Elle s'occupait de patients, depuis dix heures, quelques opérations, avant un accouchement, qui l'avait « retardé » avant de rejoindre son enfant. Lizzie repensait qu'elle avait déposé « Ella » au bras de son amoureux. Il était certain, qu'elle lui accordait sa « confiance », mais elle n'était pas rassurée, ayant pas pour habitude d'abandonner son enfant. Le pire, c'est qu'elle ne recevait pas de nouvelle de son bébé, comme s'il y avait quelque chose qui était « arrivé » même si elle était anxieuse, elle essayait de « positivée » pour travailler correctement. Le chef de l'atelier, et du service qui se nommait « romano » mettait la pression au médecin, pour lui montrer qu'il n'était pas le moment de penser aux autres, et qu'ils y avaient assez de « malades » pour penser à les soigner, et non aux proches. « Lizzie, soit vous êtes concentrée, soit vous sortez de la salle d'opération, nous avons pas d'un deuxième mort aujourd'hui ! » il était vraiment « infecte » avec tous les médecins, et elle aurait bien voulu cracher son « venin » sur ce bougre homme. Il n'était pas le moins apprécié pour rien, mais heureusement que ses « collègues » la rassuraient, ou même communiquaient de sa relation avec ce nouvel homme « edwin ». La jeune femme se mordit la lèvre, pour s'empêcher de « l'étrangler ». La chirurgienne reprit « son sérieux », en reprenant son opération, comme il était prévu. Le temps passait rapidement vite, pour une fois et cela rassurait beaucoup la jeune mère qui espérait retrouver son « amoureux », et son enfant. Il était sûr qu'elle éprouvait des sentiments, mais refusait de l'admettre. Elle ne voulait pas « revivre » ce cauchemar, c'était plus que suffisamment pour elle. Il était hors de question, d'être abandonnée encore une fois, et de se retrouver seule, sous la mélancolie, par un homme qui avait quitté, ou qui était mort quelques mois après. Et ce « blocage » empêchait clairement, de pouvoir aller de l'avant, ainsi que de pouvoir se rapprocher de cet homme. […] Lizzie mit son manteau, avant de dire saluer tout le monde, comme il se devait, et se mit en route pour retrouver son enfant et son ami « Edwin ». Le trajet n'était pas aussi long, même si le milieu social était loin de « ressembler » au sien. Il faut dire qu'elle avait la fortune de ses parents, en plus de l'héritage de son défunt époux, sans oublier son métier qui lui apportait beaucoup.

Il ne faisait tout de même tard, mais avait finalement réussi à trouver l'appartement, même dans un temps pareil. Elle se mit à frapper, trois ou deux fois, avant d'entendre « mama.. » de son enfant qui s'était précipité vers la porte d'entrée. Il ouvrit la porte quelques temps après, quelque peu débraillé sûrement à cause du « rangement » après s'être occupé de la « demoiselle » qui avait grandi et qui avait maintenant un ans et deux mois. Elle porta son enfant, quand celle-ci se mit à « lever » les mains pour lui demander de la « porter ». Ella était toute « souriante », de retrouver enfin sa maman, qu'elle aimait beaucoup, même si en grandissant elle avait beaucoup du mal d'être « séparer » de sa maman. La jeune femme entra à l'intérieur, en se mettant à sourire, en voyant comment il s'était occupé de son enfant. Il était vraiment adorable. « J’en connais une qui est contente de te voir. » la petite fille se mit à hocher de la tête, en affirmant les propos de son meilleur ami. Lizzie pensait qu'elle devait le remercier, parce que malgré tout il n'était pas « obligé » de s'occuper de son enfant, pendant ses jours de « congés » même si c'était censé le reposer, et non le rendre épuisé. Il voyait comment c'était dur de s'occuper d'un enfant, sans avoir habitude même si c'était le même refrain pour chaque naissance, et parent, même si elle était relativement calme pour une enfant de son âge. « encore merci pour t'être occuper de mon enfant, rien ne t'y obligé.. » elle se mordit doucement la lèvre, avant de se mettre à chercher quelque chose dans son sac à main. La jeune femme voyait ça comme un « service » de la part de quelqu'un de bénévole, mais cela ne voulait pas dire qu'elle ne devait pas le « remercier » comme il se doit, comme ça cela lui permettra de se payer quelque chose, qui aimait beaucoup. Le médecin prit quelques billets, qui n'était trop rien comparé à sa fortune « légendaire », qu'elle mit aux creux de ses « mains » pour lui faire comprendre que c'était pour le remercier, de s'être occuper si gentiment de la « demoiselle » qui ne devait pas être calme, depuis son départ au travail. « accepte ceci en gage de gratitude... » elle était gênée de lui donner de l'argent, mais elle voulait le remercier « convenablement ». La petite se mit à regarder ces billets, en se posant des questions, surtout pourquoi sa maman donnait du papier à son meilleur ami.

© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart

« De rien, si tu as encore besoin n’hésite pas à me demander » elle n'hésitera pas à lui demander, si cela lui faisait plaisir de garder un enfant. Il devait sûrement supporter sa première « fois » dans une maison, outre la sienne. Il faut dire également, que la non-présence de sa mère y était fortement pour quelque chose. La demoiselle n'y était absolument pas « habitué », et se sentait totalement perdu. « il n'y a aucun problème. » surtout qu'elle t'adore, et aime beaucoup s'amuser avec toi. Il ne fallait pas voir « mal » le fait qu'elle veuille lui donner de « l'argent », mais uniquement par habitude, en gage de remerciement, comme pour les nounou, ou baby-sister maintenant. Il n'y avait pas de rapport avec son appartement modeste. Il ne voulait pas l'argent, sûrement en croyant qu'elle lui donnait pour arrondir son mois, ou tout simplement pour montrer « sa supériorité » elle ne voulait pas insister cependant. Il le verrait certainement mal. Il tournait déjà la tête d'un signe « négatif » pour montrer qu'il n'en voulait pas de son argent, avant de le remettre dans sa main, et de rajouter quelque chose. « Pas besoin de me payer, garde tes sous pour lui payer quelque chose qu’elle veut ! » elle avait déjà ce qu'il fallait, même plus vu la richesse colossale de ses parents, et de ses grands parents, mais elle pensera à lui donner un « bonbon » moue de préférence vu qu'elle est encore un bébé. La petite se mit à sourire, en comprenant qu'elle aurait sûrement quelque chose avec ces papiers, qui ne représentait rien pour elle, mais beaucoup pour sa maman, vu comment elle le donnait à son meilleur ami. La jeune femme savait qu'il faisait ça pas pour l'argent, mais pour le « plaisir » seulement, un simple merci était beaucoup « peu » pour la belle femme. Il se mit cependant à faire un autre « paiement » en liquide, plus originale, qui emballa le cœur de Lizzie, quand celui-ci s'approcha ainsi de lui, tout en lui tenant le menton, pour déposer un doux et beau baiser sur les lèvres. Il fallait savoir que depuis un moment, elle ressentait des sentiments, et qu'elle verrait ça pour un amusement, se disant qu'elle n'avait aucune chance, surtout qu'il va croire qu'elle aurait encore besoin de temps. Il était mort depuis un ans, elle avait pu s'en remettre depuis longtemps. Le baiser parût comme un amusement, vu qu'il n'avait rien dit auparavant, mais quelque chose après, qui portait la confusion à la belle femme.

« C’est un paiement suffisant… » un mode de paiement, c'est tout ce qu'il représente pour toi. Il voulait dire que seule un baiser « suffisait » mais qui signifiait beaucoup, mais qu'elle ne voyait pas de la même façon. Les mots prononçaient, lui rappela à « l'ordre » en lui faisant penser que c'était qu'un baiser sans importance. Il faut dire que c'était sa première fois, et qu'il n'était pas habitué, mais elle le savait, et pourtant.. quelque chose la poussait à réagir comme ça. La peur peut-être ! Oui, certainement, la peur de perdre quelqu'un de nouveau, comme si elle était « maudite » que chaque homme mourrait ou disparaissait, quand elle s'en approche de trop « près ». Et surtout qu'elle aimait, et qu'elle ne voulait pas revivre « la mort » ou l'abandon d'un autre homme. Lizzie se décala doucement, en prenant peur comme jamais, en croyant que ce n'était qu'un simple baiser, toujours la même rengaine, et même problème. « pourquoi ? » pourquoi tu me fais ça ? Oh, elle parlait du fait de l'embrasser, sans même lui dire « Je t'aime » pour la rassurer, ou simplement lui dire quelque chose de plus « explicite » qui lui dirait long sur ses sentiments. Le médecin commençait à douter sérieusement, se demandant pourquoi il s'amusait à embrasser, alors qu'elle avait des sentiments, et qu'elle avait déjà souffert de la mort de quelqu'un, donc d'être de nouveau abandonner. La petite ne comprenait pas, mais voyant sa maman désemparée, comme si elle revoyait « son papa » mort. Elle s'accrocha fermement, pour essayer de la rassurer comme c'était sa maman, et qu'elle aimait beaucoup, même qu'elle ne voulait même pas partager. « tu ne peux pas jouer avec mes sentiments. » ça voulait bien dire ce que ça voulait dire. Lizzie disait clairement, même dans un terme « compliqué » qu'elle avait des sentiments pour lui, mais qu'elle ne voulait pas « jouer » avec lui à s'embrasser comme ça, car elle en souffrait trop de ne pas se sentir aimer par cet homme, que c'était simplement pour le plaisir. Il fallait donc absolument la rassurer, pour lui montrer que ce n'était un « jeu » mais réellement de l'amour qu'il ressentait pour elle. Et vu qu'il n'y avait pas moyen, qu'elle était complètement perdu, et totalement confuse, elle alla prendre la « fuite » comme d'habitude, comme chaque moment de « détresse » ou elle se sent attaquée. « je ne veux pas revivre ça. » pas de nouveau, pas maintenant. Elle ne voulait pas être « abandonner » comme si une malédiction la touchait chaque fois qu'elle aimait quelqu'un. Il fallait décrire le message, pour comprendre le véritable sens, mais elle savait qu'il ne comprendra pas, donc elle rajouta quelque chose, pour lui faire comprendre son véritable sens. « je ne veux pas te perdre.. » clairement dans le sens de la phrase ça voulait dire le perdre en tant qu'amant, quand la mort le prendra, ou quand il voudra la « quitter » pour une autre femme. La jeune femme se rapprocha de nouveau, de la porte de sortie pour essayer de partir, en trouvant une excuse, peut-être simpliste, mais quand même c'était ce qu'elle trouvait de mieux à dire, dans un moment ou elle était complètement désemparée. « Je dois partir.. Je suis désolé ! Je dois m'occuper d'ella, tu comprends.. » elle ouvrit de nouveau la porte, avant de le regarder une dernière fois.

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« Je ne joue pas avec tes sentiments, je ne me permettrais jamais une horreur pareille. » alors pourquoi tu m'as embrassé. Il ne jouait pas, alors pourquoi avait-il embrassé ? Le médecin n'arriva pas à comprendre, après autant de temps maintenant, elle ne croyait plus qu'un « homme » pouvait ressentir des « sentiments » à son égard. Il était plutôt question, qu'elle évitait les hommes, depuis la mort de son « défunt » mari. La jeune femme croyait que chaque homme « mourrait » ou « disparaissait » quand elle s'en approchait. Il était hors de question, qu'il vienne lui aussi à abandonner en la quittant, ou même en mourant. Elle ne supporterait pas le deuxième « choc » autant que le premier, mais celui-ci la plongerait de nouveau, et elle ne pourra pas y en ressortir vivante malheureusement. Il y a des douleurs, qui peuvent être « effacer » et d'autre « oublier » mais par moment un autre événement pourrait les faire « remonter » violemment comme une épée dans le cœur. […] La jeune femme s'apprêtait à partir, quand soudain une main vint la retenir soudainement, en l'attirant comme un aimant vers cet « homme » qu'elle aimait et chérissait, mais dont elle avait peur de perdre comme le premier. Le regard baissé vers le sol, étant légèrement confuse par leur précédente conversation, et ce qui venait de se produire. Il posa son regard sur elle, comme s'il avait quelque chose d'important à lui annoncer. Il devait lui dire ces trois mots magiques, qui retournerait complètement la « situation » en sa faveur. Le médecin ne prononça aucun mots, n'étant toujours pas « remise » du choc de ce baiser qu'elle venait de recevoir de son ami, qui depuis quelques temps ressentait la même chose. « Jamais je ne me permettrais de jouer avec les sentiments des gens. Je crois que je m’y suis mal pris, je ne voulais pas que tu penses ça, certainement pas. Je ne suis pas le meilleur pour… » le meilleur pour quoi ? Il faut que tu me le dises. J'ai besoin de le savoir ! la petite s'amusait à tirer sur les bretelles, trouvant cela amusant de voir comment ça pendouillait sur son « meilleur ami », elle s'était même mise soudainement à rigoler, en voyant ça comme quoi il en faut très « peu » pour amuser un enfant de un ans et deux mois. Lizzie embrassa son enfant, la trouvant absolument adorable, quand elle s'amusait innocemment, même dans un moment pareil, ou quand elle riait pour un rien, comme font tous les enfants de son âge. Il souriait également à la demoiselle, qui était en train de les observer, en se posant des questions, sur leurs comportements.

Il vint ensuite un moment, inattendu, dont elle ne s'attendait pas, et qui la fit rougir de plus belle, tout en ayant les yeux ronds, par la « surprise » de son nouvel amant. La jeune femme essuya une larme, qui coulait involontairement, mais c'était pas de « tristesse » mais de bonheur, cela faisait tellement longtemps, qu'elle attendait ça, qu'elle ne put retenir ses « émotions » c'était beaucoup trop intense. « …pour avouer mes sentiments. Je t’aime Elizabeth ! » elle n'aurait jamais cru ça, même dans ses rêves les plus « fou » et « irréel » mais cela la rendait tellement « heureuse ». le médecin n'aurait jamais pensé, qu'il était comme son paternel, pour être un homme cruel à faire souffrir les femmes, mais effectivement elle n'avait pas compris le « message » est s'en voulait, se trouvant bête. Il était peut-être pas le « meilleur » mais il avait finalement réussi à lui « avouer » ses sentiments, de deux belles façons. Lizzie déposa son enfant un moment, pour pouvoir faire ce qu'elle aurait du faire, au premier baiser de son petit-ami, si elle n'aurait pas chercher midi quatorze heures. La belle blonde se retourna, pour être de nouveau en « face » de lui, et embrasser amoureusement, posant ses mains sur son cou, en se rapprochant doucement. La petite se mit à quelques pas, en train de regarder sa maman embrassait son « meilleur ami », oh cela ne lui dérangeait pas, quelque part elle voulait qu'ils aillent ensemble, parce qu'elle aimait beaucoup sa maman, comme elle appréciait beaucoup son nouveau papa dorénavant. Elle sourit de son plus beau sourire, en comprenant qu'ils étaient amoureux, et elle tira doucement le pantalon de son meilleur ami. « .. ed.. » elle attendait une confirmation de sa part, comme quoi il aimait sa maman, et que ça sera lui le « super héros » qui la protégera des monstres, pour un enfant les méchants, n'étaient que des monstres, ou des hommes moches. Il ne fallait pas trop s'attarder, donc elle stoppa le baiser pour apercevoir la demoiselle, en train de sourire bêtement, en voyant la main de sa maman avec celle de son « meilleur ami ». Ils étaient « intelligents » les enfants. Ils comprenaient très bien qu'après un baiser enflammé, et deux mains enlacées, c'était le début d'une belle histoire d'amour. Il n'y avait pas besoin de mentir, elle avait très bien compris « la vérité » et c'était loin de la déranger.

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Il fallait mettre sur « compte » de l'enfant, qui avait permit cette belle « histoire » dans un baiser maladroit, d'y a sept mois exactement. Ils ne se connaissaient que depuis « sept mois » mais cela suffit amplement pour naître un bel amour. Il était certain, qu'il fallait s’apprivoiser pour partager ses malheurs, et ses bonheurs. Le médecin prolongea le « baiser » aussi longtemps, tout en sentant les mains de son amant dans ses cheveux, elle sentit des frisons parcourir tout son corps, puis sentant un mal à l'aise soudainement de sa part. Il était peut-être dû à un non-retour de sa déclaration d'amour. Elle était extrêmement « fatiguée » en dehors de cette soirée dépourvu de « surprises ». il ne lui manquait seulement du temps pour s'en remettre, et apprendre lentement qu'elle était de nouveau en couple avec quelqu'un. « mais bien sûr que je t’aime, très fort aussi ma petite chipie. » il déposa un baiser sur le front de l'enfant, qui se mit à sourire grandement. Il allait être dur, de partager sa « maman », elle qui avait habitude de l'avoir entièrement. Lizzie n'allait pas s'attarder, elle avait beaucoup de travail, mais elle aurait bien voulu « prolonger » la soirée, au moins pour être auprès de lui, comme un vrai « couple ». Il s'interposa, et se mit devant pour l'empêcher de « partir », maintenant. La petite fille ne voulait pas partir maintenant, elle voulait le tourmenter encore, et toujours. Ella attrapa le pantalon, pour lui faire comprendre son « envie » du moment, et profiter d'être en « famille » de nouveau. Il murmura aux creux de son oreille, un simple mots, qui était pourtant radicale, et très sensuel venant de sa part, même si elle le voyait un tantinet un « provoquer ». « reste. » elle ferma les yeux, en réécouter ce mots en boucle, dans sa tête pour se décider si elle allait accepter, ou non. Il n'y a rien qui empêcher de dormir, ou même de manger en famille pour une journée. Il était vrai qu'elle était fatiguée, et qu'elle n'avait qu'une envie faire « ami-ami » avec son matelas. Elle se mordit la lèvre « sensuellement », avant de venir lui murmurer à son tour quelque chose à son oreille, d'un air légèrement provoqueur. « tu sais quoi.. je t'aime, moi aussi.. mon petit cœur.. » cela était le surnom qu'elle avait donné à son défunt mari, mais également à ses anciens compagnons, « surnom » des amoureux, qu'elle trouvait qu'il était finement approprié à son nouvel amant. Il fallait donc interpréter ça, comme un « oui » même si elle ne le formulait pas concrètement.

Elle reprit possession, de sa main pour la serrer doucement, quand la demoiselle se mit à sauter sur place, contente de pouvoir rester, et elle se mit en direction de la télévision pour écouter la chaîne enfant qui passait des chansons, et dessins animés « en boucle » ce qu'elle adorait, et la mit à sourire bêtement. La petite se mit à revenir vers Lizzie, pour la pousser, et lui demander de venir auprès de la télévision, pour ne pas rester toute « seule ». Il fallait dire qu'elle avait peur de devoir se retrouver toute seule de nouveau. La jeune mère se mit à sourire, et garda toujours sa main dans la sienne, en suivant son enfant pour se mettre sur le canapé, et l'asseoir auprès d'elle son amant, pour lui sourire doucement. Elle remit ses bretelles, lui qui n'aimait pas être « débrailler » pour un docteur, tout en venant embrasser au coin des « lèvres », quelle provocatrice ! Il se faisait tout de même tard, et malgré tout elle devait changer son enfant, avant de la mettre dans « la chambre » à huit heures. Il restait encore un peu de temps, donc cela ne la dérangeait pas, et elle avait des vêtements de rechanges, sauf pour elle bien entendu, mais il devait avoir quelque chose à lui prêter. « il faudra bientôt aller se changer, demoiselle.. » la petite se mit à hocher de la tête, pour dire qu'elle était d'accord, avant de reposer son regard sur la télévision. Il fallait dire qu'elle n'était pas télévision, du moins ce genre de dessin animé, donc elle reporta son attention sur l'homme à côté d'elle, qui avait dû s'occuper de son enfant pendant toute la journée. Il avait dû être épuisé, après autant d'acharnement, à vouloir le bonheur d'une enfant qui se sentait mal, dû au changement d'habitation soudainement. « j'espère qu'elle ne t'a pas trop épuisé ! » oui surtout qu'elle galopait très vite, et fallait vraiment s'amuser avec « ella » pour la fatiguée rapidement, et lui permettre une bonne nuit de sommeil. La demoiselle se mit d'ailleurs à « bailler » maintenant, elle se détacha doucement de son homme, pour porter son enfant vers la salle de bain, pour changer la misstinguette, avant qu'elle n'aille « dormir ». Lizzie emporta quelques vêtements, pour la changer correctement, et l'accompagna pour se « changer ». Il ne fallut que quelques minutes, avant de revoir la petite se mettre à galoper pour dire « bonne nuit » à son meilleur ami par une bise sur la joue, avant d'éteindre la télévision, et de suivre sa mère jusqu'à la chambre. Le médecin installa son enfant sur le matelas, avant de bien la couvrir, pour qu'elle n'attrape pas « froid », et vint déposer un baiser sur son front. La petite fit comprendre, qu'elle voulait une « histoire » de son nouveau papa, et également un bisou, comme tous les « enfants ». La jeune femme partit de la chambre, pour prévenir son amant, qu'on avait besoin de ses services. Elle se rejoignit, en se mettant derrière le canapé, avant de faire son apparition, en quelques mots. « mon chéri, ella veut que tu lui racontes une histoire, et que tu embrasses, avant de dormir.. »

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Il ne se doutait pas, mais la belle blonde quêtait leur conversation, avec un sourire aux lèvres, trouvant cela totalement « adorable ». Lizzie s'adossait, pour écouter « la belle histoire » que racontait son amant, à son enfant. Il était chou de se prêter vraiment au « dire » de son enfant. Le médecin se remit à en chemin, avant de se mettre à bailler également. Il lui faudrait une douche, pour la remettre d'aplomb, mais vu qu'elle n'avait pas d'habit de rechange. Il était malin d'accepter sans prévoir des rechanges. Il aurait dû obliger les « rechanges » dans l'automobile, comme çe en cas d'imprévu, cela serait toujours « utile ». « au fait, prend ta douche si tu veux. » elle accepte volontiers de prendre une douche, cependant il fallait frapper avant « d'entrer » vu qu'elle ne fermait jamais la porte. Il était peut-être imprudent, mais elle vivait en général « seule » à quoi cela servirait de fermer la « porte » ? oh, sûrement à rien, au risque d'être « bloquer » bêtement. Il lui avait été arrivé une mésaventure du même « style » mais pas ce genre d'endroit, dont ce problème se produit peu fréquemment. Il était en train de mijoter un plat, donc l'odeur lui rappelait vaguement quelque chose, mais qu'elle n'avait pas goûter, une nouvelle découverte « culinaire » pour la belle chirurgienne. Elle se dirigea vers la douche, avant de fermer la porte -pas à clés- et de commencer à se déshabiller. Il était bon de se laver, après une dure journée de labeur, de dix heures de travail, non stop avec un « casse pied » sur le dos, qui aimait donner la mauvaise humeur. La silhouette de la belle blonde se dessinait, au moment ou son corps ruisselait d'eau, donnant une vue magnifique et envoûtante de sa personne. Il y avait cependant un problème, une présence masculine vint déposait des vêtements, avant de repartir en quatrième vitesse, comme s'il avait vu un fantôme, mais elle ne venait pas de réaliser, qu'il venait de la voir « dénudé » complètement, même s'il y avait un rideau de bain. Elle se mit violemment à rougir, avant de se mettre dos à la porte, pour éviter que la même erreur ne recommence. Il ne fallut que quelques minutes, avant de terminer de prendre sa douche tranquillement, et de mettre les vêtements propres de son amant, ce qui la mettait plutôt mal à l'aise, n'ayant pas habitude de porter des shorts d'hommes, et surtout venant de son homme. Le première réflexe étant de se regarder dans le miroir, en tournant pour voir comment cela rendait sur sa belle silhouette de « sirène » envoûtante.


« à table, spécialité belge, moules frites ! » les cheveux tombant sur son corps, les épaules largement dénudées, et encore humides, les jambes velte à l'air, sans un vêtement pour les cacher, mise à part ce short d'homme, qui était trop grand, et qui tombait un peu, par moment. Le médecin se mit en route pour rejoindre son amant, autour de la table pour déguster une spécialiste « belge ». elle arriva auprès de lui, avant que ses jambes se frottent l'une contre l'autre, étant légèrement gêner par la « douche » mais de porter ses vêtements, ne sachant pas comment ça la rendait. La jeune femme s'assit à son emplacement, avant d'observer longuement ces « moules » qu'elle n'avait jamais manger auparavant. Lizzie en ouvrit une, avant de les manger, c'était plutôt bon, maintenant manquait plus que faire le mélange des deux aliments, donc elle piqua une « frite » à son compagnon, car c'était beaucoup plus amusant, et ça animait le « repas » que d'en prendre une dans son assiette, avant de sourire amusé, en trempant dans la « sauce » des moules. Il y avait également une deuxième façon plus intéressante, elle prit une de ses moules pour la mettre à sa bouche, et de l'embrasser après, tout en ajoutant un clin d’œil. Le flirt « provoquant » c'était du typique de la vicieuse charmeuse, qu'elle était ! « tu ne trouves pas qu'elles sont meilleurs comme ça ? » elle se mit à sourire, avant de terminer son plat, qu'elle trouvait délicieux, comme quoi elle irait manger en belgique plus souvent, pauvre Edwin. Il va devoir se mettre au « fourneau » plus longtemps, maintenant. Le médecin se redressa pour se rincer les mains, et de voler un baiser à son homme, pour le remercier de ce repas, dont elle murmure à son oreille un sensuel « merci. » aujourd'hui elle était d'humeur provocatrice, et « charmeuse » également. La jeune femme rejoint le salon pour s'asseoir sur le canapé, et se reposer un moment, pour ne pas tomber de fatigue, et ne pas profiter de cette belle soirée en « amoureux » surtout qu'elle n'avait pas fini de l'enquiquiner avec sa provocation.

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Il avait osé la provoquer en « duel ». Il commençait son manège, en s'essayant sur ses « genoux », avant de l'embrasser, tout en déposant une main sur « sa joue ». Il était vrai qu'elle n'avait pas connu son côté provocateur, ou allumeur, comme certains dirait. Lizzie appréciait beaucoup, cette nouvelle « facette » de son nouvel amant. Il ne fallait pas oublier, qu'elle était « une charmeuse » professionnel. elle mit ses mains autour de son cou, avant de prolonger plus sensuellement ce beau baiser enflammé. Il n'avait pas encore tout vu, cependant, cette femme était une vrai tentatrice sur « pattes » même si elle le cachait souvent. Il fallait bien « s'amuser » de temps en temps, cela promettait des escapades nocturnes très chaudes, que le bel homme risque de fortement apprécié, quand il en aura pris habitude.. ll arrêta soudainement, ayant sûrement quelque chose en tête, qui devait le perturber. Elle resta à son écoute, en se décalant légèrement pour écouter plus sérieusement. « Au fait, Romano ça te dit quelque chose ? J’ai un homme qui est entré dans mon bureau et m’a posé des questions sur moi vraiment personnelles. C’est un de tes ex ? » il était loin d'être son ancien petit-ami. Il était simplement son supérieur, et un « ami » qui était étrangement possessif, étant « amoureux » d'elle depuis son arrivée. Il était mauvais avec toutes ses fréquentations, ou peut-être moins son défunt mari étant donné qu'il avait plus grande gueule, que lui pour se défendre. Il n'était pas le cas cependant de son ancien amant, qui avait dû faire face au comportement de son supérieur. Elle soupira longuement, en se posant des questions, sur ce qu'il avait pu faire dans son bureau. Il était vraiment exaspérant, malgré qu'elle ne lui disait pas clairement, qu'il était vraiment « collant » de s'interposer. Lizzie appréciait simplement, même s'il en demandait beaucoup. Elle espérait, qu'il n'était pas allé trop « loin » comme dans ses habitudes, pour voir s'il était quelqu'un de potentiel dangereux. Lorsqu'elle comprit, qu'il avait interrogé sur son « passé », elle serra doucement son poing, ne le supportant de moins en moins. « Romano est le chef des urgences ! Il n'est pas mon ancien amant, mais simplement un « ami » ! J'irai le voir demain, pour parler cinq minutes.. Il est amoureux de moi depuis mon arrivée, et fait en sorte de se montrer le plus détestable possible ! » elle voulait être honnête, après s'il voulait arrêter leur relation, parce qu'un autre homme était amoureux. La belle blonde serait sûrement anéanti, mais elle n'osera plus retomber amoureuse, ou même refaire confiance à quiconque, en se rendant compte qu'elle les perdait vraiment, sans même le vouloir. Le regard baissé, elle détourna son regard, s'attendant à une mauvaise réaction de la part de son homme, face à cette mauvaise « nouvelle ». elle était sûr que maintenant, elle allait le perdre de nouveau, comme elle avait perdu son défunt mari, y a maintenant un ans.

Lizzie embrassa tendrement son homme, pour lui démontrer son « amour » envers lui, malgré les doutes qu'il aurait pu avoir à son sujet, ou à celui de son supérieur « casse pied ». Elle déposa ses mains autour de son cou, en se rapprochant de lui doucement. Elle se décolla doucement, de l'enlacer par derrière, pour y déposer son visage, en baillant. « il n'y a rien entre nous deux.. il n'y a que toi que j'aime.. mon petit cœur.. » elle soupira de bonheur, en sentant son odeur corporel, avant de prendre sa main, pour la serrer doucement. Il ne devait pas se doucher, avant de la rejoindre dans la chambre ensemble. Il faut dire que pour sa première journée avec son nouvel amant, elle réclamait beaucoup d'attention. Lizzie était amoureuse, y a déjà plus de « deux mois », elle cauchemardait moins, et dormait un peu plus longtemps également. Il est fort possible que cette nuit, elle observe dormir pour se rassurer, qu'il ne cauchemarde pas de nouveau sur son « passé » auquel cas, elle viendrait le serrer doucement. « au faite, tu ne devais pas te doucher ? » elle se défait de son emprise, avant de se redresser et de lui donner une tape légèrement provocatrice, sur ses fessiers, pour la taquiner avant qu'elle ne l'empêche de bouger. Le médecin pouvait empêcher son homme de rester immobile. Elle avait des moyens « imparable » pour ça! La jeune femme partit de nouveau, pour voir si son enfant dormait bien, comme on pouvait s'y attendre, elle était énormément proche de sa princesse, et surveillait attentivement, pour être une bonne mère, pour se montrer à elle-même qu'elle n'était pas comme ses parents. Elle retourna dans leur chambre, pour voir qu'il n'avait pas emporter ses vêtements, il comptait garder une serviette, c'était mal tenté, car elle ne resterait pas longtemps. Il n'y avait rien de pervers, mais seulement, ça ne tient pas longtemps, et la plupart du temps, cela risque de montrer son corps aux personnes, ou dans ce cas à sa femme, mais cela ne la « dérangeait » pas. Lizzie attendait simplement, elle ne se permettrait pas de rentrer, sans permission, en se doutant que la porte devait être « verrouiller » certainement. Il allait bien finir par lui demander, et uniquement à ce moment, elle entrera à l'intérieur pour découvrir le beau torse de son amant encore humide. Il fallait voir comment les yeux de la femme brillait déjà d'avance, à l'idée de découvrir son amant dénudé, avec l'eau ruisselant sur son « corps » divin.

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« Ne va pas créer les embrouilles à cause de ça. Je trouverai un moyen de lui faire comprendre que c’est peine perdue. Il l’aura bien cherché. » Lizzie savait, que si vraiment elle ne réagissait pas, il continuerait. il y avait toujours des emmerdes, et cela c'était même dans l'hôpital, quand il avait besoin de faire « chier » quelqu'un. Il était vraiment insupportable, et elle ne pouvait plus tolérer son comportement, maintenant. Il était hors de question. Il n'irait certainement pas régler ce problème. Le médecin devait lui dire clairement, qu'il n'y aura « jamais » quelque chose entre eux. Il était sûr que ce n'était pas la meilleur méthode, mais en tout cas la plus « radicale ». elle fronça du nez, voyant qu'il comptait adopter le même comportement que son idiot de patron, ce qui lui déplaisait fortement. Il ne s'agissait pas d'un concours « qui est le plus idiot des deux » mais seulement de le faire réagir. elle ne tolérait pas, qu'on se batte pour sa personne, même si elle trouvait ça adorable, mais après ce qu'il avait vécu, et la maturité de son patron, cela n'en valait pas le coup. « tu ne comptes pas faire quelque chose de stupide, j'espère ! » les hommes tous pareil ! quelque chose lui démontrait invraisemblablement, qu'il comptait vraiment être « stupide » au même titre que son patron. Il fallait être « patient » avec les hommes, surtout quand ils ont quelque chose en tête. Il était prêt à tout pour l'accomplir, sans écouter les conseils des femmes, en leur disant que c'était stupide leur agissement. Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre, en faite ! Ils se comportèrent vraiment comme des « enfants ». Edwin avait le symptôme de « peter pan » mais ce n'était pas une « raison » cependant. Lizzie ne supporterait pas, qu'il soit de nouveau avec des bleus, ou que sa provocation le met en colère, et qu'il se retrouve encore plus mal qu'au début. Il devait oublier cette idée, car il n'était plus tout seul, et la jeune femme ne voulait pas perdre quelqu'un, même si ce n'était pas ça qu'il allait le « tuer ». « il est hors de question, tu m'entends.. je m'occupe de lui, c'est mon problème pas le tien.. » ils sont vraiment bornés par moment, pire que des enfants.. Il fallait tout de même lui calmer ses idées, et lui montrait qu'il n'avait vraiment rien à craindre. Il était « protecteur » peut-être, mais ce n'était pas son problème, elle n'avait aucun ennui avec cet homme, même s'il était chiant, collant, et énervant, il restait tout de même professionnel. Il répondit à son baiser, avant de lui en donner un autre, qu'elle prolongea un peu longtemps, pour empêcher de répondre à ce qu'elle venait de dire précédemment, car le connaissant, il n'hésitera pas à s'y opposer clairement.

Il méritait par moment des baffes, même si elle se retenait, mais être autant imprudent tout ça pour une histoire de femme, c'était assez embarrassant. Il n'y aurait certainement pas que ça qui allait embarrassé prochainement. Il était un vrai enfant, qui réagissait sans même réfléchir, et qui se plongeait dans l'aventure, imprudemment, sans même regarder ou il va. Lizzie se doutait qu'elle devrait le ramasser pour le récupérer entier, mais c'était le « prix » à payer pour aimer un homme restant éternellement un enfant. « Moi aussi je t’aime. » La jolie blonde se mit à sourire, avant de le caressait doucement, le regard légèrement attendri. Il n'y avait pas plus beau sourire, ou même visage que le sien, et c'était une des parties qui avaient réussi à percer son cœur, malgré le fait qu'elle refusait pourtant de se mettre « en couple ». Il partit à la douche, comme celle-ci lui avait rappelé, avant de vérifier si son enfant dormait toujours. Il n'y avait vraiment rien à craindre, elle avait les yeux clos. Le médecin referma ensuite la porte lentement, avant de remarquer dans leur chambre le pyjama de son amant, qui apparemment avait complètement oublié qu'il devait se changer après s'être essuyer correctement. Il n'avait jamais été question de rentrer comme ça à l'improviste, donc elle attendait patiemment, qu'il veuille bien lui demander d'entrer pour lui apporter ses vêtements. Il le fit aussi qu'il avait remarqué ses vêtements disparus, elle se mit à sourire amusé de son malheur oubli, et s'approcha lentement de la porte, avant d'écouter ce qu'il avait à lui dire. « Lizzie, tu pourrais m’apporter le short et le t-shirt qui se trouvent près de mon lit s’il te plaît ? » elle se mit à rigoler discrètement, avant d'entrée à l'intérieur, pour lui remettre en main propre. Lizzie remarqua directement « la chose », cette blessure qui recouvrait la plupart de son beau torse encore humide. Le regard légèrement baissé, elle se sentait mal pour lui, pour cet homme qui avait osé aller à une telle extrémité. Les mains serraient, elle mourrait d'envie de frapper quelqu'un, uniquement pour se défouler des sentiments, qu'elle ressentait à ce moment. La jeune femme s'approcha dangereusement, avant de poser une main délicatement sur « cette blessure » descendant légèrement. Elle se frotta un œil, pour retirer la perle d'eau, qui avait osé s'infiltrer sur son visage de porcelaine. Elle remonta ses lèvres pour embrasser amoureusement, en passant ses mains autour de son cou, et le prend soudainement dans ses bras. La jeune femme voulait vraiment montrer qu'elle était là pour lui, elle ne supportait pas ne pas pouvoir aider dans son enfance. Lizzie avait déjà dû faire à des cas comme ça, avec des enfants, mais elle avait toujours trouver une solution, soit les parents devaient aller en « prison », ou il était envoyé dans une autre « famille » pour le temps que le « tribunal » à plaider du côté des enfants. Le corps de la belle femme était extrêmement proche, et elle aimait sentir son corps tout contre le sien, cela lui permettait de la rassurer, au niveau de son amant, qu'il ne pouvait rien avoir, tant qu'il était avec elle, auprès d'elle. « tu sais ce qui me ferait plaisir ? » oh elle avait une idée en tête, mais c'était quelque chose qu'elle avait envie de faire uniquement avec son homme.

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Le cœur s’effondrait subitement, en voyant cette « cicatrice » causait par un seul, et unique homme, son paternel. Il n'y avait qu'une seule chose pouvant causer une telle « horreur ». Lizzie ne comprenait pas, comment on pouvait être autant cruel envers un enfant, ou même son propre enfant. Il y a vraiment des personnes, qui méritaient de mourir, pour avoir commis le pire « crime » du monde, et n'avoir aucun remord. Il n'y a rien à faire, les larmes sortaient d'elle-même, ne supportant pas de savoir que son ami, comme son amant avait pu subir autant de « violences » de son paternel. Il était hors de question, qu'il souffre de nouveau, en repensant à ça, ou quelqu'un d'autre vienne lui faire du mal. Elle a déjà du mal à supporter, une simple « cicatrice » faite y a déjà des années auparavant. Il s'approcha lentement, avant de la regarder dans les yeux. « J’aimerais te dire qu’il s’agit d’une opération, mais les cicatrices c’est ton domaine. Tu sais bien qu’on ne les fait pas de cette manière la. Je suis passé au travers d’une baie vitrée à cause de mon père, ce qui m’a laissé cette marque. » Le médecin était « chirurgienne », et savait parfaitement que ce n'était pas une opération. Il était certain qu'on ne les faisait pas de cette « manière », que c'était dû à choc brutal, qui aurait p.. causer la mort de la personne. Elle n'osait imaginée ce qu'il aurait advenu s'il n'aurait pas été présent, s'il n'avait pas arrêter « la poussette » et n'avait pas partagé ce merveilleux après-midi ensemble. Ils ne seront pas ensemble, et elle se serait sûrement effondrer, comme tous les soirs, ayant perdu également son enfant, à cause de cet accident qui aurait pu lui être fatal également. Il n'y était pas aller mollo, en vue des dégâts sur son torse encore humide. La jeune femme déposa un doigt, pour interrompre son « discours », car elle ne voulait pas en entendre davantage. Il était dur de parler des moments vécus aussi dramatique, cela remonte d'ancienne cicatrice. Il pouvait discuter d'absolument tout, mais elle ne voulait pas lui infliger une douleur supplémentaire. « chut.. mon ange.. » elle déposa un baiser pour remplacer son doigt, en caressant lentement sa joue. « cesse donc de te faire mal.. parle plutôt de quelque chose, qui te rend heureux.. » elle se décala doucement, en lui prenant sa main dans la sienne. Il avait mieux à faire qu'évoquer le mal en personne. Elle était capable de « tout » pour lui, malgré qu'elle le connaissait uniquement depuis sept mois exactement. Il était plus qu'un ami, un peu comme un meilleur ami, mais surtout son amant. Et si elle avait choisi ce métier c'était pour aider les personnes, et pouvoir sauver des vies. Oh, elle aurait aimé remonter le temps, et pouvoir intervenir pour le changer de famille, ou même mettre son paternel en prison, en donnant une somme colossale à son enfant pour tous les « dommages ». Il aurait connu moins d'horreur, et aurait pu dormir plus paisiblement. et s'il lui demandait « d'habiter » ensemble, elle accepterait volontiers, pour qu'elle puisse le protéger, ainsi qu'éloigner les « cauchemars » de ses longues nuits. Il serait heureux, même s'il était maintenant, et une demoiselle aurait son meilleur ami rien que pour elle, à toujours le taquiner.

Elle répondit au baiser, en mettant ses mains autour de son cou, avant de voir la serviette tombait doucement. Elle se mit à sourire amusé, en le voyant en train de la rattraper, pour ne pas qu'elle observe son corps magnifique. Il faudra bien un moment, ou il devra être moins pudique, ou il ne se sentira pas mal à l'aise, car après tout maintenant ils sont ensemble, peut-être pas officiellement, mais pour elle, ça l'était dans son « cœur ». Lizzie s'approcha dangereusement, avant de se blottir dans ses bras, pour donner un côté « romantique ». Elle sourit quand elle vit son sourire énigmatique, avant de recevoir un baiser. « non, mais je sens que tu vas me le dire. » effectivement, sinon d’où viendrait le plaisir. Il n'y avait pas plus beau moment, que rester dans les bras de son homme, en fermant les yeux, voyant un monde plus beau, comme on ne peut en rêver qu'une seule fois. Elle se mordit doucement la lèvre, avant de venir embrasser de nouveau, en posant une main sur sa joue, pour appuyer sur son baiser. Il était plus facile de faire patienter quelqu'un dans un beau baiser, que de le faire languir pendant des heures. Les yeux de la femme scintillaient d'un éclat « nouveau » créait par cet amour. Il était comme un espoir sorti de nulle part, alors qu'elle en avait énormément besoin. Il était comme tombé du ciel, pour la sauver de la mort de son mari. Il était comme un miracle, un vœux, ou même un ange gardien. Elle vint murmurer quelque chose à son oreille. « arrêter le temps pour pouvoir rester « éternellement » dans tes bras.. » elle se décala légèrement, en remarquant qu'il devait sûrement se mettre en t-shirt, et short pour pouvoir la rejoindre. « mais surtout, te rendre heureux.. » elle marcha en directement de la porte, avant de se marcher en direction de la porte, et de s'arrêter pour se retourner, et dire quelques mots. « dépêche-toi.. beau châtain .. tes bras me manquent déjà ! » elle lui fait un clin d’œil, avant de retourner dans la chambre, et de regarder le ciel étoilé de cette soirée, qui était vraiment magnifique, avant de retourner sur le matelas, pour attendre son homme. Dieu, sait comme elle aimait cet homme, même si elle le connaissait peu, cela ne représentait absolument « rien » à ses yeux.

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Il retira les traces des larmes, qui erraient sur son beau visage. Il était sûr qu'elle portait déjà un passé douloureux. Il n'était en aucun cas, aussi désagréable que celui de son amant. Il n'y avait aucune marque sur son corps, ou même cauchemar. Lizzie était seulement « l'enfant fantôme » dont les parents ne s'en préoccupaient pas. Il ne faut jamais écouter les paroles de ses parents, car ils trouveront un moyen de dire le contraire. Le père n'était pas présent, et avait abandonné son enfant à douze ans, mais il était quand bien un homme bien. Il était venu lors de son diplôme en médecine, de son mariage avec son défunt mari, et également après l'accouchement. Ils se chamaillaient souvent, comme un vieux couple, même séparé ils étaient un minimum présent maintenant. « avec toi, bizarrement, ça fait moins mal d’en parler. » peut-être, mais ça lui était encore plus douloureux. Il était comme « un ange gardien », qui avait sauver son enfant, et qui leur avait redonné l'espoir. Elle ne pouvait pas s'imaginer, ce qu'elle serait advenu sans son apparition miraculeuse. Le médecin ferma les yeux, au contact des lèvres de son amant, avant de les rouvrir lentement. Il ne fallait pas trop s'attarder, donc elle se détacha doucement, en révélant ce dont elle avait envie maintenant. Il était dur de se séparer de l'emprise de son homme, mais il devait commencer à avoir froid. Elle se dirigea vers la chambre, en s'installant convenablement, avant d'observer son « univers ». Il revint auprès d'elle, rempli de garnitures que les enfants adoraient manger. Il n'avait pas appris, que c'était mauvais de manger du chocolat, surtout avant de dormir, cela fait prendre du poids. Il déposa tous les chocolats, avant d'expliquer à quoi consistait de manger des sucreries, maintenant. « Je crois qu’on a de quoi tenir pendant toute la soirée. » il y en avait pour plus d'une nuit. Il était sûr que c'était véritablement un enfant, pour aimer manger autant de chocolat. La demoiselle aurait aimé pouvoir manger autant de chocolat, même si elle n'avait pas encore toutes ses dents. Elle se rappelait manger des cornichons, avec du chocolat pendant les neufs mois. Elle mangeait en pleine après-midi, comme au milieu de la « nuit » ou tu entends des bruits perturbants. Il ne fallait pas se poser de question, cella allait sûrement se reproduire. Il la reprit dans ses bras, avant de descendre ses doigts, le long de sa colonne vertébrale. Elle se mit à frisonner doucement, avant de rigoler doucement, en repensant à toutes ces cochonneries.

« tu comptes les manger tout seul ? » elle retourna la tête en arrière, avant de déposer un doigt sur son bout de nez, avant de l'embrasser amoureusement. « oh, j'en connais une qui serais ravis de manger tout ce chocolat ! » elle aimait le chocolat, et surtout les biberons que sa maman lui préparait, quand elle avait sept mois. Il fallait attendre un peu, en morceau, surtout qu'elle avait encore mal aux dents. Il pouvait en donner, mais des morceaux riquiqui uniquement. « tu crois que tu pourras partager avec Ella ! Je lui autorise un « carré » au chocolat, ou un chocolat simplement... mais couper vu qu'elle a mal aux dents ! » elle était maman, donc c'était normal de penser souvent à son enfant. Il n'était pas pratique de se retourner, pour apercevoir un bout de son homme, en sachant qu'elle pouvait se douter qu'il s'était dépêche pour la rejoindre. « Tu me fais confiance ? Tu te laisserais faire si je te demandais de ne pas bouger et d’avoir totalement confiance en moi ? » elle lui faisait confiance, certes.. mais pourquoi ce retournement de « situation » soudainement. Il comptait faire quoi ? Il l'avait perturbé, à un tel point, qu'elle se demandait s'il comptait pas lui mettre une « araignée » ou un « serpent » qui serait son compagnon. Et pourquoi ne pas bouger ? Il ne comptait pas « coucher » maintenant, dés leur première nuit en amoureux, tout de même ? Et pourquoi « totalement » ? Oh, c'était tellement compliqué ! Elle leva les sourcils, ne comprenant pas ou il voulait advenir. Edwin lui cachait quelque chose, et ça ne la mettait pas en confiance du tout. Il fallait pourtant accepter, sinon cela allait l'empêcher de dormir, et même de travailler demain. « Bien sûr, pourquoi cette question ? Ça dépend pourquoi ? » elle supposait qu'il ne répondrait pas à ses questions. Elle était censée « répondre » seulement, pour découvrir de quoi il en retournait. Il était dur d'accepter, sachant qu'elle ne le connaissait que depuis sept mois, même si c'était son ami, et meilleur ami, après le choc de son défunt mari, elle avait du mal à refaire confiance complètement. Il le fallait pourtant, sinon elle n'aurait pas réponse à ses questions, et elle pourra attendre longtemps, il aura complètement « oublier » demain, même après demain. « Oui, je te fais entièrement confiance ! » Il ne manquait plus qu'attendre, maintenant. La jeune femme se retournait doucement, pour embrasser son homme, en mettant ses mains sur son corps, dont plus tard, elle ne voudra plus quitter. Elle se stoppa, pour ne pas devoir attendre longtemps, avant de caresser doucement la joue.

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« Tu demanderas si je t'aimais, je répondrai peut-être,
Ce qu'il restera de nos regrets, je dirais l'amour même,
Si j'en suis l'histoire que tu connais et la seule entre toute,
Tu voudras savoir si je t'aimais, je répondrais sans doute... »

il faut par moment accepter notre sort. Il faut apprendre à aimer, comme apprendre à faire « confiance ». la confiance, c'est « la base » d'un couple, tout comme les sentiments. Il la retourna doucement, avant de se mettre en califourchon. Il souleva son haut, pour y déposer ses mains, qu'il passa tout le long de sa colonne vertébrale. Lizzie se sentit partir un moment, en voyant qu'il commençait à la masser. Elle se mit à soupirer, avant de lâcher involontairement, mais discrètement un gémissement de bien-être. Il était relaxant de se faire « masser » après une dure et longue journée, avec un chef des urgences trop derrière « elle » pour pourvoir souffler. Il n'y avait pas beaucoup de repos, pour les « chirurgiens ». Et si le téléphone ne sonne pas, en plein milieu de la nuit, c'est son enfant qui la réveille pour un « cauchemar ». Il était facile d'appeler pour rappliquer quelqu'un, parce qu'il était « surchargé ». Il était dur de travailler dans « un hôpital » ou son homme travaillait auparavant. Il faut combattre le mal par le mal. Il était hors de question, d'abandonner son travail uniquement parce qu'elle se retrouvait sans son « mari ». Le médecin sentit un moment des baisers parcourir tout le long de sa colonne vertébrale, « Alors, tu as eu raison de me faire confiance ? » elle était trop endormie pour répondre, alors elle sortit un simple « mmmh » en guise de réponse. Elle qui voulait rester éveillée, pour rester auprès de son amant, voilà que ces plans tombaient bêtement à l'eau. Le massage avait tellement relaxé, qu'elle était en train de sombrer dans les griffes de morflées. Elle ne voulait pas que ce « rêve » s'arrête subitement. Il était tellement beau, tellement peu probable, et tellement idéaliste, qu'elle ne voulait pas stopper ce moment magique. Il faut bien qu'un moment, quelqu'un vienne perturber « le silence », qui commençait à la capturer. Le bruit d'un pleure la surprend, en se doutant fortement que son enfant avait fait un cauchemar. Elle se mit à pleurer, en allant chercher sa maman, dans la chambre de son beau-père. Elle se redressa, en même temps que son homme, avant de l'embrasser amoureusement pour le remercier de ce massage, en remontant son sous-vêtement correctement. La petite arriva soudainement. « ma... ma... » elle monta sur le matelas pour réclamer un câlin de sa maman, quand elle aperçut des chocolats. Il en faut vraiment peu pour calmer un enfant, un bonbon, ou un chocolat. La petite n'était pas bête, et comprenait que pour les « chocolats » fallait demander à son meilleur ami. Elle se retourna rapidement, avant de tirer sur la manche de l'amant de sa maman, pour mendier des chocolats, avec une moue vraiment adorable. Elle ne pensait plus du tout au cauchemar. « ..ed.. » elle hocha la tête pour confirmer, qu'il avait son « accord » pour lui donner un chocolat. Lizzie essuya les larmes de son enfant, tout en l'embrassant doucement. Il faut dire qu'elle était encore endormie, en vue les yeux moitiés endormis.

Elle regarda les deux amours, en train de déguster du chocolat ensemble. Elle ne savait pas parler correctement. Elle se mit donc à faire beaucoup de bruit, pour parler avec son meilleur ami, mais qu'on ne pouvait pas comprendre encore. Lizzie comprenait, avec la « gesticulation » qu'elle parlait sans doute du cauchemar. Il n'y a un qui aimait parle de son « enfance », tandis que l'autre aimait parler de ses « cauchemars ». Il était peut-être vieux, mais elle voyait que c'était un grand enfant tout comme elle, et qu'il comprendrait plus facilement ses « craintes » que sa maman. Elle se mit à rigoler, en trouvant la « situation » assez amusante. Il y a longtemps, qu'elle n'avait pas communiquer à quelqu'un d'autre « ses cauchemars », auparavant c'était son défunt mari, maintenant c'était son amant. Elle mangea un chocolat, en les regardant toujours autant amusé, de voir comment les enfants pouvaient se comprendre. « tu as besoin de traducteur.. mon petit cœur ? » Elle embrassa amoureusement, avant de se blottir comme auparavant, en écoutant leur conversation. Et la petite étant un peu « jalouse » se met sur sa maman, pour montrer que c'était elle la préférée, et qu'elle était sa « priorité ». Il n'empêche qu'elle n'allait pas tarder à se rendormir. Il fallait peut-être la remettre bientôt dans sa chambre, ou la garder au milieu. Elle se mettait à bailler de plus en plus, ce qui rattrapa finalement sa maman, qui en fit autant, tout en mettant sa main devant. Lizzie la porta dans sa chambre, avant de la recouvrir doucement, et de lui murmurer un « je t'aime » à peine audible, avant de retourner auprès de son amant. Il méritait bien un chocolat maintenant, pour avoir su conquérir le cœur de son enfant, et essayait de la comprendre, quand elle avait besoin de parler à quelqu'un de son âge mentalement. Elle prit un chocolat, qu'elle mit entre ses dents, avant d'y mordre doucement. « tu ferais un bon père, tu sais.. » elle le pensait sincèrement, et elle ne remettrait pas ça en question. Elle embrassa de nouveau, ne pouvant plus se passer une minute de ses lèvres, avant de se coller contre lui, pour réclamer comme son enfant, une câlin. « demain, tu viens avec nous pour les courses.. mon chéri ? »

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« Va faire les courses toute seule, je prends Ella en consultation Psy. Si tu veux, je ne l’ausculte pas, se sera un de mes collègues. J’ai un petit doute et j’aimerais bien voir si ce que j’avance est exact. » La jeune mère s'inquiétait soudainement, que comptait savoir exactement, en faisant cette « consultation ». Il ne pouvait même pas la comprendre, seulement avec ses mimiques, et sa gesticulation. Il était moins évident de s'occuper des « courses » sans son amour qui aimait prendre des « décisions ». Il était compliqué de tout comprendre, surtout quand on demandait de l’ausculter, alors qu'elle n'était même pas malade. Elle avait déjà un avis par rapport à ses cauchemars. Il avait un doute sur quoi exactement ? Il était en train de l'inquiéter davantage, et comme d'habitude, elle prit de la « distance » pour tout éclaircir. « Elle est en parfaite santé.. elle n'a pas besoin d'une auscultation.. remets-tu en cause mon rôle de mère ? Je suis loin de ressembler à ma mère, pour ne pas me soucier de mon enfant ! » elle ne put éclaircir comme voulu, vu qu'il s'était remis sous la couverture. Il lui avait seulement murmurer un « bonne nuit » avant de la laisser dans l'inquiétude. Elle ne pourrait pas dormir, sachant que quelque chose avait manqué à son œil de chirurgienne. Il était pourtant difficile d'échapper à son œil, elle était expérimentée, et était au soin de son enfant, même à quitter son travail en avance, au moindre soucie, ou parce qu'elle réclamait sa maman. Il ne fallut pas plus de deux heures, avant de dormir finalement, après avoir repenser à ce qu'il venait de lui annoncer. […] le lendemain, le portable la réveilla de son sommeil, pour avertir qu'on avait absolument besoin de ses « services » maintenant. Il fallait s'en douter, que ça serait le casse pied qui viendrait la réveiller de son repos, alors qu'elle avait terminé tard. Il ne manquait pas de culot, de la réclamer aujourd'hui. Il ne chercherait pas un prétexte pour la téléphoner, ou même la voir au travail, et encore lui gueuler comme un « vieux couple ». Ils se prenaient la tête tout le temps, et cela énervait clairement la belle blonde. Lizzie écouta cependant son supérieur, en se doutant qu'il manquait des chirurgiens, alors qu'ils devaient y avoir beaucoup de patients aujourd'hui. Elle s'empressa de prendre ses vêtements, pour se prendre une douche rapidement, pour ne pas trop retarder les malades.

Elle pénétra dans la « douche » avant de se mettre à hurler, tout simplement parce que l'eau était « froide ». Il était évident qu'elle était toujours glacial, fallait toujours entendre quelques minutes. Elle ne s'attarda pas trop longtemps, et se mit en sous-vêtements, avant de rejoindre son homme, et son enfant pour déjeuner même si elle n'avait qu'une serviette. « Il faut que je me dépêche ! Je vais arriver en retard ! » elle vola un baiser à son homme, avant de prendre un croissant, et de remarquer les céréales. Il voulait sûrement attendre son « accord ». La petite pouvait prendre des céréales comme tous les matins, avant de rejoindre sa « nounou » attitré depuis un moment. Elle retourna dans la chambre, pour pouvoir enfiler quelques vêtements. « Tu peux lui donner des céréales. » elle essaya d'enfiler un vêtement, avant se mettre à ronchonner, sous la pression, en s'en prenant à son supérieur, qui avait le toupet de la mettre de mauvaise humeur même le matin. Elle déposa un baiser sur son front, étant vêtu simplement d'un vêtement, et n'ayant pas encore terminer de s'habiller. « Sois sage ma chérie, maman revient bientôt.. » la petite hocha la tête, avant de s'agiter comme d'habitude, quand elle apercevait « sa maman ». Lizzie partit de nouveau dans la salle de bain, pour pouvoir s'attacher les cheveux, encore humide de la douche rapide qu'elle venait de prendre. « Qu'est-ce que je peux le haïr ! » elle murmurait ces quelques mots, en essayant de s'attacher les cheveux. Il en méritait vraiment une par moment, mais elle ne savait pas pourquoi elle se retenait autant, à ne pas lui donner. Il était peut-être son supérieur, mais elle avait certain droit, qu'il ne respectait pas. Il n'avait pas voulu la faire « reprendre » son poste, tout ça parce qu'elle était enceinte, et qu'elle avait cru à un accouchement prématuré, alors que tout était normal en faite. Elle prit son sac à main, avant de dire quelques mots à son amour, même si elle se souvenait de la soirée d'avant-hier. « J'aurai quelques mots à te dire à mon retour.. » cela sonnait plutôt comme une remontrance. Elle s'inquiétait, maintenant pour son enfant, sur sa santé, et sur ses cauchemars, et tout ce qui la concernait en général. Elle se mettait à douter, en se demandant si elle était une bonne mère. Il était dur de comprendre tout ça. Elle ne voulait pas croire qu'elle était comme sa mère à négliger son enfant, au détriment de son travail. Elle faisait pourtant son maximum. Elle se mit à quitter la maison, pour partir à l'hôpital, comme d'habitude. La première chose qu'elle faisait c'était se prendre la tête avec romano, qui la reprochait d'être trop lente pour venir aux urgences, alors qu'on avait absolument besoin de ses « services ». Il lui reprocha même d'être trop avec son enfant, ou cet homme qui travaillait comme psychologue. Il commençait donc à être jaloux. Ils se disputèrent comme ça pendant quelques minutes, quand il la questionna sur « Edwin » comme son père faisait. Elle claqua la porte, et se mit en route pour commencer accouchement prématuré, et surveillait également une opération importante […]

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Robert comme d'habitude, devait se mêler de tout, et de n'importe quoi. Il était champion pour mettre le bordel dans les relations amoureuses. Il avait déjà montré quand elle sortait avec le Dr. Beton. Il voulait qu'aucune personne sorte avec celle qui aimait, malgré que son défunt mari avait réussi à l'éloigner. Il revenait maintenant pour emmerder son nouvel amant, en posant des questions indiscrètes, sachant tout son « passé » maintenant. Il en tenait une couche vraiment, si elle aurait assisté à ça, la baffe n'aurait pas attendu. Il pouvait engueuler, mais ce n'était pas son devoir de se mêler de sa vie privée, donc elle avait tous les droits. Il est bizarre, comme il appréciait uniquement son défunt mari. Il déposa cependant la petite dans la « garderie » avant qu'elle se mette à pleurer, en réclamant quelqu’un. Il accourut pour venir la chercher, avant de lui promettre de retrouver sa maman. « oh ma chipie, on va aller voir maman pour le gros chagrin. » Il descendit aux « urgences » quand il tomba avec le « casse pied » comme son nom indique, il comptait bien casser les pieds à quelqu'un de nouveau. Il le tenait responsable du son « malheur » uniquement pour emmerder son monde. Elles arrivèrent pour voir son évolution, vu que le Dr. Corday était respectée, et apprécié de tout le monde. Elles ne restèrent pas longtemps, en voyant des malades arrivaient d'un bus scolaire, ou des enfants ont été brièvement « blessés ». Le Dr. Beton, ex-petit ami de Lizzie qui vint à leur secours, pour ne pas que l'enfant voit ses « horreurs » et qu'elle puisse vite rejoindre sa mère. Il se présenta comme étant un ami et collègue de sa femme, même s'il en savait rien, vu qu'elle cachait sa relation, pour justement éviter des « rumeurs » qui viendrait compromettre son devoir. « Je suis le Dr. Beton ! Lizzie ne devrait pas tarder ! Je vais la prévenir de votre arrivée ! » La petite se mit à sourire, en reconnaissant un ami de sa maman. Il avait lui-même un enfant, mais était sourd. Il salua doucement l'enfant, en caressant ses cheveux, avant de repartir en salle de chirurgie pour voir ou en était Lizzie. Il questionna du personnel, pour savoir ou se trouvait le Dr. Corday. Il sut quelques minutes après, qu'elle se préparait pour les rejoindre, ayant terminer son service pour le moment. Il se dirigea à l'endroit exacte, ou elle se trouvait actuellement, avant de déposer son bras sur son épaule pour avertir de sa présence. « Tu as de la visite ! » Elle se mit à sourire, avant de rejoindre son amant, et son enfant. Elle eut le malheur de voir qu'un certain homme l'avait devancé, pour avoir un règlement de compte. Il n'aimait pas que les personnes viennent s’incruster. Il n'aimait pas qu'on entre comme dans un moulin rouge, sans être malade, seulement pour rendre visite, ça le mettait de mauvaise humeur.

« Ce n'est pas un centre pour les « baby-sister » ou de rencontre ! » encore une fois, il ne pouvait pas s'empêcher de gueuler sur quelqu'un. Il était incorrigible, on se demandait comment il était possible aussi « infecte » pouvait contrôler les « urgences ». Il devait sans arrêt mettre le grappin sur une personne, pour la maltraiter, une façon de la faire réagir et travailler davantage, peut-être pour soigner plus de personnes. Il en n'avait toujours pas terminé, cependant avec cet homme qui était pour lui comme un ennemi. « Vous ne trouverez aucun enfants, ayant besoin de vos « services » ! Je n'irai certainement confié mon enfant, à une personne incapable de raisonner comme un adulte.. » elle était encore sur le chemin, mais en voyant la scène, elle se devait de se dépêcher pour qu'il n'y est pas de « bagarre » même verbale. Il était capable du pire, surtout de rabaisser quelqu'un qui en avait pas besoin. « Et le seul qui risque d'avoir des problèmes, c'est vous Dr. Pignon ! Il vous est interdit de venir aux « Urgences » à moins d'avoir une raison valable ! Et cela ne s'applique pas aux.. » « Robert !! Je vous prie d'arrêter de vous mêler des MES affaires ! Il me semble qu'on est assez surchargé... pour que vous vous en preniez à quelqu'un ! Je me trompe ?! » il commence sérieusement à m'énerver. Il était préférable, de ne pas l'énerver davantage, cela risquait d'être douloureux. Il ne rajoutais rien, cependant, mais fronça les sourcils, en se demandant ce qu'il avait de spécial. Il était trop mesquin pour trouver. Il pourrait demander, mais cela le mettrait de mauvaise humeur. La jeune femme se trouvait à côtés des deux hommes, un qui était légèrement de mauvaise humeur. Le bébé ne comprenait rien, et n'allait pas tarder à pleurer, en voyant tout ce vacarme. Elle prit son enfant, quand elle se mit à gigoter en la voyant s'interposer comme d'habitude. Elle embrassa sur le front, en lui murmurant des mots rassurants. Ils ne comptaient pas lâcher. Ils allaient finir par se blesser verbalement, ou physiquement. Il y avait pourtant assez de malade comme ça. Elle ne pouvait pas les arrêter, sinon romano allait encore s'en prendre à elle, chaque fois qu'elle essayait de les calmer. Elle espérait que le bilan psychologique n'est rien montré de sérieux, par rapport à ses cauchemars, ou même à son défunt mari qui pouvait manqué à son enfant. Et pourtant, elle en avait aucune séquelle, elle était heureuse, et toujours de bonne humeur, sauf quand elle faisait un cauchemar, ou qu'elle se sentait perdu, ou qu'elle tombait malade. Lizzie comptait lui demander, après qu'ils terminent leur rivalité « enfantine » et c'est romano qui disait qu'il était encore un « enfant » alors qu'il se prêtait au même jeu de rivalité. On en revenait toujours à « qui sera le plus con » mais ils étaient vraiment impossible. Oh pour ça il y avait aucun doute, les deux mériteraient bien le « Prix Nobel » y a aucun problème là-dessus, à se prendre la tête comme des enfants.

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