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 ~ remember you said (r)

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MessageSujet: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyLun 29 Avr - 16:03


⊹ un amour impossible, qui devient possible,
c'est tout un monde qui s'écroule.

Insomnie quand tu nous tiens. Sans arrêt, tu pensais à lui. Et pourtant au plus profond de toi, tu savais que tu n’avais pas le droit. Il n’était que ton psychologue, mais il avait ce truc qui te plaisait. Tellement qui te rendait peut-être plus forte. Souffrir parce qu’il te plait, aucunement. Cela ne sera jamais le cas. Tu t’étais faite une raison, puis le protocole était très clair : aucune relation amoureuse entre un médecin et une patiente. Tu avais ta séance dans l’après-midi. Qu’allait-il se passer encore une fois ? Tu n’en avais vraiment aucune idée. Tu t’étais levé de ton lit, par obligation. Jamais, t’avais demandé à aller voir un psy. Ta mère t’avait obligé. Comme-ci qu’elle avait besoin d’avoir la conscience tranquille. Pour pouvoir s’amuser comme elle le faisait si bien, depuis la mort de ton père. Alors que toi, tu te renfermée sur toi-même. Ne sortait presque plus. Ton travail te maintenait un cadre de vie accès acceptable, puis le propriétaire te considérait comme sa fille, chose qui te touchait au plus profond de toi. Comme quoi, dans ton malheur, tu avais de la chance. (…) Tu t’étais préparé, enfilant une robe vu le beau temps qui faisait. Connaissant la météo, il ferait assez bon l’après-midi. Tu n’avais même pas pris la peine de te coiffer. Tu avais juste attaché tes cheveux en queue de cheval. Prenant un gilet assez long. Direction, le centre de la ville à son cabinet médicale (..) Parcourant les rues de la ville, dans tes pensées. Tu te trouvais pitoyable, en t’arrêtant devant un miroir. La thérapie n’avait pas que du bon, tu le sentais au fond de toi, que t’en aurais besoin beaucoup plus pour que tout aille pour le mieux. Faire face, ce n’était pas autant simple qu’on pourrait le croire. T’aurait aimé prouver à ta mère que tu étais forte, que ton père soit fière de toi, mais ce n’était plus le cas. Il n’était plus là pour te le dire. Un sourire triste apparu sur ton visage, alors que tu reprenais ta route. Arrivant machinalement devant ce cabinet, la boule au ventre, mais surtout le cœur battant à tout rompre. (..) Il n’y avait pas grand monde, tu t’étais donc assise sur une chaise, attendant ton tour. Tout en espérant que tu n’attends pas longtemps. Le voir, te faisait grandement du bien, mais tout se mélangeait en toi, tu avais peur, extrêmement peur que cela se voit dans ton regard. Il avait tout pour plaire, même si son métier était d’écouter, seulement écouté, sans plus. Il devait être pareil avec tous ces patients, mais au fond de toi, t’espérais que tu étais l’unique. L’espoir était devenu ton mot d’ordre.
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MessageSujet: Re: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyJeu 2 Mai - 10:10


⊹ un amour impossible, qui devient possible,
c'est tout un monde qui s'écroule.

La routine et pourtant chaque jour te semblait différent. Tu te levais comme chaque matin à l'aube et passais plusieurs minutes, ton café à la main à regarder l'horizon. Tu trouvais ce rituel assez ridicule en soit, mais tu n'arrivais pas à t'en détacher. Puis tu t'étais préparé, machinalement. Petit déjeuner, douche, habillage. Tu ne t'éternisais pas bien longtemps dans la salle de bain. Les clés de ta voiture en main, tu grimpais à bord et mettais le contact. Tu roulais en direction de ton cabinet, t'arrêtant comme à ton habitude pour acheter un second café. (...) Une fois à ton cabinet, c'est une tonne de dossiers qui t'attendait. Tu avais pris pour habitude de bosser un peu chez toi, la veille au soir, histoire de te remémorer quels étaient les patients que tu allais traiter dans la journées. Tu n'aimais pas le découvrir une fois la personne en face de toi. Non, tu étais plutôt le genre de médecin à travailler avant, pendant et après une séance. La matinée passa assez vite, tu n'avais eu à faire qu'à deux patients avec lesquelles tu travaillais depuis pas mal de temps déjà. Ils te disaient combien ils t'étaient redevables et combien la thérapie leur faisait du bien et ça te réchauffait le coeur. Il était bon de savoir que tu arrivais à les rendre plus heureux, mieux dans leur peau. Ton déjeuner, c'est au traiteur en face de ton cabinet que tu le pris, à emporter bien sûr, pour pouvoir encore une fois plonger ton nez dans tes dossiers. Très rapidement tu te rendis compte que la prochaine personne qui allait entrer dans ton bureau serait Allie Ridway et tu te sentis étrangement bizarre. Tu étais à la fois content et triste. Content, parce que tu aimais la perspective de passer un peu de temps avec elle et triste de savoir qu'elle se devait, encore, de venir te voir. Son problème n'était pas simple et pourtant tu avais fait à faire à pire. Elle souffrait de tendance dépressive et d'une légère phobie sociale due à la perte soudaine de son père. Tu avais essayer de traiter problème après problème, mais rien n'y faisait, elle s'enfonçait toujours un peu plus dans sa dépression. (...) Après avoir jeter ton repas dans la poubelle et reclasser les dossiers inutiles pour cette séance, tu sortais de la pièce pour rejoindre ta salle d'attente. Mademoiselle Allie Ridway déclarais-tu un sourire amicale ancré sur le visage. Tu la regardais se lever et l'accompagnais jusque ton cabinet avant de t'asseoir à ta place. Comment vous sentez-vous aujourd'hui ? Tu avais l'habitude de poser cette question, à tous tes patients et bien qu'elle paraisse stupide en soit, la réponse qu'ils te donnaient était réellement importante. Tu vouvoyais aussi généralement tes patients, même si tu n'aimais franchement pas ça. Tu pensais que ça tuais cette intimité que tu aimais créer entre vous. C'est pourquoi tu préconisais les prénoms aux noms de famille : en effet tu aimais qu'ils t'appellent Gibson ou alors Gibs s'ils le voulaient et non docteur ou monsieur Swinburne.
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MessageSujet: Re: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyDim 5 Mai - 11:01

Attendre, sans jamais savoir ce qu’il pourrait se passer. Une séance de psy, une séance que tu devrais taire encore une fois tes sentiments pour ne pas qu’il comprenne. Parce que tu savais que tu n’étais que sa patience, juste cela et il y aurait jamais plus. Tu faisais tellement pitié de t’imaginer de tel scénario, comme-ci que tu l’intéressais. Il devait être en couple, heureux. Et tu te faisais des films. Tu riais intérieurement de ton cas par moment. Peut-être est-ce ta dépression qui te fait agir de la sorte. Tu n’en avais aucune idée et tu t’en fichais réellement. En même temps, si un jour, tu vas mieux. Cela voudrait dire qu’au fond de toi, tu as fait ce deuil, que tu es prête à oublier une partie de ton père. Cependant, tu ne te sentais aucunement capable de cela. Pitoyable. Tu détestais être dans cette pièce, attendre que le docteur Swinburne, t’appelle pour te faire rentrer. Pour parler de rien, et de tout. Il essayait de te cerner, alors que toi, t’essayais savoir s’il ressentait quelque chose pour toi, mais à chaque fois, tu étais déçu. (..) Le temps passait à une vitesse inimaginable, lorsque Gibson sortie de son bureau. Ton cœur se mit à battre beaucoup plus rapidement, tu crus t’étouffer face à sa beauté. Tu te trouvais bête de ressentir ce genre de chose, mais on ne pouvait pas contrôler ce genre de sentiment, malheureusement pour toi. Tu te levais donc après avoir entendu sa voix, si parfaite t’appeler. Marchant machinalement vers son bureau, alors que tu passais à ces côtés, son odeur t’enivrait. Tu te sentais bien quelque seconde, avant d’aller t’asseoir à ta place, celle que tu prenais à chaque fois dans son bureau. Tu évitais de le regarder. Tu voulais faire taire tes émotions, pour ne pas qu’il se doute de quoi que ce soit. Quand ce fut le cas, tu relevais la tête, pour lui répondre machinalement Cela dépends des jours, mais aujourd’hui, je dirais entre les deux. Mentir ne servait à rien dans de tel circonstance, alors tu préférais être sincère, sans vraiment savoir ce qu’il pourrait te dire. Vos séances se passaient sans cesse de la même manière, il te demandait comment tu allais, puis il te demandait de parler de ton père, de ta mère, puis ensuite de toi. Même si cela ne servait à rien, tu disais toujours la même chose, mais tu devais faire des efforts, alors t’en ferais, malgré ta peur de te dévoiler complétement en face d’une personne qui ne te laissait pas indifférente.


Dernière édition par Allie Ridway le Dim 12 Mai - 15:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyMar 7 Mai - 11:04


⊹ un amour impossible, qui devient possible,
c'est tout un monde qui s'écroule.

Tu lui adressais un maigre sourire face à la sincérité de sa réponse. De toute façon tu n'en attendais pas moins d'elle et de la plupart de tes patients. Certains venaient te voir de leur plein gré, d'autres y étaient contraint, mais chacun savaient que s'ils étaient ici c'était pour qu'un jour leur situation s'améliore. Alors mentir ne servait à rien et tu savais, plutôt bien, déceler le faux du vrai, ça faisait parti de ton métier. Bien. Êtes-vous un peu sortie depuis la dernière fois que l'on s'est vu ? Si tu posais cette question c'est parce que tu savais que, à cause de sa dépression, Allie passait la plupart de son temps chez elle, à broyer du noir. Tu essayais d'ailleurs de lui faire comprendre, à travers les séances, que ce n'était pas bon pour elle. Ce qu'il lui fallait c'était de prendre l'air, voir des personnes, se changer les idées pour pouvoir un jour peut-être, passer à autre chose. Faire son deuil n'était pas une chose facile, tu le savais, et il était bien rare et inutile d'effacer de son esprit la personne que l'on a perdu. Je sais que vous n'aimez pas parler d'elle, mais ... avez-vous eu des nouvelles de votre mère ? Ce n'était pas forcément une question utile, du moins elle ne faisait pas tellement bouger les choses, mais il te fallait savoir. Celon toi, le problème d'Allie ne venait pas entièrement de la perte de son père, mais de son environnement actuel. Tu étais persuadé que, si elle avait eu la même relation qu'avec son père avec sa mère, elle aurait sans aucun doute trouver plus de courage et de soutient pour affronter cette épreuve. Ton regard était fixé sur la jolie blonde. Son état t'inquiétait, bien plus que ce qu'il ne devrait. Tu te souciais d'elle en tant que patiente, mais également en tant que personne ce qui ne devrait pas vraiment être le cas. Les journées passaient et cette fichue barrière patient/médecin te fichait en rogne. Parfois tu songeais à ce que vous pourriez être si vous vous étiez rencontrés autrement, si elle ne devait pas suivre cette thérapie avec toi. C'était idiot et tu le savais. Alors tu levais la tête et lui souriais, tout en essayant de la faire aller mieux. Parce que son bonheur était ton but et la source du tiens. C'était étrange, tu ne la connaissais pas tant que ça, ou alors beaucoup trop. Tu connaissais son intimité, sa vie de famille, une partie de sa vie privée, mais tu n'avais jamais eu à faire à Allie, la Allie.
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MessageSujet: Re: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyDim 12 Mai - 15:39

Dire que c’était ta mère qui t’avait forcé d’aller voir un psy. Jamais de la vie, tu l’aurais seule, de ton plein grès, mais en même temps, tu as eu la chance de tomber sur un charmant jeune homme. Tu te demandais, si dans d’autre circonstance, ce qu’il aurait pu se passer avec lui. Malheureusement, tu ne pouvais te poser cette question. Histoire impossible. Puis, tu étais persuadé qu’il était en couple. Comment ne pas l’être. Il avait tout pour plaire. Puis, ce qui te faisait craquer, c’était son sourire. Un dieu. Il ressemblait à cela. Une question te brûlait les lèvres, mais ce n’était pas le moment de lui poser. Toute façon, tu n’avais pas à lui poser des questions, au contraire. Cela semblerait déplacé. Soupirais-tu discrètement, avant de lui répondre le plus naturellement. Vous saviez que j’ai un travail, non ? Donc, bien évidemment que je suis sortie pour aller travailler. Par moment, tu ne mesurais pas l’intensité de ta voix. Tu pouvais paraître froide, mais tu t’en fichais. Lunatique, tu devrais certainement l’être. Mais en dehors de mon travail, la seule fois que je suis vraiment sortie, c’était pour retrouver un ami, sa présence m’apaise souvent, me fait oublier la douleur que j’éprouve depuis la mort de mon père. disais-tu assez gêné. En même temps, c’était la vérité. Tu avais la chance d’avoir deux amis, toujours là pour toi. Malgré que ce n’était pas simple tous les jours. Je n’ai plus de nouvelle de ma mère, depuis que je l’ai surpris avec quelqu’un de mon âge. Elle agit comme une enfant, alors qu’elle aura bientôt 50 ans, c’est dingue quand même. Cela serait plus tôt à moi, d’agir de la sorte, mais non… en posant ton regard sur lui, avant d’enchainer en disant Ce n’est pas mon genre, puis je me respecte trop pour me rabaisser à son niveau. disais-tu en soupirais une seconde fois. Parler, tu ne faisais que cela. Toutes vos séances étaient pareilles. Tu n’imaginais pas comment cela pourrait évoluer. Tu étais maintenant persuadé que tu ne l’attirais pas. Mais cela te faisait souffrir. T’aurait aimé qu’il soit celui, qui te fasse aller mieux. Espérer, ne veut pas dire être faible, n’est-ce pas ?


Dernière édition par Allie Ridway le Lun 27 Mai - 13:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyMer 22 Mai - 10:48

Le plus naturellement du monde, tu lui avais demandé si elle était sortie de chez elle en dehors de ses visites hebdomadaires dans ton cabinet. C'est alors qu'elle se durcit, qu'elle se braque et qu'elle te répond froidement. Pourtant tu ne sourcilles pas, de sa part ou non, tu étais habitué à ce genre de réaction. Vous savez, quelques personnes dans ... votre cas ne daignent même pas se lever pour aller travailler. C'est déjà une bonne chose de savoir que vous, vous continuez à consacrer du temps à votre travail. Tu n'étais pas autorisé à parler de tes autres patients et pourtant il t'arrivait de faire certaines comparaisons. Par pour les dénigrer, non loin de là, mais au contraire les pousser à aller de l'avant et voir qu'il y a toujours pire que nous sur terre. Puis elle continue de parler, elle te raconte qu'elle est sortie voir un ami et ton coeur fait un bon. Tu feignes alors l'innocence en continuant à l'écouter calmement. Seulement mille et une questions se bousculent dans ta tête. Tu te demandes qui il est, ce qu'elle veut bien dire par le mot ami et combien ils peuvent être proches. C'est idiot, parce qu'au fond ça ne te concerne pas et pourtant ... Tu as envie de savoir, cette question te brûle les lèvres, mais tu la retient. Ce ne serait pas professionnel et en aucun cas ça ne l'aiderait à aller mieux, alors tu te tais. Il est très important que vous trouviez des personnes pour vous entourer, des personnes avec qui vous vous sentez à l'aise et avec qui vous pourrez être vous-même. déclares-tu solennellement en accompagnant tes mots d'un simple sourire. Viens ensuite la question que tu n'aimes pas aborder et que tu crains le plus. Tu sens que c'est son point faible et tu redoutes à chaque fois la réaction qu'Allie pourrait avoir à la prononciation de son nom. Mais elle se confit, tranquillement. Tu la laisses alors parler sans la couper une seule fois. Tu attends qu'elle ait fini, qu'elle se lâche et qu'elle dise ce qu'elle pense. Je ne connais pas votre mère et ce n'est pas à moi de la juger. Tout ce que je pourrais vous dire est que chaque personne est différente et qu'on ne réagit pas tous de la même façon à la perte d'un proche. Certaines personnes préfèrent s'isoler et perdent petit à petit le goût de la vie, comme vous. Votre mère fait certainement parti d'une autre catégorie de personnes, celles qui, au lieux de se renfermer, préfèrent profiter et se camoufler derrière une sorte de double maléfique. Ce qui ne veut en aucun cas dire qu'elle ne souffre pas, même moins que vous. Ton ton se fait compatissant. Il est vrai que tu n'as eu à faire à sa mère qu'une seule fois et uniquement par téléphone. Pourtant il te semblait la connaître un minimum ou du moins connaître la vision d'elle qu'a sa fille. Ou ... comme vous le dites, votre mère s'est libérée et se comporte d'une façon très peu raisonnable et vous avez toutes les raisons de la haïr. Tu n'en savais rien au fond, alors, plutôt que de lui mentir, tu lui exposes toutes les solutions. Allie tu la suivais depuis pas mal de temps déjà et tu avais enfin de renouveau. Tu savais que plusieurs de tes confrères avaient expérimenter la chose et que toi tu l'avais fait une ou deux fois il y a quelques temps de ça. Alors pourquoi pas avec elle ? J'aimerais vous proposer de sortir, Allie. Merde, tu te rends compte que ta phrase peut porter à confusion. Médicalement parlant, je veux dire ... J'aimerais, si vous êtes d'accord. Prendre le temps de vous voir en dehors de mon cabinet, de comprendre de quelle manière se manifeste votre légère phobie sociale afin de mieux vous aider par la suite. Tu souriais doucement, mais tu aurais pu rougir à tout instant. Tu n'étais pas très doué pour ça, malgré ce que tout le monde s'amusait à croire. Tu souhaites la sortir pour toutes les raisons que tu venais d'énumérer, mais également, il faut le dire, parce que l'idée de passer un peu de temps en sa compagnie, en dehors de ces murs, te plaisait grandement.
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MessageSujet: Re: ~ remember you said (r)   ~ remember you said (r) EmptyLun 27 Mai - 13:42

Tu détestais être froide avec ton psychologue. Surtout qu’il ne t’avait rien fait de mal. C’était certainement le fait qu’il te plaisait tant bien que mal et cette situation te pesait au plus profond de toi. Tu ne devrais pas ressentir de telles choses. Et c’est tellement dur de faire semblant. Tu n’y arriverais jamais à tenir une journée de plus. Au moins, tu sais que cela sera impossible, tu ne te faisais aucunement de faux-espoir. Tu n’aimais pas cela. Contrairement à ta mère, qui aurait pu le draguer et l’avoir dans son lit avec son numéro de charme. Tu étais vraiment l’opposé de ta mère. Etre ignoble que tu ne supportais plus. Soit. Tu l’écoutais donc parler. Sa voix te calmait par moment. Et savoir qu’il faisait son métier avec tout son cœur, te rassurait. Ta première impression avait été la bonne. Il était quelqu’un de bien. Et c’est son charme qui t’avait fait craquer. Certainement, mais j’ai surtout besoin d’avoir un salaire tous les mois En faisant un petit sourire amusée. Rare les fois, tu réagissais de la sorte. Fallait qu’il en profite. Le problème, c’était que tu étais assez lunatique dans ton genre. Tu pouvais être une fois adorable et une seconde plus tard, complètement ingrate. Beaucoup disait que tu tenais de ton père. Peut-être est-ce vraiment le cas ? Tu l’espérais ? Au moins, tu avais certain mimique de ton père et cela te rassurait un peu. Ne voulant pas ressembler à ta mère. Tu tenais d’elle pour une seule critère, les cheveux blonds. Ainsi que la taille de guêpe. Mais le reste, pas réellement. J’ai souvent du mal à accorder ma confiance. Alors, j’ai très peu d’amis. Mais c’est vrai que j’ai de la chance d’être entouré par moment, mais ce n’est pas tous le temps le cas. Disais-tu en faisant une mine boudeuse. Encore une fois, tu montrais une petite part enfantine sans vraiment l’être. T’essayait juste de ne pas le regarder dans les yeux. Tu pourrais rougir à tout moment. Vous n’avez cas, passer une journée avec ma mère et moi. Et après cette journée, vous comprendrez mieux de ce que je veux dire par le faite qu’elle est imatre pour son âge. Je parie qu’elle vous draguerez sous mes yeux. Tu te stoppais quelque peu. Réalisant que tu aurais pu lui faire comprendre qu’il te plaisait. Tu secouais la tête pour simple réponse. Sachant ces quelques idées, avant de reprendre Enfin, elle est juste sans gêne. Et je ne supportes pas cette façon d’agir. disais-tu en soupirant. Essaye de penser à autre chose. Parce que tu étais sûr qu’à cet instant, tu avais un peu rosie. Et que tu tentais tant bien que mal, de ne pas montrer ta gêne. Ce n’était pas simple. S’il ne te plaisait pas, tu n’aurais pas eu du mal, à être normal, mais cette fois-ci, ce fut plus fort que toi. Comment pouvais-ton rester neutre, alors que ton cœur battait à une vitesse inimaginable ? Je suis d’accord, mais vous auriez du fil à retord avec moi. Vu que mes crises d’angoisses arrivent quand personne ne s’y attende. Puis, cela m’aiderait peut-être à aller mieux en société. Même si peu de personne m’ont parlé de cette méthode. C’est vraiment tout nouveau, non ? Savoir qu’il voulait te faire sortir, même médicalement. Te faisait vraiment plaisir. Même si ça serait dur, parce que tu aurais une occasion en or de te rapprocher de lui, hors bureau. Et c’est à ce moment, que tu t’es mis à espérer quelque chose avec Gibs Swinburne.
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