Elle avait travaillé. Elle avait fait plus de douze heures. Elle en pouvait vraiment plus. Elle était tellement fatiguée. Elle avait du annoncé le 'décès' d'un enfant, et de deux adultes. Elle en avait marre de ne plus pouvoir sauver. Il n'avait que neuf ans. Il avait été maltraité, par un homme dangereux. Il avait succombé. Il n'avait pas supporté les blessures. Et pourtant elle aurait pu le sauver. Elle aurait dû, mais cela lui rappelait tellement son amant. Elle avait tremblé, et s'est senti incapable de bouger pendant quelques minutes. Il aurait pu ne pas résister aux blessures également. Il aurait pu mourir. Elle aurait fait quoi, sans cet homme tombait du ciel, pour sauver son enfant. Elle lâchait ses outils, avant de repartir en dehors, et de prendre sa soirée, malgré qu'il lui restait une heure. Ils ont dit que ce n'était pas de sa faute. Il avait déjà abandonné avant même. Ils n'avaient pas commencé, que l'enfant avait commencé à paniqué, avant d'abandonner la partie, pour ne pas retourner auprès de son paternel. Elle s'était rincée le visage, avant de se regarder dans la glace, un moment. Elle se rappelait le retour de cet homme, et ce qu'avait vécu son amant. Elle espérait qu'il ne reviendrait pas. Il ne devait pas revenir. Il était sûrement enfermé, mais s'il avait inventé encore quelque chose. Elle se précipita pour rentrer à la maison. Elle devait être rassurer. Elle déverrouilla la serrure, avant d'ouvrir la porte, en tournant la poignet. Et elle aperçut son enfant, en train de porter quelque chose à sa bouche. Et tout ce bazar, alors qu'elle avait fait le ménage. Il faisait noir, et y avait beaucoup de bordel pour la photographie. Il ne pouvait même pas surveiller son enfant. Il était vraiment bordélique, et complètement immature. Il laissait un enfant seul, avec des produits dangereux. La première réaction ce fut de hurler le nom de son enfant. « ELLA !! NON !! » Elle lâcha tout, avant d'accourir auprès de son enfant, pour retirer le bidon de produit de sa bouche. Elle lui fit ouvrir la bouche, pour vérifier qu'elle n'avait rien avaler. Il en méritait une de ne pas surveiller un enfant, qui ne mesure pas ses actions. Il suffisait qu'un produit soit à sa disposition, pour qu'elle veuille goûter le produit. Elle déposa le produit sur la table, avant de la porter dehors pour demander à quelqu'un de la garder pendant un moment. Elle retourna à l'intérieur, en fermant la porte, pour que personne entende leur dispute.

Elle lui retira violemment le produit, ainsi que son appareil photo. Elle en n'avait vraiment marre. Il fallait vraiment qu'il comprenne, qu'il était complètement irresponsable. Il ne mesurait même pas ses bêtises. Il ne le faisait peut-être pas exprès, mais ça aurait pu coûter la vie d'une enfant. Il aurait sauver son enfant, pour empoisonner plus tard. Elle le regarda d'un regard sérieux, et presque noir. Elle était vraiment en colère. Et elle commença à s'en prendre à son amant, en levant le son pour montrer son désaccord. « Tu est malade, ou quoi ! Tu as laissé Ella toute seule, alors qu'il y a des produits partout ! Tu es complètement irresponsable ! Je me demande s'il ne faudra pas une baby sister pour m'occuper de vous deux, en faite ! » Elle parlait sérieusement. Il avait vraiment fait une connerie. Il n'était pas comme son père, mais il avait faillit faire du mal à une enfant. Le produit était peut-être inoffensif, mais ça aurait pu la tuer tout de même. Il ne faut pas mettre des produits à disposition des enfants. Il y avait un risque pour qu'ils mettent tout en bouche. « Elle aurait pu mourir, tu comprends ! Et oses me dire, que tu ne ferais pas de mal à un enfant.. Alors qu'elle a faillit mourir, à cause de ton irresponsabilité, et de ton immaturité ! Réfléchi bordel ! » Elle pleurait involontairement. Elle avait eu tellement peur. Elle ne s'en aurait pas remise. Elle ne lui aurait pas pardonné. Et aurait sûrement plus le revoir. Elle savait qu'il était immature, mais au point de mettre la vie de son enfant 'en danger' elle n'aurait jamais cru. Il enchaînait des conneries. Il ne pouvait pas être mature, et surveillait un enfant pendant une après-midi. Elle demanderait à une baby-sister. C'était peut-être le meilleur 'moyen' après tout. « Tu me demandes de te faire confiance, après ! Et comment veux-tu que je te fasses 'confiance', après ça ?  Tu n'es pas capable de garder une enfant pendant une après-midi ! Je demanderai à une baby-sister, la prochaine fois ! » Elle avait perdu un peu confiance en son homme. Elle aimait toujours autant. Il avait seulement fait une grosse 'ânerie', pour se faire gronder. Elle se frotta le visage un moment, avant de reprendre la conversation. La voisine devait comprendre qu'il se disputait déjà ensemble. Il fallait savoir ce qu'il avait fait. Elle espérait qu'elle en avait pas bu. Il serait mal barré, pour être pardonné, même si elle n'était pas 'rancunière'. Il aurait réagi comment, si elle n'aurait pas surveillé sa jument, et qu'elle aurait blessé ? Il aurait sûrement réagi de la même façon. Il fallait peut-être lui expliquer. Il allait sûrement se trouver des 'excuses' comme les enfants. Il ne l'était plus, depuis longtemps. Il y a certaine chose pardonnable, et d'autre non. Elle se mit dos, en prenant appuis contre un mur, pour pleurer un bon coup, après cette 'après-midi' qui commence mal, et qui se termine mal, mais dans un état plus angoissant, et stressant que d'habitude. « Qu'aurais-tu fait, si elle aurait été inconsciente ? Je te le demande.. » Elle se remit correctement, avant de dire sa dernière phrase, pour conclure avant de le laisser parler sur un ton négatif. « Je doute maintenant.. Je peux te le dire maintenant , mais j'ai peur également.. en sachant que mon enfant aurait pu mourir, à cause de toi ! »

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Il avait détourné son regard. Il ne fallait simplement 'd'une minute'. Et voilà, maintenant elle avait en bouche un produit. Il ne comprenait pas. Il n'aurait rien pu faire pour la 'sauver'. Elle aurait hurler de douleur, avant de 's'écrouler'. Elle avait déjà vu ce 'garçon' mourir, sans pouvoir le 'sauver'. Elle sombrerait. Elle ferait une 'dépression', avant de se 'suicider' ayant tout perdu. Il ne manquerait plus que la mort de son enfant. Elle pleurait silencieusement. Elle était morte d'inquiétude. Elle irait à l'hôpital. Elle ne devait pas mourir, maintenant. « Ce n’est rien de toxique ! Tout ce qui est toxique est mit en hauteur pour que justement il ne lui arrive rien ! Ce n’est pas de l’irresponsabilité ça, sinon je le lui aurais donné directement pour qu’elle s’intoxique si c’était mon intention première ! » Il ne s'en rendait pas compte. Elle pourrait tomber 'malade'. Il était tout de même dangereux, même 'non-toxique'. Il ne fallait pas croire qu'elle était hors de 'danger'. Il était vraiment 'inconscient'. Il ne se doutait pas, des autres dangers. Il pouvait lui arriver n'importe quoi. Il avait comme donné. Elle avait tout de même récupéré. Elle soupira longuement. Il ne comprenait décidément pas. « Il lui est tout de même arriver quelque chose ! Il n'y a pas que le toxique qui est dangereux ! Elle peut très bien tomber malade, sans arriver à une telle extrémité ! J'irai à l'hôpital.. Oui, tu es irresponsable, et complètement inconscient des dangers ! » Elle s'en voulait. Il allait mal le prendre. Et pourtant fallait qu'il 'comprenne' malgré tout. Il était comme 'sourd', ne voulant pas entendre. Il n'y a que la vérité qui 'blesse' malheureusement. Elle téléphona. Elle réserva une 'chambre' enfant. Il fallait faire un examen rapidement. Elle avait tellement peur. Elle ne voulait pas perdre son enfant. Elle était tout ce qu'elle avait. Elle serait complètement 'perdue'. Et elle ne lui pardonnerai pas 'sa mort'. Le début des emmerdes.


« Qu’elle aurait pu mourir ? J’ai toujours tout fait pour qu’elle soit bien, pour lui donner le sourire. Je lui ai sauvé la vie lorsque sa poussette à dévaler la pente ! Alors comme je pourrais la tuer maintenant ?! Mais si tu doutes, c’est que tu n’as jamais eu confiance en moi, et tout ça à cause de quoi ? De mon caractère enfantin, ou de mon envie de jouer tout le temps ? J’ai beau avoir ce caractère, je ne suis pas irresponsable, et je ne ferais jamais de mal à un enfant et ça tu le sais très bien. Je comprends parfaitement que tu aies eu peur pour ta fille, c’est logique, mais comment oses-tu penser un seul instant que je serais capable de lui faire du mal ? » Oui. Il ne voulait pas l'avouer. Il ne suffisait pas que ça doit 'toxique' pour tomber 'malade'. Il se trompait. Il avait détourné son regard. Il ne l'avait pas surveillé. Il avait comme donné au 'diable'. Il la rendait 'heureuse'. Il avait sauvé son enfant. Et maintenant, il la met en 'danger'. Comment ? Il était complètement 'inconscient'. Elle ne pouvait pas avoir 'confiance'. Elle avait confiance, mais pas pour son 'enfant'. Il le savait parfaitement. Il n'y avait aucun rapport. Elle le savait. Jusqu'à maintenant. Elle doutait énormément. Il y avait de quoi à avoir peur. Il avait déjà fait, involontairement. « Je doute uniquement, pour te 'confier' mon enfant ! Je ne veux pas qu'elle recommence ! Je t'aime comme tu es, Edwin ! Je dis seulement que tu es complètement 'inconscient' et 'irresponsable' ! Il ne suffit pas qu'un produit soit 'toxique' pour qu'un enfant tombe 'malade' ! Il aurait pu lui arriver n'importe quoi, vu que tu étais complètement ailleurs ! Tu ne t'en rends même pas comptes ! Tu étais 'responsable' d'elle, donc tout ce qui lui arrive est de TA FAUTE que tu le veuilles ou non ! Alors si elle aurait été 'morte' ça aurait de TA FAUTE! » Elle se frotta les yeux. Elle n'en pouvait plus. Elle était vraiment fatiguée. Et elle devait en plus se prendre la 'tête' avec son amant. Elle lui accordait sa confiance. Il n'y avait aucun problème. Il ne pouvait pas dire qu'il était 'mature'. Il se comportait comme un 'enfant' qui cherche à démentir coupable. Elle avait mal. Elle avait terriblement mal. Elle se disait que pendant son temps. Elle pouvait avoir mal, et la demandait. Il allait sûrement l'emmener. Elle avait donné toutes les informations. Et ils la ramèneront, si vraiment elle était hors de 'danger'. Et elle aurait du lui faire confiance. La peur empêchait son 'amour' de la raisonner. Il y avait par moment des doutes, des craintes, et de la douleur. Elle soupira longuement, avant de le regarder droit dans les yeux. Il y a bien une 'raison' pour qu'elle croit. Il fallait au moins la trouver. Elle n'en avait pas la force cependant. Elle était sûr le point de craquer.« donne moi une seule raison de te croire ! Je t'ai confié mon enfant. Elle était sous ta responsabilité. Je la retrouve en train de boire un produit. Explique-moi ! J'ai besoin de comprendre ! » Il fallait la convaincre. Ou, elle allait partir pour rejoindre son enfant. Elle dormirait dans un hôtel, pendant que le 'conflit' ne sera pas réglé. Elle en pleurait. Elle n'aimait pas se 'disputer'. Il le cherchait pourtant. Il niait tout le temps, ou ne cherchait pas à comprendre. Elle se prépare mentalement, avant de rejoindre la porte. Il ne manquait plus qu'un mots. Et si ce n'était pas le 'bon', elle partira. Il ne suffisait pas d'un simple 'je t'aime' pour régler tous les conflits. Il fallait savoir raisonner comme un 'adulte' même si cela devait beaucoup.

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Il s'empara de la bouteille. Il voulait reconnaître le 'produit'. Il pourrait lui expliquer les 'dangers' qu'elle courrait. Elle avait tellement peur. Elle se refusait d'entendre son amant. Il ne pourrait pas la forcer. Elle s'en voudrait toujours. Elle avait abandonné son enfant. Et pourquoi ? Le travail ; en la confiant à son amant, qui était 'incapable' de s'occuper de quelqu'un. Elle ne s'en remettrait pas. Elle se faisait déjà des 'scénarios'. Elle méprise les 'disputes'. Elle aurait voulu que tout soit 'facile' et 'pardonnable'. Il était vraiment dur de pardonner. Et même s'il n'y avait aucune 'raison' de pardonner. L'admettre : était déjà un fait. Il fallait être dans la capacité de 'raisonner' correctement. Elle en avait marre d'être 'forte'. Elle ne voyait même pas pourquoi. Elle avait vécu tellement d'horreurs. Elle voulait simplement pleurer. Il n'y a rien d'autre, qui pouvait la venir en aide. « Lizzie…ce n’est que de l’eau ! Elle a bu de l’eau, rien de grave, rien de dangereux, rien de toxique, rien qui puisse lui faire du mal ! Ce n’est que de l’eau ! Rien que de l’eau ! » Il était déjà trop tard. Il s'en était rendu compte, trop tard. Il aurait du le savoir dés le début. Et l'emballage ? Il était pourtant 'différent'. Lizzie n'était pas 'devin'. Elle n'a pas pu voir que c'était que de « l'eau ». Elle n'aurait pu s'empêcher de le 'sermonner'. Elle lui aurait expliqué des « règles importantes ». Elle s'en rendait compte. Elle était seulement à bout. Elle ne pouvait pas supporter. Elle n'avait pas dormi. Elle n'avait pas mangé énormément. Elle avait vécu une mort similaire, à ce qu'elle aurait pu voir avec son amant. Elle continua à pleurer silencieusement. Il était trop dur de s'arrêter, maintenant. Il y avait des choses, qui était insupportable, et qu'elle devait porter malgré tout. « Tu me l’as déjà confiée, il ne lui est jamais rien arrivé ! Je m’en suis toujours occupé comme si c’était MA fille ! J’ai toujours tout fait pour elle ! Alors que rien ne m’y oblige ! Je sais que s’il lui était arrivé quelque chose ça aurait été de ma faute ! Et je m’en serais éternellement voulu, que tu le crois ou non. Parcequ’au fond, je l’aime comme ma propre fille… » Il gagné un point. Il avait gardé y a longtemps. Il ne lui était rien arrivé. Et pourquoi maintenant, c'était 'différent' ? Elle ne savait pas, qu'il prenait autant à 'cœur' le fait de s'occuper de son enfant. Elle avait fait le 'bon choix'. Elle avait pris un homme qui accepte son enfant, comme étant 'sa fille'. Elle se mit à sourire, même si le cœur n'y était pas vraiment. Il n'avait pas tord. Il n'avait jamais tord. Elle apprécia énormément. Elle ne pouvait pas empêcher de le voir. Et encore moins de s'en occuper. Il avait tord. Elle serait responsable. Et c'était elle qui avait confié à son amant. Et non lui qui avait voulu la garder. Elle lui avait demandé comme d'habitude. Elle serait la seule responsable. Et prendrait toute la responsabilité. Il en était de son enfant après tout. Elle assurait son entière responsabilité. Et faudrait bien qu'un moment, il devienne son père légalement. Elle y pensait depuis un moment. Elle ne savait pas comment entamer la conversation. Il n'était peut-être pas prêt.

« Tu ne t'es même pas inquiéter ! Il s'avérait être que c'est une bouteille d'eau ! Et si cela n'aurait pas été de l'eau.. et qu'elle était en danger, qu'on aurait du l'opérer.. Il faut que tu sois plus 'responsable' et 'conscient' des dangers pour les enfants ! Il aurait pu lui arriver n'importe quoi ! Il ne faut jamais laisser un enfant sans « surveillance » ! Je te sermone uniquement, pour que tu te rendes comptes de tes 'erreurs'.. et que cela aurait pu.. nous faire rompre ! » crois-tu que je t'aurai pardonné, si mon enfant était gravement malade ? Il ne manquait plus que son 'mots'. Il pouvait en dire plusieurs. Il faut trouver les 'bons', uniquement. Il la retenait par le poignet. Il voulait empêcher de 'partir'. Elle mourrait d'envie de s'effondrer. Elle savait qu'il serait là pour la retenir. Elle ne voulait pas lui pardonner. Elle ne voulait pas plutôt, s'avouer vaincu. Elle voulait qu'il comprenne la leçon. Il était sage de s'éloigner une nuit. Elle reviendrait le matin. Elle devait toute façon. Il s'agissait de son appartement. Elle baissa légèrement les yeux. Elle attendait sa réponse. Elle espérait, qu'il ne se trompe pas. Elle avait besoin de lui. Et surtout maintenant. Il devait trouver les bons. Il était obligé après tout. Il n'était plus tout seul maintenant. Il avait une femme, et un enfant. Il ne pouvait pas fermer les yeux. « Tu veux une raison de me croire… » Elle voulait embrasser. Elle voulait pouvoir le toucher. Et si c'était possible. Et si c'était seulement possible. Il avait eu une dure conversation. Il n'y avait jamais été question de se disputer. Elle s'était seulement énerver, sans même voir le contenu de la 'bouteille'. Elle avait les yeux encore larmoyants. Elle voulait simplement entendre 'Je t'aime'. Et si seulement, elle pouvait lui pardonner. Elle croyait que c'était 'possible'. Il devait comprendre la 'leçon'. Il était encore un enfant malgré tout. « …Parce que je t’aime. Parce que je l’aime. Parce que vous êtes des rayons de soleil pour moi ! Vous êtes tout pour moi… » Il en était de même. Et elle avait voulu entendre ses mots. Elle s'approcha doucement, en déposant sa main sur 'son visage'. Elle le caressa doucement. Elle avait besoin de se contact. Elle s'en privait uniquement pour le corriger. Elle le faisait uniquement pour « lui ». Elle l'aimait. Il n'y avait aucun doute. Elle ne se donnerait pas ce mal sinon. « si tout pouvait se régler par un « Je t'aime » ça serait tellement plus facile ! » Elle sortit de son emprise. Elle s'avança vers la porte de l'appartement. Elle partit dans les couloirs, pour rejoindre son enfant. Elle savait qu'il allait « souffrir ». Il allait même se faire des scènes également. Elle allait revenir pour un « Je t'aime ».

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