de même pas. Oh que ça lui démangeait de ne pas lui faire. Elle n'était cependant pas en ''posture''. Elle s'interposa, prenant un coup à sa ''place'' pour empêcher ce ''massacre''. Il commençait à l'énerver. Il allait encore plus s'acharner. Elle était encore plus borné, et avait décidé de ne pas abandonner. Et de l'empêcher un maximum d'agir, le temps que la ''police'' veuillent bien se rappliquer. Ils arriveront dans quelques minutes sûrement. Elle avait espoir. « Vous ne le toucherez pas ! » Elle leva le ton, en se redressant, pour lui montrer, qu'elle était ''déterminée'' à se mettre au milieu de son chemin.

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MessageSujet: Re: Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday   Life Is Full Of Surprises•Elizabeth Corday - Page 2 EmptyVen 31 Mai - 21:49


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Tout les coups étaient permis disait-on. Mon père connaissait parfaitement cette maxime, il l’applique souvent. Il profite toujours de la situation, quel qu’elle soit, pour pouvoir taper que les gens, pour leur faire du mal. Ca ne l’a jamais dérangé de me taper dessus devant tout le monde en pleine rue. Il ne s’est jamais sentit honteux de me faire subir ça, de m’humilier, de me descendre devant les autres. Jamais il ne s’est dit que c’était mal pour moi, et qu’on risquait de lui enlever ma garde. Ca ne lui a jamais traversé l’esprit, tout simplement parceque tout ce qui était coups et blessures, il le faisait à la maison, et que devant les autres il « m’humiliait » gentiment, comme un père se moque gentiment de son enfant. C’est pour cette raison que je n’ai jamais été placé dans une famille d’accueil.

Tout se passait bien, du moins bien quand on se trouve en face de mon père, lorsque soudain, j’entendis la petite voix d’Ella. Je me retournai alors vivement et la vis arriver vers nous. Elle devait avoir échappé aux mains des infirmiers. Il ne fallait pas qu’elle voit ce qui allait se produire, ce n’est pas un spectacle pour une petite fille de son âge. Enfin, Lizzie prit les devant et alla directement vers elle pour ne pas qu’il lui arrive quelque chose de grave. Ella fut ramenée alors près de nos amis, pour être mise en sécurité. Mon attitude avec la petite fille dut surprendre mon père, il ne s’attendait certainement pas à ce que je sois différent de lui, il pensait que je serais aussi vindicatif que lui ? Aucunes idées pour tout avouer. Finalement, je ne lui ressemble pas tant que ça. J’avais peut-être besoin de cette confrontation pour m’en rendre compte par moi-même.

Elizabeth s’interposa quand-même entre mon père et moi, pourquoi ? Ce n’était certainement pas à elle de recevoir les coups qu’il allait porter. J’allais la mettre sur le côté, pour qu’elle soit en sécurité, je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Cependant, je fus trop lent, je vis un coup s’abattre sur elle. Comment mon père pouvait-il être tombé si bas ? Elle ne lui avait rien fait, mise à part le narguer en m’embrassant pour lui prouver qu’on était bien ensemble. C’était tout ce qu’elle avait fait ! Rien qui ne mérite qu’il s’en prenne à elle ! Je la mis alors sur le côté, et fit face à mon père. Ce n’était certainement pas la meilleure idée que j’avais eu, mais sur le moment, c’était la plus appropriée.

Par la suite, se fut à mon tour de recevoir des coups. Mais j’y étais habitué. Je ne lui cherche pas d’excuse, loin de là ! Je n’avais pas la force de réagir face à mon père, j’étais redevenu ce petit enfant mort de peur, qui voudrait bien se cacher dans un coin sombre et attendre que ça passe. Malheureusement je ne pouvais pas faire ça. Il fallait que je passe au dessus de cette peur, que je me relève et que j’affronte une bonne fois pour toute mon père. Je me relevai doucement, en regardant bien qu’il n’allait pas encore une fois me frapper. Faisant à présent face à mon pire cauchemar, je ne savais pas comment réagir, c’est bête, je venais de faire la moitié du chemin pour rien. Quel Gachis.

Un coup allait à nouveau être porté, mais il fut retenu. Par quelle force surnaturelle ? Celle d’un policier. Nos amis avaient appelé la police ? J’espère que ça ne va pas envenimer la situation entre moi et mon père. Enfin, je leur en suis reconnaissant. Mon père fut emené par la police, et je me dirigeai en vitesse vers Elizabeth pour voir comment elle allait. Elle n’avait rien de grave heureusement. Je lui pris une main et allais vers la salle de réception pour retrouver Ella qui devait se demander ce qui était entrain de se passer.
Je me mis à la hauteur de la petite, et lui fit un bisou pour lui montrer que tout allait bien. Pendant ce temps, des infirmières soignaient les petites blessures d’Elizabeth. Je m’occupais d’Ella, puis se fut à mon tour d’être soigné.

Et c’est ainsi que se fini notre journée. Notre dure journée.



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